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Archive pour mai 2011

Le blog en vacances !

( Blog )

morbius1.jpgAttention, attention, avis à la population : Les Echos d’Altaïr ne connaitront exceptionnellement aucune activité du jeudi 26 mai au mercredi 1er juin. Morbius s’absente momentanément pour des vacances (bien méritées !) sur la planète Australie. Il sera à Sydney où l’attendent Galaxy Bookshop, Comics Kingdom et autres magasins spécialisés en merchandising et produits dérivés chers aux passionnés de SF et de fantastique ! Et puis il a prévu plein d’autres trucs pour s’aérer et laisser de côté cahiers scolaires, évaluations, copies crades, fautes d’orthographe, Internet, ordinateur, Facebook… Alors rendez-vous le 2 juin pour la reprise !



L’étrange manuscrit de Voynich

Voici un livre qui ne cesse d’intriguer scientifiques et spécialistes de l’Etrange depuis des décennies : le manuscrit de Voynich… Pourquoi ? Vieux de plusieurs siècles et écrit dans une langue indéchiffrable, ses pages renferment d’étonnantes illustrations de plantes inconnues sur terre, mais aussi de cartes astrales et de mystérieuses machineries…

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Le manuscrit de Voynich doit son nom à un riche bibliophile et antiquaire américain, Wilfrid Voynich, qui le découvrit en 1912 dans un ancien couvent de Jésuites près de Rome grâce au père Strickland. Il s’agit d’un petit livre de 22 cm sur 16 et de 204 pages (dont 24 ont disparu,  arrachées), qui a appartenu à plusieurs propriétaires avant d’arriver dans la bibliothèque du couvent. Personne ne connaît son auteur ni dans quel but il fut rédigé. On sait seulement depuis peu, et grâce au carbone 14, qu’il daterait du début du XVe siècle (résultat obtenu par l’université de l’Arizona).

A l’intérieur, on y recense 250 000 caractères pour 4000 mots indéchiffrables et une grande quantité d’étranges illustrations. Les spécialistes l’ont divisé en quatre parties distinctes : la partie Botanique compte 113 dessins de plantes non identifiées, la partie Astronomique révèle 25 diagrammes représentant peut-être le Soleil, la Lune et des constellations de notre galaxie, la partie Biologique présente 227 images de femmes nues plongées dans des sortes de baignoires reliées à des tuyaux, et la partie Pharmacologique dévoile des centaines de racines, de plantes et de récipients d’épices. Une dernière partie semble réservée à un index.

Le livre d’Irene Bellini et Danilo Grossi, Mystères et Enigmes (éd. Le pré aux clercs), précise à propos du manuscrit de Voynich : « Pour décrypter son code – en admettant qu’il y en ait un – on est allés jusqu’à utiliser les plus puissants ordinateurs des services secrets américains. Malheureusement, cela s’est traduit par des années de travail inutile qui n’ont abouti à aucune certitude. » En effet, le manuscrit demeure jusqu’à ce jour totalement indéchiffrable et par conséquent incompréhensible de la première à la dernière page. Aucun spécialiste n’est parvenu à percer ses secrets, ce qui a fait dire à certains qu’il ne s’agirait en fait que d’une pure invention, un véritable délire sans queue ni tête, sans but précis, bref, ni plus ni moins qu’un canular. D’autres par contre affirment qu’il pourrait s’agir de la retranscription chiffrée de La Clé de Salomon, texte magique extrêmement puissant, rédigé ainsi afin de le préserver de l’Inquisition. Enfin, certains vont même jusqu’à prétendre que ce manuscrit serait écrit en une langue extraterrestre, d’où ses illustrations ne présentant uniquement que des plantes inconnues…

En tout état de cause, le mystère reste entier ! Et si vous aussi vous souhaitez vous lancer dans sa traduction, une seule adresse pour consulter ses mystérieuses pages en ligne, scannées et visibles en plein écran :

Wikimedia

Bon courage !

Pour en savoir plus : Wikipédia

Sources : Mystères et Enigmes (d’Irene Bellini et Danilo Grossi / éd. Le pré aux clercs), Monde Inconnu 349.



