Final Fantasy XIII-2 : Final Test

Posté le 19 mars 2012

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FINAL FANTASY XIII-2 : FINAL TEST (par Maï Kilhé Konn Skarn)

final1ah dans Science-fiction

Une fois n’est pas coutume, j’ai voulu faire un test de ce jeu, et bien évidemment vous en donner la primeur, à vous, Altaïriens.

Final Fantasy XIII : Un épisode mitigé.

S’il est une vérité inébranlable que l’on peut accorder à Final Fantasy XIII, c’est que cet opus à divisé les foules lors de sa sortie. Si certains ont reproché sa linéarité, d’autres ont souligné l’étendu des espaces à découvrir.

Un point a tout de même rapproché tous les joueurs : son système de combat qui permettait une quasi parfaite maîtrise de son équipe, équipe qu’il fallait bien préparer. Comprenez par là que les stratégies et personnages choisis étaient véritablement à maîtriser pour pouvoir avancer dans le jeu.

final2y dans Skarn

Final Fantasy XIII-2 : un savant mélange entre la critique négative et positive ?

On ne pourra pas reprocher à Square Enix de ne pas avoir écouté les critiques : cet épisode prend place dans un paradoxe temporel digne de Retour vers le Futur. Vous devrez donc officier dans un univers divisé en plusieurs zones très ouvertes dans lesquelles vous aurez à revenir régulièrement pour pouvoir en explorer les moindres recoins. Côté linéarité, l’équipe de développement à su démontrer qu’elle était capable d’offrir une histoire très ouverte, mais également très déconcertante, c’est donc un scénario très difficile à suivre qui vous attend ici, truffé de méandres et de modifications en tous genres.

Les développeurs ont également gardé ce qui a fait le succès de l’épisode : son système de combat. Et là rien de neuf, les stratégies ont été conservées ainsi que le combat en semi-temps réel, mais cette fois vous n’aurez que deux personnages à contrôler, le troisième protagoniste étant un familier, monstre que vous aurez su attraper lors de vos combats. Ces derniers sont nombreux et ont chacun leur possibilité d’évolution du même type que le Cristarium des personnages principaux, mais celle-ci n’évolue pas avec les points de compétence acquis au combat, mais avec des objets que vous y gagnez.

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Alors ce FF peut-il dire « Fous Furieux » ?

Si l’on parle du jeu en lui même, pas de quoi le devenir, mais la barre de furie, ici nommée « choc », est bel et bien présente. Au niveau des points positifs que l’on peut en retenir, la part belle sera donnée à l’ouverture du jeu qui, contrairement à ses prédécesseurs, a laissé tomber sa linéarité pour la troquer contre un scénario ouvert (8 fins différentes sont à ce titre disponibles). L’évolution par Cristarium et conservée, mais a été simplifiée. L’apparition des QTE est un bonne idée, celle ci permet de « jouer » pendant les cinématiques (en fait, il suffit d’appuyer sur un touche de la manette au moment ou le jeu le demande), même si celles-ci sont peu nombreuses et n’ont que peu d’incidence sur le déroulement de l’histoire. Les graphismes sont toujours aussi magnifiques et exploitent bien le 1080i de la console, le son DD 5.1 n’étant pas en reste.
S’ils sont bien entendu présents, peu de points négatifs viendront nuire à votre plaisir. On notera une bande son mélangeant les mélopées musicales que l’on a pu entendre dans l’opus précédent avec des partitions dignes des plus grands auteurs du cinéma, avec parfois des moments de pures folies de hard rock qui n’ont à mon avis rien à faire dans ce genre de jeu. Les familiers sont une idée inintéressante, mais ceux-ci sont bien entendus moins « vivants » qu’un troisième personnage.

Question difficulté et durée de vie, nous sommes dans un Final Fantasy : si l’on prend le temps de visiter les coins et recoins des cartes, l’évolution des personnages ne sera pas des plus difficiles et permettra d’appréhender au mieux les combats qui les jalonnent. Pour pouvoir s’attaquer aux quêtes annexes, il vous faudra par contre prendre le temps de faire monter vos personnages et familier à leur niveau les plus haut, et choisir les bonnes stratégies. En une trentaine d’heures il vous sera ainsi possible de finir le jeu, mais vous n’aurez alors découvert qu’une petite moitié de l’histoire.

Au final, voici une fantaisie que je vous conseille vivement, pour son univers envoutant et ses personnages attachants.

NotaSkarn : 18/20.

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- Maï Kilhé Konn Skarn -

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