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Archive pour décembre 2009

Une année se termine…

( Humeur )

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2009 se termine dans quelques heures. Sa lente agonie engendrera 2010 que l’on espère… meilleure !

Que retiendrai-je de 2009 ?… La crise qui se poursuit (en verrons-nous un jour la fin ?), le fiasco de Copenhague (un club de rigolos se réunit pour décider de l’avenir du monde), le Nobel non mérité d’Obama (on peut donc dorénavant l’offrir à n’importe qui), la mort de Michael Jackson (incontestablement la disparition d’un géant), le ratage du dernier Harry Potter cinématographique (il est temps que ça se termine !), les 40 ans de l’arrivée de l’homme sur la Lune (où est passée la conquête spatiale aujourd’hui, hein ?…), la disparition du Star Wars Magazine (pour les fans, c’est dur), la mort récente de Dan O’Bannon (un génie à l’origine de tant de projets de SF cinématographique…), la poursuite de la série The Clone Wars (qui connaît un succès bien mérité !), la sortie de l’événement Avatar de James Cameron (la 3D devient l’avenir !), ma visite de l’expo Star Wars à Sydney (un rêve devenu réalité), ma rencontre des acteurs du nouveau Star Trek (j’ai leurs autographes !), la création de mon blog (depuis le temps que j’y pensais !), et tant d’autres choses que j’oublie, ou que je préfère oublier, surtout en ce qui concerne la Nouvelle-Calédonie…

Amusez-vous bien en ce réveillon ! Et que vos rêves deviennent réalité !

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Le cryptide du jour : L’Homme-Papillon

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L’HOMME-PAPILLON

L’Homme-papillon est un cryptide à l’apparence des plus étranges, le genre auquel on a du mal à croire, et pourtant… Il aurait été aperçu entre le 12 novembre 1966 et le 15 décembre 1967 par des habitants terrifiés de Point Pleasant en Virginie occidentale, Etats-Unis. D’après les témoignages, il s’agirait d’une créature noire, ailée, aux yeux rouges et mesurant entre 2 et 3 m. Ce serait deux couples qui l’auraient aperçu pour la première fois alors qu’ils se trouvaient dans leurs voitures garées dans un dépôt de munitions de la Seconde Guerre mondiale. Ils auraient alors été poursuivis par la créature et seraient immédiatement allés rapporter l’incident à la police. D’autres témoignages suivront. Des Américains originaires des tribus Iroquoises auraient déjà parlé autrefois d’un grand homme-oiseau.

L’Homme-papillon, d’après ce que l’on sait de lui, se déplacerait rapidement lorsqu’il vole, il poursuivrait souvent les voitures. Quand il est posé au sol, ses ailes seraient repliées et il marcherait à la façon des pingouins. Certains pensent qu’il pourrait être le résultat d’expériences menées durant la guerre, il s’agirait en fait d’une sorte de mutant. Des témoignages seraient encore recueillis aujourd’hui.

L’Homme-papillon eut droit à son film en 2002, inspiré du livre The Mothman Prophecies, avec Richard Gere. On en a même fait des statues dans les régions où il vivrait encore !

Nom : Homme-Papillon (appelé aussi homme-phalène)

Taille : plus de 2 m de haut et envergure estimée entre 2 et 2,50 m.

Habitat : zones de Charlestown et Point Pleasant, en Virginie occidentale.

Description : homme ailé, de couleur noire ou grise et aux yeux rouges qui semblent briller.

