Vaisseaux SF : le Moya

Posté le 2 novembre 2010

Vaisseaux SF : le Moya dans Science-fiction 13061310034815263611288456

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LE MOYA

Moya est le nom du gigantesque vaisseau vivant de l’excellente série télévisée de science-fiction FARSCAPE, il possède donc la particularité d’être organique. Moya appartient à la race des Léviathans et l’on estime sa longueur à 1,5 km. Comme tous les Léviathans, Moya fut lié à un pilote dès son plus jeune âge. Ce pilote remplit à la fois le rôle de navigateur, mais aussi ceux d’opérateur, de compagnon et de lien avec l’équipage du vaisseau. L’équipage de Moya, en dehors de Pilot, compte trois prisonniers évadés : Ka D’Argo (un guerrier luxan), Pa’u Zotoh Zhaan (prêtresse delvienne) et Rygel le XVIe (monarque hynérien déchu). Une pilote pacificatrice, Aeryn Sun, viendra par la suite compléter ce petit groupe hétéroclyte.

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Moya, comme tous les Léviathans, est un vaisseau pacifique dénué de tout armement technologique. Néanmoins il peut utiliser la Combustion, une manoeuvre défensive lui permettant de voyager à une vitesse extraordinaire dans l’hyper-espace. Des petits robots contrôlés par Pilot entretiennent régulièrement Moya qui accouchera même d’un bébé Léviathan lors d’un épisode. On trouve à son bord le poste de pilotage, les quartiers de l’équipage, la chambre de Pilot, des cellules pour les prisonniers, des docks, une baie de lancement, sans compter toutes les particularités organiques de Moya.

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Rares sont les vaisseaux organiques, ou biomécaniques, dans la SF, qu’elle soit télévisuelle ou cinématographique. Moya apporte donc une originalité propre à FARSCAPE en plus de toutes celles qui font de cette série une oeuvre unique en son genre. On pourra simplement regretter l’aspect intérieur de Moya, pas forcément toujours très réussi il faut bien l’avouer. Entre des écrans de contrôles plus ou moins incrustés dans le vivant, des consoles qui n’ont rien d’organique, ou si peu, des couloirs trop propres et des parois trop lisses, on ne sait plus vraiment si l’on se trouve réellement à bord d’un vaisseau vivant… Mais bon, nous aurions mal vu des héros englués évoluant dans des organes palpitants et humides, et progressant dans des artères injectées de sang ! Il faut faire un choix, c’est sûr !

Un lien : http://www.karlsweb.com/KarlswebComms/moya.htm

Source : Wikipédia

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