Petite histoire du logo du Sci-Fi Club

Avec la célébration de ses 25 ans, le Sci-Fi Club de Nouvelle-Calédonie remue tout un tas de vieux souvenirs ! La petite histoire de son logo en fait partie, tous ses secrets les plus intimes vont vous être à présent révélés !

La première version du logo du Sci-Fi Club remonte à l’aube des temps. Oui, en cette époque, les glorieuses années 1980, j’étais encore un lycéen boutonneux peu courageux en classe mais prompt à rêver et concevoir un logo pour ce que l’on appelait alors avec une humble modestie : le Sci-Fi Miniclub (ce nom me fait toujours bien rire aujourd’hui, mais bon, passons…).

Muni d’un crayon à papier, d’une règle, d’une gomme, d’un gros marqueur noir à l’odeur forte et d’une jolie feuille A4 quadrillée de petis carreaux (ne comptez pas sur un ordi à l’époque), j’ai confectionné en deux temps trois mouvements un truc qui me trottait dans la tête depuis un moment déjà, genre un peu défilé du texte en perspective lors de l’ouverture de ce que l’on appelait alors LA GUERRE DES ETOILES, mon film culte. Le résultat de ce logo temporaire devait surtout servir aux affichages afin d’annoncer la future ouverture du club. L’affiche fut publiée derrière un CosmoFiction première génération, le numéro 11, en octobre 1985. Et voilà ce que ça donnait… hum !… pas de commentaires, merci !

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Et puis vint très rapidement (en 1986 ? 1987 ?) la seconde version du logo du Sci-Fi Miniclub. Là encore, je devais utiliser le même matériel hétéroclite qu’auparavant pour créer un logo inspiré vaguement, à sa façon, des lettres du titre STAR WARS.

Cette version, qui demeura en vigueur jusqu’en 1989, subit une légère modification lorsque le préfixe « mini » disparut enfin pour laisser place à « club » tout court ! Elle eut même droit à sa petite pancarte, confectionnée par mon père et placée devant la maison, afin de permettre aux nouveaux adhérents de trouver plus facilement le club dans la VDC. Voilà donc la seconde version du logo, avec le « mini » puis sans le « mini »…

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C’est dans le courant de l’année 1989 que le plus célèbre des logos du Sci-Fi Club devait faire son apparition. Il restera en place au moins jusqu’en 1996…

Je ne sais pas si l’original est toujours en possession de l’association (rangé dans une boîte à chaussures à l’époque !), car en fait il ne s’agit que d’un titre découpé dans le magazine Première édition américaine ! J’avais trouvé la revue dans une librairie, en France. Un dossier était consacré aux films de science-fiction sous l’appellation « Sci-Fi ». Le côté volontairement rétro du titre m’a plu instantanément. Les couleurs d’origine étaient différentes de celles que l’on choisit ensuite (il me semble que c’était du mauve avec du jaune…).

Ce logo ne fut donc pas créé par mes soins, je n’eus qu’à rajouter le mot « club », et le comparer à une « bouse » comme l’a fait un jour un membre du Sci-Fi Club (sur l’ancien forum de l’association) est loin d’être une réflexion intelligente… Il fut apposé sur tout : papier à lettre, t-shirts, affiches, éditions du Sci-Fi Club et on en fit même des pin’s (un truc très à la mode à l’époque !). Voilà la bête :

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En 1996, à l’occasion des 10 ans du Sci-Fi Club, le logo fut retravaillé par Mati. On y voyait une planète autour de laquelle s’enroulait la bannière 1986-1996 :

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En ce qui concerne les deux dernières versions du logo du Sci-Fi Club, je ne saurais vous parler de leurs origines car j’ai quitté l’association en 1996. Peut-être que Mati aura l’occasion de nous les raconter ici-même. En tout cas, voilà les derniers logos de la nouvelle ère du Sci-Fi Club, celle où l’informatique permet de formidables réalisations :

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- Morbius -



Votre Sulaco en papier !

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Auriez-vous cru pouvoir imprimer et réaliser un jour l’USS Sulaco du film ALIENS de James Cameron ? Ce monstre de vaisseau SF possède désormais son site où chacune de ses différentes parties est disponible avec des mises à jour régulières. Jan Rürk est à l’origine de ce fabuleux projet d’envergure qui s’adresse, on s’en doute, aux plus chevronnés d’entre vous ! Pour obtenir les commandes du Sulaco, rendez-vous ici. Et bon courage !