Wikipédia : « Le jour de l’effondrement du World Trade Center à New York est marqué par des témoignages rapportant la présence de l’homme-phalène à proximité des lieux du drame. Une étonnante photo de la créature a même été prise par le photographe Steven Moran, qui couvrait un tournage de la chaîne WTC et prenait à cet instant sur Greenwich Street des clichés des opérations de secours suite aux attentats. Les experts n’ont pu à ce jour confirmer ou infirmer l’authenticité du cliché. »

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Sources : Les monstres : guide de la cryptozoologie (Rory Storm / éd. Gramese)

Pour en savoir plus : Les monstres : guide de la cryptozoologie (Rory Storm / éd. Gramese) et http://fr.wikipedia.org/wiki/Homme-papillon



Ralph McQuarrie, créateur d’univers (1)

Ralph McQuarrie, créateur d'univers (1) dans Cinéma 13092910513615263611593982

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En choisissant Ralph Mc Quarrie pour mettre sur papier ses visions de space-opera, George Lucas ne pouvait pas trouver homme plus doué et plus à-même de bâtir le vaste univers de la saga Star Wars. Spielberg, Glen A. Larson et Gene Roddenberry se l’arracheront ensuite pour Rencontres du Troisième Type, Galactica la Bataille de l’Espace et Star Trek, The Motion Picture, de grands films à l’échelle des grandioses peintures de Ralph McQuarrie.

Peinture pour Galactica la Bataille de l’Espace

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 L’Enterprise selon Ralph McQuarrie…

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Ralph McQuarrie est né en 1929 aux Etats-Unis, à Gary, dans l’Indiana. La crise force ses parents à quitter la région pour aller s’installer dans la ferme de ses grands-parents située près de Billings, dans le Montana. Ils y restent jusqu’à ce que le jeune McQuarrie ait atteint ses dix ans.

Durant sa jeunesse, McQuarrie manifeste un vif intérêt pour les avions et fréquente souvent, avec des copains, l’aéroport de sa région. Plus tard, il travaille pour l’Air Force et finit par trouver sa vocation dans l’industrie aéronautique. Il y conçoit des illustrations d’hélicoptères, d’équipements électroniques, de soldats, etc. Un nouveau poste lui sera proposé par Litton Industries. Ralph McQuarrie travaille alors pour Boeing en 1968 où il réalise un grand nombre d’illustrations. En 1969, il dessine pour le projet Apollo.

Presque dans la même période, Barwood et Robbins – qui travaillèrent avec Lucas sur THX 1138 – demandent à McQuarrie de leur exécuter quelques peintures d’engins et d’aliens pour leur projet de film de science-fiction : Star Dancing, ces derniers cherchant à vendre le scénario. George Lucas, travaillant alors sur American Graffiti, verra les peintures. Et lorsque le grand projet de Star Wars arrive, Lucas fait appel aux services de Ralph McQuarrie.

« George portait son scénario en main lorsqu’il vint me rencontrer », déclare McQuarrie. « Il avait déjà parlé du film à la Universal, mais ils n’étaient pas convaincus par le projet qui leur paraissait banal et trop cher. La Paramount a acquis une option afin de voir ce que George voulait faire. Il décida qu’il aurait besoin d’un support graphique avant de les rencontrer. Aussi, nous fîmes quatre peintures. La première représentait les robots avançant dans le désert ; la deuxième, Luke combattant dans la tranchée de la Death Star ; la troisième, les robots s’échappant du Sandcrawler des Jawas ; la quatrième, un duel aux sabres laser entre Luke Skywalker et Darth Vader. » Ces quatre peintures sont ici réunies. Cliquez sur chacune d’entre elles pour les voir en plus grand.

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Les peintures eurent pour effet d’accentuer l’intérêt des studios pour la mise en chantier de Star Wars. Mais en retour, elles surprirent par la grandeur du projet de George Lucas. Le budget qu’il faudrait consacrer au film devrait suivre en conséquence, d’où une certaine inquiétude de la part des studios. Cependant, davantage d’argent fut donné à Lucas pour parfaire son scénario et réaliser d’autres peintures.

Ralph McQuarrie continua à mettre sur papier les idées de Lucas, des idées pas toujours très claires : « Le costume blanc du Stormtrooper est ma création ; George voulait un costume blanc, mais c’est tout ce que je savais. De même, R2-D2 et Darth Vader sont mes conceptions. » McQuarrie ne parle pas ici de C3-PO comme étant une pure création personnelle car le robot est en fait inspiré par celui du film Metropolis de Fritz Lang : Maria.

Cliquez ici pour la deuxième partie.

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Sources : Starlog, Mad Movies.



