Ah non ! Vous ne me ferez pas ranger Nono, le petit robot, dans la catégorie « Robot-craignos » ! D’accord, son apparence est des plus simples : « Il est formé de trois segments en forme de boîtes de conserve : un pour la tête, un pour le torse et le dernier pour le ventre » (cf. Wikipédia)… Mais comment voulez-vous que je sois objectif lorsque je vois Nono et que je me rappelle des épisodes d’ULYSSE 31, la série culte ? Hein ?
Nono ne mesure pas plus de 40 cm. C’est un robot farceur et surtout le grand ami de Télémaque, le fils d’Ulysse. La poignée que l’on peut voir sur sa tête sert tout simplement à recharger ses batteries… Nono parle et éprouve de nombreux sentiments, y compris l’amour lorsqu’il rencontrera une femelle robot d’un modèle identique au sien. Il se nourrit essentiellement de petits clous dont il raffole éperdument. Enfin, il faut savoir que notre Nono possède une force phénoménale malgré sa petite taille.
« Il s’appelait Gaal Dornick et c’était un bon provincial qui n’avait encore jamais vu Trantor. Du moins, pas en réalité. Il l’avait vue bien des fois à l’hypervidéo, ou bien dans une bande d’actualités en tridi à l’occasion du couronnement impérial ou de l’ouverture d’un concile galactique. Il avait beau vivre sur la planète Synnax, qui gravitait autour d’une étoile aux confins de la Nébuleuse bleue, il n’était pas coupé de toute civilisation. D’ailleurs, à cette époque, il en allait de même pour les habitants de tous les points de la Galaxie. »
(Isaac Asimov / Fondation)
Après The Jedi Path : A Manual for the Students of the Force, voici venir le Book of Sith pour tout savoir et apprendre des ennemis jurés des Jedi et plonger dans le côté obscur : les Sith ! Tout comme son prédécesseur, il s’agit d’une véritable pièce de collection car notre ouvrage sacré se trouve enfermé à l’intérieur d’une sorte de pyramide qui ne demande qu’à s’ouvrir pour délivrer son précieux contenu. Mais ce livre sacré n’est pas à mettre en toutes les mains car il renferme bien des secrets : des notes personnelles de Palpatine (Dark Sidious), Dark Vador, Asajj Ventress (y compris des Jedi), des objets et autres artéfacts maudits… Vais-je le commander ? Il y a de fortes chances car le tarif de précommande est fixé à 62,99 $ sur Amazon US au lieu de 99,99 $… et je ne saurais résister une fois de plus au côté obscur de George Lucas…
Pour en savoir plus, rendez-vous sur AnakinWeb.
Une fois de plus, le blog de ma classe du CM2B de l’école Albert Perraud est à l’honneur, et il n’y a pas de raison pour que je m’en prive dans Les Echos d’Altaïr. En 2005, à l’occasion du centenaire de la mort de notre grand auteur national Jules Verne (1905-2005), nous avions décidé, mes élèves et moi, de célébrer comme il se doit l’événement. Nous avions alors travaillé des mois sur un projet d’exposition dans la salle de la BCD de l’école. Trois secteurs accueillirent l’événement : Voyage au Centre de la Terre (pour la terre), Vingt Mille Lieues sous les Mers (pour la mer) et De la Terre à la Lune (pour l’air). Ma classe, très motivée, réalisa alors des panneaux, des affichages, des décors et des maquettes. C’est ainsi que fut conçue, par exemple, la maquette du Nautilus… à base de boîtes à chaussures !
Je vous invite donc à venir découvrir les photos de cette merveilleuse exposition en cliquant sur ce lien.
IT CONQUERED THE WORLD
Année : 1956
Réalisateur : Roger Corman
Scénario : Lou Rusoff & Charles B. Griffith
Production : Roger Corman (American International Pictures)
Effets spéciaux : Paul Blaisdell
Pays : USA
Durée : 71 min
Interprètes : Peter Graves, Lee Van Cleef, Beverly Garland…
L’HISTOIRE :
Un monstre vénusien, ramené accidentellement sur terre, contrôle l’esprit des personnes qu’il rencontre…
Inutile de préciser que le célèbre monstre vénusien de IT CONQUERED THE WORLD est réputé pour être l’un des plus ratés du cinéma de science-fiction. Sans vouloir me faire l’avocat du diable (et sans souhaiter me faire lyncher sur la place publique !), je le trouve plutôt assez original et loin d’être le pire en comparaison avec celui de THE GIANT CLAW (sorte d’oiseau géant déplumé et au long cou), pour ne citer que lui. Certes, je n’ai pas dit non plus qu’il s’agissait d’une réussite… Le fait que Paul Blaisdell, son concepteur, l’ait monté sur roulettes le ridiculise au possible quand il se déplace. De plus, notre monstre vénusien agite sans cesse (et sans utilité) ses longs bras munis de pinces, attitude quelque peu grotesque… Il lui aurait suffi de posséder un corps un peu plus élaboré pour atteindre notre respectabilité. Néanmoins son faciès si particulier et son crâne conique en font un peu plus que le simple monstre concombre auquel on voudrait le rabaisser, non mais !