La Planète des Singes : les Origines

LA PLANETE DES SINGES : LES ORIGINES, réalisé par Rupert Wyatt, sortira en août. Un film que j’attends avec une certaine impatience…

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Tintin et le Secret de la Licorne

L’événement se profile à l’horizon : TINTIN ET LE SECRET DE LA LICORNE, réalisé par Spielberg et produit par Peter Jackson, le tout en 3D. Deux autres adaptations suivront. La bande-annonce semble nous promettre un bon spectacle.

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Mondes et voyages de Didier Graffet

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Je croyais vous en avoir déjà parlé, à moins que ce ne soit dans une vie antérieure… ou Alzheimer qui me guette… enfin bref, si vous ne connaissez pas encore Didier Graffet, talentueux artiste français ayant conçu les couvertures de certains livres fantastiques, dont les magnifiques exemplaires de Vingt Mille Lieues sous les Mers et de L’Ile Mystérieuse chez Gründ, courez visiter son site où vous découvrirez quelques-unes de ses oeuvres splendides : Nautilus, dragons, chevaliers, crayonnés… En dehors du Merveilleux, on sent la vapeur du Steampunk !

Le site officiel de Didier Graffet : Mondes et Voyages



Robot-craignos (19)

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Robot chevelu inconnu à tendances verdâtres, d’où viens-tu ? De THE SPACE GIANTS (titre américain d’une série TV japonaise de 1967 inédite en France… ouf, on y a échappé belle !). On pourrait l’imaginer cousin proche de Ro-Man, le robot-gorille de ROBOT MONSTER, oui, vous vous souvenez, des poils lui aussi… Cette espèce rare de robots à poils régna dans les années 1950 à 1960. Etant donné que les poils se coinçaient régulièrement dans les systèmes mécaniques, provocant régulièrement des courts-circuits, il a fallu revoir les différents modèles de ces fleurons de la robotique afin d’améliorer leur fonctionnement. C’est ainsi qu’ils furent remplacés par des Robby, Daleks, C3-PO, Cylon, Wall-E… sans aucun poils…



La Journée de l’Imaginaire

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En cette année 2011 où le Sci-Fi Club de Nouvelle-Calédonie fête ses 25 ans avec un programme riche en événements, ce samedi 21 mai verra l’inauguration de sa Bibliothèque de l’Imaginaire à la Maison du Livre à l’occasion d’une journée dédiée au Fantastique et à la Science-Fiction. Embarquement pour le rêve !

La Journée de l’Imaginaire débutera à 9h30 pour finir à 17h30 à la Maison du Livre (maison Célières au Faubourg Blanchot). L’entrée est entièrement libre (adhérents et non adhérents du Sci-Fi Club) et gratuite. Un troc aux livres de science-fiction se déroulera durant toute la journée en compagnie d’extraits de films, et chacun pourra accéder à la Bibliothèque de l’Imaginaire. Le programme complet :

  • 9h30 : petit déjeuner fantastique avec une présentation du programme de la journée et l’historique du Sci-Fi Club

  • 10h : un livre = un jeu de rôle : H.P. Lovecraft et L’Appel de Cthulhu

  • 10h30 : début du concours de nouvelles littéraires et découverte des jeux Dobble…

  • 11h : signature officielle de la convention entre le Sci-Fi Club et la Maison du Livre de Nouvelle-Calédonie + ouverture de la Bibliothèque de l’Imaginaire

  • 11h30 : un livre = un jeu de rôle : Michaël Moorcock et Stormbringer

  • 12h30 : jeux

  • 13h : présentation « Les aliens sont parmi nous »

  • 14h : présentation « Les détectives de l’impossible »

  • 15h30 : un livre = un jeu de rôle : George R.R. Martin et Trône de Fer

  • 16h : surprise

  • 16h45 : remise des prix du concours de nouvelles

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Une fontaine pour les pirates

PIRATES DES CARAÏBES : LA FONTAINE DE JOUVENCE sort demain mercredi à Nouméa. Espérons qu’il sera mieux que le précédent volet quelque peu longuet et ronflant, on y trouvera en tout cas de jolies sirènes en dehors de Penelope Cruz…

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