La SF selon John W. Campbell

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John W. Campbell :

« La science-fiction n’est pas autre chose que des rêves mis par écrit. La science-fiction est constituée des espoirs, des rêves et des craintes (car certains rêves sont des cauchemars) d’une société fondée sur la technologie. »

http://fr.wikipedia.org/wiki/John_W._Campbell



Anomalies ou fantaisies martiennes ?…

« Anomalies ou fantaisies martiennes » ?… Mais qu’est-ce ?… Un jeu ?… Non, non, pas du tout, désolé ! Rappelez-vous : tout a commencé avec le célèbre Visage de Mars photographié à Cydonia Mensae, région de la planète rouge survolée par une sonde Viking dans les années 1970… Vous vous souvenez la polémique (pas encore terminée d’ailleurs !) : visage ou pas visage ? « Fantaisie de la nature » ou non ?…

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Rappelez-vous que nos « grands scientifiques » d’il y a quelques siècles à peine avaient décrété que toutes ces traces et ces restes ressemblant à des animaux ou des végétaux, et présents dans certaines roches que l’on trouve dans la nature, sur notre planète, n’étaient que pures  » fantaisies de la nature ». Aujourd’hui l’on sait que ces traces, ces restes, sont les témoignages de la vie qui a existé il y a des millions d’années : ce sont les fossiles… Tout cela pour dire qu’il faut savoir se remettre en question et ne pas avoir cette attitude condescendante qui est malheureusement trop souvent celle des scientifiques. Alors, même si cette affaire du Visage de Mars semble aujourd’hui réglée (sauf pour moi), on ne compte plus les formes étranges à la surface de la planète rouge. Des fossiles ? Certainement pas, à moins que Mars ait connu des créatures absolument gigantesques ! Alors des vestiges, des ruines ? Peut-être… Mais cela ne veut pas dire non plus que l’on ne trouvera jamais de fossiles sur Mars…

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« Vestiges sur Mars » est un ouvrage écrit par Nicolas Montigiani. Il est publié par les éditions Carnot Mystère (2005). L’auteur est photographe. Il a mené son enquête en examinant de près les clichés de la NASA et en recueillant l’avis de spécialistes dans divers domaines. En voici quelques-uns, et ils sont surprenants :

« Aucun modèle naturel pouvant expliquer les figures inhabituelles découvertes sur les images [de la sonde] Viking n’a pu être mis en évidence. Selon notre suggestion, il est possible que ces objets soient les restes d’une ancienne civilisation [...]. Il faut retourner sur Mars afin d’étudier ces structures… » (Mission Indépendante sur Mars / Standford Research Institute)

« Je ne connais aucun mécanisme capable d’expliquer cette formation [...]. Cet objet à cinq faces porteur d’une symétrie bilatérale est différent de toutes les structures répertoriées jusqu’à présent dans le système solaire… » (Erol Torun / Cartographe à la Defense Mapping Agency, Washington DC)

Ce livre est passionnant de la première à la dernière page. Les photos présentées sont souvent étonnantes, on ressort de cet ouvrage intrigué, presque dérangé que nos convictions les plus enracinées soient ainsi ébranlées. On finit par se poser des questions, des tas de questions, du genre « Et si… ». Les arguments se tiennent, l’auteur sait de quoi il parle tout en se gardant bien de trancher lorsque les données sont insuffisantes.

Mars n’a pas fini de nous intriguer, encore et toujours. Il est temps qu’on y aille pour y voir de plus près ! Voici quelques clichés réputés très étranges pris par différentes sondes, ils sont présents dans le livre de Nicolas Montigiani et décortiqués…

 

Mais que voit-on à l’intérieur de ce cratère ?…

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 Végétation ?…

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  »Pyramide » agrandie, cinq branches…

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 A propos de ce cliché de la « pyramide », voilà un extrait du livre de Nicolas Montigiani dans Vestiges sur Mars :