A propos du monstre, Jean-Pierre Putters déclare dans son ouvrage Ze Craignos Monsters (éd. Vents d’Ouest) : “Blaisdell concède volontiers que son look prêtait un peu à sourire, mais il se défend, arguant du fait que l’aspect physique correspondait en quelque sorte à ce qu’on pouvait attendre des conditions de vie climatiques d’une planète comme Vénus. [...] De toute façon, et en dernière instance, Blaisdell rejette entièrement la responsabilité de l’apparence de l’Alien sur la pusillanimité des producteurs. » En tout cas notre créature vénusienne est devenue aujourd’hui si célèbre que l’on en a fait des tee-shirts et des figurines que les geeks s’arrachent !
Un remake de IT CONQUERED THE WORLD fut réalisé en 1966 et intitulé ZONTAR, THE THING FROM VENUS. Il fut pire que l’original…
- Morbius -
Splendide bande-annonce que celle de la suite de VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE (version 3D avec Brendan Fraser) : L’ILE MYSTERIEUSE. Toujours inspiré par l’oeuvre de Jules Verne, ce nouveau chapitre compte nous transporter dans un monde magnifique au coeur d’une jungle hostile. L’aventure s’annonce grandiose dans un film qui n’a pour seul but que de divertir son public, et il en faut aussi !
V.I.N.CENT, et non David Vincent, célèbre robot du film LE TROU NOIR (THE BLACK HOLE), sera votre réalisation papertoy de la semaine. Cette jolie réplique en papier se trouve non pas à bord du Cygnus ou du Palomino, mais tout simplement ici.
Décidément, ça ne bouge pas un peu, mais ça bouge beaucoup actuellement dans Les Echos d’Altaïr ! Afin de suivre l’actualité de l’Imaginaire au plus près, votre blog est désormais depuis hier sur Twitter (en plus d’être déjà sur Facebook). Rendez-vous à cette adresse pour ceux que ça intéresse : https://twitter.com/#!/LesEchosDAltair
Les Echos d’Altaïr ont atteint aujourd’hui leurs 400 000 visites ! On y est ! C’est tout de même pas si mal pour un p’tit blog caldoche qui ne parle que de SF et de fantastique et qui fêtera bientôt ses deux ans d’existence (le 14 décembre) ! Eh bien je ne peux que remercier une fois de plus les fidèles et les touristes de passage qui m’ont permis d’en arriver là aujourd’hui. Je dresserai comme à l’accoutumée le bilan (très) détaillé du blog le jour de son anniversaire, et j’envisage également un changement de présentation (à condition de préserver correctement les textes et les photos !) dans les semaines qui viennent. En attendant, et encore une fois, MERCI !
Le numéro 24 du bimestriel Science et Inexpliqué (novembre-décembre) fait sa « une » avec un titre choc : « Vie extraterrestre… ça se précise ! », et on veut bien le croire ! On revient également sur la déclassification des ovnis en Grande-Bretagne et sur la fameuse Zone 51 pour se poser la question : « Mais que s’y passe-t-il vraiment ? » Jeanne d’Arc est aussi à l’honneur avec « Secrets et désinformation au XVe siècle »… éh oui, ça commençait déjà à cette époque là !
Star Wars : la Saga en BD numéro 34 (novembre-décembre) nous offre une couverture signée Stéphane Roux, et c’est peu dire si les anciens Scifiles de CosmoFiction sont fiers, moi le premier, car Stéphane participa à ses débuts (lorsqu’il avait quinze ans) au fanzine officiel du Sci-Fi Club en publiant ses célèbres Star Blagues en ses pages ! Depuis, il travaille chez Dark Horse, rayon STAR WARS : sa passion ! Au sommaire de ce 34e numéro : Starfighter Crossbones (3e partie d’une sympathique BD bien fichue et dessinée), The Old Republic : Risques de Paix (2e partie), une interview de Scott Allie (scénariste de L’Ordre Jedi), le très stylisé Les Pirates de l’Etoile Noire et Yoda : Celui qui reste caché…