Voici Bobby Zombie, pas franchement en très bonne santé, c’est vrai. A moins que ce ne soit un pauvre téléspectateur qui ait décidé de donner fin à ses jours, n’en pouvant plus de subir l’insupportable soap opera british du mariage princier. Comme je le comprends…
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Je vous présente Kronos, du film éponyme réalisé par Kurt Neumann en 1956. Vous vous trompez : il ne s’agit pas d’un jouet cubique posé sur la moquette de la chambre d’un chérubin sur fond de tapisserie représentant un paysage, mais bel et bien d’un robot, et même d’un gigantesque robot extraterrestre de plus de trente mètres… « Constitué de deux énormes blocs de métal, soutenus par quatre pylônes et surmontés d’un dôme pourvu de deux antennes servant de pôles électriques, il s’apparente à un gigantesque accumulateur d’énergie » (Ze Craignos Monsters, le Retour / Jean-Pierre Putters / éd. Vents d’Ouest). Et pourquoi, me direz-vous ? Tout simplement pour remplir sa mission qui consiste à absorber toute l’énergie terrienne afin de la ramener sur sa planète. Vaste projet… Nos vaillants soldats américains auront beau utiliser tout leur armement sur ce monstre de métal, cela ne fera que renforcer sa puissance et augmenter sa taille ! Mais… car il y a bien un « mais », comme toujours, Kronos n’aura pas le dernier mot. Et le « The End » apportera sa note d’espoir. Ouf !
La morale de cette histoire : méfiez-vous des robots électroménagers de forme cubique à la maison… Il se pourrait bien qu’en chacun d’entre eux se cache de la graine de Kronos…
« Je suis contente d’être une fille, pas toi ? Pour rien au monde, je voudrais être un homme ; c’est si dur pour eux. J’aime bien qu’on m’admire. Et j’aime bien être une fille. Je ne serais un homme pour rien au monde. Rien au monde. »
(Joanna Russ / L’Autre Moitié de l’Homme)
J’espère que vous connaissez Forrest J. Ackerman (1916-2008), dit « Forry » pour les intimes. Surnommé « Mr Science-Fiction », l’incontournable personnage de l’univers de l’Imaginaire, écrivain, producteur, scénariste de films de SF et de fantastique, certainement le plus grand collectionneur au monde d’objets ayant servi aux tournages de films appartenant à ces genres, est surtout à l’origine de la célèbre revue américaine Famous Monsters of Filmland. Celle-ci régna durant des années avant de disparaître. Elle est récemment ressuscitée et dispose même dorénavant d’un site où l’on peut y trouver reportages, interviews, bandes-annonces et tout ce qui fait l’actualité de la SF et du fantastique cinématographique. L’adresse :
http://www.famousmonstersoffilmland.com/
Voici un document très rare, en deux parties, consacré au making de L’EMPIRE CONTRE ATTAQUE, et en particulier à la musique de STAR WARS de John Williams. On y rencontre également George Lucas, Gary Kurtz et Irvin Kershner. Enregistré à l’origine sur VHS, en VO, la qualité de l’image n’est pas franchement au rendez-vous, mais c’est assurément à voir (si vous maîtrisez l’anglais !).
Bertrand Tavernier a déclaré à propos de Howard Hawks (LA CHOSE D’UN AUTRE MONDE) : « A l’immobilité tragique, à la paralysie constipée des films de série, Hawks substitue un mouvement interne du tonnerre de Zeus, qui se révèle sans doute plus vraisemblable que la détermination tragique des savants de Jack Arnold ou de Nathan Juran. »
Quand Le Cri du Cagou est en France, ou plutôt quand son célèbre Trapard y est, il en fait profiter Les Echos d’Altaïr, et ça c’est quelque chose ! Un grand merci pour cette interview de 14 minutes du grand Jean-Pierre Putters, fondateur et ancien rédac-chef de la cultissime revue Mad Movies (que tout fantasticophile normalement constitué connaît avec L’Ecran Fantastique), une interview qui vaut de l’or !
En cette année de ses 25 ans d’existence, le Sci-Fi Club de Nouvelle-Calédonie a décidé d’inviter les Aliens pour une grande réunion au sommet qui se tiendra, prenez note, le mardi 26 avril dans l’amphi 400 de Nouville, à 18 heures. La plupart des représentants des diverses races qui peuplent la galaxie de la science-fiction ont accepté l’invitation et se font d’ores et déjà une joie de rencontrer l’espèce humaine dans un échange pacifique. Tout cela, bien entendu, dans le seul et unique but de mieux se connaître et de partager les cultures qui font la richesse de notre Voie Lactée, et même de celles qui se situent aux frontières de l’infini et au-delà.
Bonne rencontre du troisième type !
Pour en savoir plus : Sci-Fi Club
C’est une navette de l’excellente série ULYSSE 31 qui vous est proposée sur le site paperlaul, de plus tout est en français pour une fois ! La navette en question se divise en trois parties : Dardos, Orbos, Vires. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site. Je ne suis pas très en forme pour disserter davantage.