« Malgré des manifestations d’érosion évidentes (un côté est en mauvais état et semble s’être « effondré »), le degré de symétrie de la structure est prodigieusement élevé. [...]
Une question revient encore, lancinante, essentielle : le vent, le sable, le volcanisme, voire l’eau ou la glace, peuvent-ils avoir « sculpté » la roche avec un tel degré de régularité ?
« J’ai une bonne expérience en matière de géomorphologie et je ne connais aucun mécanisme capable d’expliquer cette formation [...]. Cet objet à cinq faces porteur d’une symétrie bilatérale est différent de toutes les structures répertoriées jusqu’à présent dans le système solaire… »
C’est en ces termes qu’Erol Torun (cartographe à la Defense Mapping Agency, Washington DC) définissait la Pyramide D&M en 1988, lorsqu’il entreprit de mener sur elle une étude géologique. Objectif : savoir si des processus d’érosion bien connus sur Terre pour modeler montagnes, collines et mesas, pourraient être tenus pour responsables d’un tel déploiement d’anomalies structurales.
Il répertoria quatre processus : l’érosion fluviale (l’eau), l’érosion éolienne (le vent), la « perte de masse » et le volcanisme.
L’érosion fluviale.
Torun écarte cette hyptothèse qui ne donne pas des structures angulaires à facettes. Sur Terre, les galets ont des formes douces et arrondies, caractéristique principale d’une action par l’eau. S’il est maintenant admis que de l’eau coula un jour sur Mars et en particulier à Cydonia (des chenaux en attestent), « il n’y a pas d’indications pour dire que de l’eau ait un jour coulé à un kilomètre de profondeur dans Cydonia Mensae (un kilomètre est la hauteur approximative de la pyramide D&M) ». Torun ajoute que des structures suggestives d’une érosion lacustre – des cratères ayant subi l’érosion d’une eau peu profonde – sont bien présentes au nord de Cydonia (bassin d’Acidalia Planitia). Mais elles ne ressemblent en rien à la Pyramide D&M.

L’érosion éolienne.
« Elle a longtemps été privilégiée par les scientifiques pour tenter d’expliquer certaines formes insolites présentées sur Mars. Il semblerait que la Pyramide D&M ne doive rien à cette force d’érosion car l’on sait que des expériences en tunnel à vent réalisées par la NASA n’ont pas permis de reproduire des formes pyramidales.
Torun précise également que les objets façonnés par le vent, comme les dunes que l’on trouve sur Terre (et sur Mars), ne créent pas des polyèdres symétriques aux flancs plats et aux arêtes droites.
D’autant plus que la Pyramide D&M est la seule structure de la zone à présenter une forme à cinq faces aussi nettement marquée. A propos du vent, Torun conclut que « chaque fois qu’il tournerait dans une nouvelle direction, le courant d’air inverse commencerait à s’attaquer aux bords modelés par un vent soufflant d’une autre direction. Le résultat final ne serait pas une montagne pyramidale mais une montagne ronde [...]. Il est raisonnable de conclure qu’un procédé éolien ne peut pas avoir produit la Pyramide D&M, faute d’un mécanisme plausible, et l’absence de structures similaires sur la Terre et sur Mars ».
La perte de masse.
De puissants effondrements de terrains ou de roche, dus à l’influence de la gravité, ont souvent été observé sur Mars.
Mais si un tel phénomène peut avoir façonné certaines formes présentes, dont l’irrégularité saute aux yeux, il ne peut pas être responsable de l’élément que nous étudions ici. Selon Torun, « il est improbable qu’une perte de masse ait agi symétriquement ».

