Découvrir la surface de la Lune ou celle de Mars comme si on y était pour de vrai, ça vous tente ? C’est possible grâce à des vues panoramiques, visites virtuelles réellement impressionnantes et d’une grande netteté (dont une en 3D anaglyphe pour Mars !). Il s’agit de clichés pris par les différentes missions Apollo (pour la Lune) ou par des robots (pour Mars). Prenez le temps d’admirer le paysage, les montagnes, les collines, les rochers et les cailloux (fascinante désolation !), zoomez, tournez sur vous-même. Inutile de cherchez un E.T, il n’y en a pas. A moins que…
Pour aller sur la Lune, embarquement immédiat par cette porte : http://www.panoramas.dk/moon/mission-apollo.html
Pour aller sur la planète rouge, Mars, prenez cette navette : http://www.panoramas.dk/mars/index.html
Bon voyage !
Bonsoir !
Il parait que j’y suis souvent dans la lune (je ne me rends pas compte, j’ai des absences)… Je vais aller voir à quoi elle ressemble pour de bon!
Bises et bonne soirée,
Sandra
Salut Sandra.
Attention : cette excursion nécessite une combinaison spatiale. Eh oui, il y a « être dans la lune » et « être sur la lune » !
Juste pour revenir sur l’expression « être dans la Lune » alors que la Lune a toujours fasciné les superstitions ainsi que les sciences anciennes (astrologies arabes etc…) puisqu’on s’est toujours servi de la Lune pour justifier nos changements de caractères (j’ai failli écrire cratères ) et que ce satellite (tu me corrigeras si je me trompe Morbius) de la Terre dégage une luminosité quasi hypnotique lors de forts états de fatigues. On parle même de tueurs des pleines lunes (comme si la libido en prenait un sale coup lors des nuis éclairés).
Je ne sais pas si l’expression « être dans la lune » désigne la sensation hypnotique donc elliptique du temps qui passe alors que notre esprit est absorbé « ailleurs » (absent ?).
Par contre, l’écrivain Cyrano de Bergerac ( et pas le personnage au long nez et rimailleur d’Edmond Rostand) écrivait de beaux livres de SF bien avant Verne, Wells et cie (au 17ième siècle), sur des voyages DANS (il me semble que c’était le mot employé) la Lune (pour dire SUR) dans « L’Histoire comique des États et Empires de la Lune » où le personnage principal rencontrait des animaux extra terrestres politiquement organisés…Mais la distance entre la Terre n’était pas encore défini comme l’a fait Jules Verne avec son boulet de canon qui traverse l’espace en définissant une distance pour la propulsion. Chez De Bergerac, le voyage se faisait en rêve…
Puis enfin, concernant la pesanteur, l’atmosphère, le vide de matière oxygène (puisque tu parles de combinaison spatiale, Morbius), le cinéma de SF a lui aussi attendu très longtemps avant de comprendre cette dimension. Il suffit de voir nos grands classiques où les astronautes se promènent sur des planètes diverses, le nez à l’air et les mains dans les poches et combattant des créatures incroyables. Notre « cercle » humain s’est alors élargi et l’au-delà de l’espace a créé toutes sortes de nouvelles peurs, celui de l’inconnu : l’extraterrestre qui pourrait être belliqueux ou intrusif…
Et je crois qu’en 2010, cette crainte n’existe plus et que l’on peut de nouveau se créer de nouveaux démons parmi les humains…
Voilà, c’était juste pour réfléchir à haute lettre sur le thème d’être dans la Lune…
Juste enfin préciser, que la science du corps humain a défini le cerveau en 2 hémisphères : celui de gauche étant analytique et celui de droit comme celui développant l’Imaginaire, la rêverie et aussi la spéculation ou approche théorique de notre environnement (Philosophies, Religions, Superstitions etc etc).
De ce fait, toutes les histoires concernant la Lune (etc…) sont logés dans notre hémisphère de l’imagination et de la rêverie de l’enfance surtout. Et à des moments forts en émotions (les fêtes de Noël en est un exemple avec ses sapins étoilés, son jeune christ assoupi dans la crèche qui symbolise le bien-être et l’innocence, les animaux etc..), certaines images peuvent resurgir à l’esprit et souvent l’imaginaire des contes de notre enfance etc nous font oublier les réalités (les distances, la psychologie etc).
Tout ça non pas pour démystifier une fête qui est là pour rendre les gens sereins, mais pour rappeler que notre esprit (et notre inconscient) sont souvent plus forts que nous.
Mais je souhaite à tout le monde d’être heureux et toujours serein, c’est la moindre des choses.