Le volcanisme.
C’est un facteur d’érosion important, que ce soit sur Mars ou sur la Terre.
Sur Mars, il semble s’être concentré dans des régions particulières comme le plateau de Tharsis, les régions d’Hellas ou d’Elysium. Aucun signe particulier ne montre qu’il aurait pu y avoir un jour du volcanisme à Cydonia. En outre, si les volcans peuvent produire des « caldeiras », celles-ci n’ont pas la forme de la structure que nous soumettons à l’étude (la Pyramide D&M n’a pas de conduit à son sommet).
Pour finir, Torun ajoute une hypothèse supplémentaire susceptible de convenir à la création d’une formation à cinq côtés. Il élimine ainsi le « développement de cristaux », un processus naturel occasionné par le dégel. Une cristallisation naturelle aboutit en effet forcément à un objet hexagonal, c’est-à-dire à six côtés. »

Enfin pour finir, et pour voir des clichés toujours plus intrigants, un site tout à fait sérieux où vous pourrez examiner de très près, grâce aux agrandissements, les étranges paysages de Mars. Regardez bien, sous toutes les coutures, les photographies en tranches, à droite de la page. Agrandissez… Attention : agrandissez vraiment et regardez bien en bas de l’image qui s’étale de tout son long sur l’écran… Quelqu’un peut-il me dire quelles sont ces « choses noires » qui se dressent (?), ou s’étalent (?), sur les dunes ? Fumée ? Rejet de CO2 noirâtre ? Autre chose ?…
http://www.msss.com/moc_gallery/m13_m18/images/M17/M1700612.html

Un autre site, peut-être un peu moins sérieux : http://marsanomalyresearch.com/



La Maison du Diable

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LA MAISON DU DIABLE (THE HAUNTING)
Réalisateur : Robert Wise
Année : 1963
Interprètes : Julie Harris, Claire Bloom, Richard Johnson…
Durée : 1H52
Pays : USA / GB

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L’HISTOIRE :

Le Dr Markway qui effectue des recherches dans le domaine de la parapsychologie tente une expérience de perception extrasensorielle avec un groupe de personnes réunies dans un vieux manoir réputé hanté. Dès le départ, des bruits insolites terrorisent les habitants de la demeure… (AlloCiné)

LA MAISON DU DIABLE est incontestablement un chef d’oeuvre du genre. C’est l’épouvante à l’état pur. Sans le moindre effet gore, sans la moindre goutte de sang versée, le film de Robert Wise nous plonge dans une ambiance glaciale à l’intérieur d’un vieux manoir hanté, monstrueuse demeure « vivante » où chaque ombre, chaque reflet dans un miroir, chaque rideau se soulevant au vent, chaque statue ou peinture entretiennent la peur de l’inconnu, sèment l’effroi, et nous glacent le sang dans des séquences magnifiquement réalisées. Par des images, des effets suggérés et autres cadrages, Robert Wise parvient à nous donner la chair de poule, le tout accompagné d’une bande son tout aussi « maléfique » ! Et le noir et blanc n’est pas sans offrir à LA MAISON DU DIABLE son côté délicieusement sinistre.

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Ce film que j’ai découvert pour la première fois à la télévision il y a des années, un soir tard, m’a littéralement cloué sur mon fauteuil. Il compte parmi ceux qui m’ont le plus effrayés ! L’épouvante de ce style est très rare au cinéma. Un seul film pourrait éventuellement lui ressembler, LA MAISON DES DAMNES (THE LEGEND OF HELL HOUSE / 1973 / du roman de Richard Matheson), qui lui aussi réussit l’exploit de terrifier sans jouer sur les effets d’horreur.

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LA MAISON DU DIABLE est à découvrir au plus tôt pour tous ceux qui ne connaîtraient pas ce monument du genre. Le DVD est facilement disponible de même que ce film bénéficie régulièrement de rediffusions sur la chaîne TCM.
Un remake a été réalisé par Jan de Bont en 1999. Intitulé HANTISE, avec Catherine Zeta-Jones et Liam Neeson, le film cède dans la facilité des effets spéciaux numériques même si quelques séquences s’avèrent assez bien réussies. Les décors sont également très impressionnants par leur aspect gigantesque, à tel point que les protagonistes semblent être des nains tout au long du film. Néanmoins, on ne frémit pas autant que dans l’original de 1963, et la couleur apporte trop de chaleur…

Bande-annonce américaine du film :

Image de prévisualisation YouTube

- Morbius -



La SF selon Fredric Brown

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Fredric Brown :

« Le fantastique traite de choses qui ne sont pas et qui ne peuvent pas être. La science-fiction traite de choses qui ne sont pas, mais qui pourront être un jour. La science-fiction se limite à des possibilités compatibles avec la logique. »

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fredric_Brown



Fonds d’écran plein d’imagination !

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Quelques liens intéressants vers des sites proposants de jolis fonds d’écran de science-fiction, d’heroic fantasy et de merveilleux…emoticone

Pour la SF, l’heroic fantasy et le merveilleux, c’est par ici : http://fantasyartdesign.com/free-wallpapers/best-fantasy-art.php?srt=3&best=1

Pour le fantastique, le merveilleux et d’autres domaines qui n’ont rien à voir avec ces genres mais qui sont très sympas, c’est par là : http://www.vladstudio.com/fr/wallpapers/?kw=brown

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Le cryptide du jour : Le Jaune

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LE JAUNE

Dans son livre Guide des animaux cachés : traité de cryptozoologie (éd. du Mont) , Philippe Coudray nous parle d’un cryptide appelé le Jaune. Il possèderait la forme d’un tétard géant aplati de couleur jaune, d’où son nom, et dont la longueur serait d’environ 20 à 30 mètres. Cette couleur tournerait progressivement au brun avec l’âge, à moins, nous dit-on, qu’il ne s’agisse en fait d’une différence sexuelle. Le Jaune apprécierait particulièrement les eaux chaudes à tempérées de l’océan Indien et de l’océan Pacifique.

La photo publiée plus haut présenterait-elle un Jaune ?… Ce cliché, célèbre chez les cryptozoologues, serait un faux. En effet, Robert Le Serrec, son auteur, posséderait depuis longtemps une réputation douteuse. Elle aurait été prise en 1964, lors d’une promenade en bateau sur les hauts fonds australiens. Les spécialistes prétendent qu’il s’agit d’une supercherie en raison du récit singulier de Robert Le Serrec et de la position peu commune des yeux de la créature, différente de celle d’un quelconque reptile, mammifère ou poisson connu.

Nom : Jaune

Taille : 20 à 30 m.

Habitat : océans Indien et Pacifique.

Description : possèderait la forme d’un tétard géant aplati et jaune, la raie noire longitudinale s’épaissirait progressivement jusqu’à envahir le corps tout entier.

Sources : Guide des animaux cachés : traité de cryptozoologie (Philippe Coudray / éd. du Mont), Monstres de légende (collection Les mystères de l’inconnu / éd. Time-Life).

Pour en savoir plus sur le Jaune : Guide des animaux cachés : traité de cryptozoologie (Philippe Coudray / éd. du Mont)



Mystères et énigmes

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Mystères et énigmes est un livre des éditions Le pré aux clercs paru en 2008 et que l’on peut encore facilement trouver. Ecrit par Irene Bellini et Danilo Grossi, il rassemble tous les sujets diffusés à travers la célèbre émission de la deuxième chaîne italienne, Voyager Magazine. Apparemment inconnue en France car jamais diffusée, cette émission avait pour vocation de présenter au public les nombreux mystères et énigmes du monde entier (mais un mystère n’est-il pas déjà une énigme et une énigme un mystère ?…). Cet ouvrage épais, plus de 230 pages, superbement illustré avec une mise en page très agréable et claire, est divisé en quatre grands chapitres : Sites mystérieux, Personnages mystérieux, Ecrits et signes mystérieux et Objets mystérieux. On y trouve ainsi des dizaines de sujets tels que  l’Atlantide, Stonehenge, les Bermudes, Mars, Machu Picchu, Turin, Roswell, Dracula, les Templiers, Léonard de Vinci, Nostradamus, le comte de Cagliostro, le Necronomicon, les cercles dans le blé, les OVNI, le Graal, l’arche de Noé, pour n’en citer que quelques-uns ! Le sujet est traité entre deux à six pages, tout dépend de l’abondance des informations disponibles. Les faits exposés sont toujours clairement présentés, avec beaucoup de dates et d’informations complémentaires, notamment les dernières recueillies à ce jour. C’est un livre que je recommande vivement à tous les amateurs de mystères.



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