Après Spiderman, normal de laisser place au « Dark Night » : Batman ! Joli papertoy simple à réaliser, et dont le masque s’enlève (ils ont tout prévu !), vous le trouverez chez Gotham Ci… pardon, vous le trouverez chez mypaperheroes.blogspot.com.
Un grand merci à Cyril qui a conçu le superbe nouveau logo des Échos d’Altaïr, je ne pouvais rêver mieux ! En attendant d’en profiter pleinement dans la future nouvelle version du blog qui apparaîtra dans quelques semaines ou mois, ce logo accompagnera désormais tous les articles de la catégorie « Blog » et représentera officiellement Les Échos d’Altaïr. Vous pourrez prochainement l’admirer en plus grand, en attendant : patience !
Scifimages, l’exposition artistique consacrée à l’Imaginaire, rendez-vous annuel depuis 2010, ouvrira ses portes le 3 août à la Maison du Livre pour un bel hommage calédonien au grand Moebius récemment disparu.
C’est depuis 2010 que Scifimages expose chaque année les créations des illustrateurs et des graphistes calédoniens, professionnels et amateurs, sur des thèmes choisis. Science-fiction, Fantastique et Merveilleux entraînent les visiteurs dans les contrées du rêve grâce à des œuvres de toute beauté qui puisent leur inspiration dans des nouvelles ou des romans. Cette année, Scifimages, toujours organisé par le Sci-Fi Club et la Maison du Livre, rend un vibrant hommage à notre Jean Giraud-Moebius national qui nous a quitté il y a quelques mois.
Moebius aura donc droit à un hommage respectueux de la part de nombreux artistes calédoniens, qui auront mêlé comme il se doit son univers à celui du Caillou. On trouve ainsi dans la liste des participants : Ajna, Jar, Yuk, Jileme, Johannes Wahono, DKA, Lilite, Vaessili et Kayende, pour ne citer qu’eux, mais il y en a encore beaucoup d’autres, et non des moindres ! La seule façon de vous rendre compte de leur talent et de leur imagination est d’aller à la Maison du Livre, au Faubourg Blanchot, à partir du 3 août (jusqu’au 1er septembre), où vous trouverez toutes leurs œuvres exposées sur place. L’entrée est libre du mardi au samedi, de 10h30 à 17h.
En outre, et c’est une première, le Sci-Fi Club et la Maison du Livre mettront en vente l’Artbook Scifimages, un catalogue regroupant la plupart des œuvres exposées de 2010 à 2012, pour se replonger avec délectation dans l’univers de l’Imaginaire à la sauce calédonienne !
Pour en savoir plus : Scifimages.
L’ODYSSEUS
L’Odysseus est le vaisseau d’Ulysse dans la série de dessins animés ULYSSE 31 (1981-1982). De la taille d’une petite ville (longueur : 1224 m / largeur : 3125 m / hauteur : 2005 m) et non armé, il transporte Ulysse, son fils Télémaque, la jeune Zotrienne Thémis et le robot Nono. Le reste de l’équipage a été plongé dans une profonde léthargie suite à un terrible incident avec Zeus. Ulysse se voit donc contraint d’errer à travers l’Olympe, à la recherche de la Terre dont le chemin a été effacé des ordinateurs, mais aussi à la recherche d’une solution qui permettrait à l’équipage de se réveiller.
Contrôlé par l’ordinateur central à la voix féminine appelé Scherka, l’Odysseus compte différents types de robots, notamment pour lutter contre les incendies, ainsi que divers vaisseaux tels qu’une navette (elle sert à la fois à l’exploration et aux combats, et peut se séparer en trois vaisseaux indépendants : le Dardos, l’Orbos et le Virès), l’Élios (autre navette d’exploration accueillant jusqu’à quatre passagers) et le Périscaphe (module utilisé pour l’exploration sous-marine).
L’Odysseus possède la forme d’un œil géant dont l’iris est une fonctionnalité du vaisseau pour se protéger d’une lumière trop forte ou de puissants rayonnements.
On suppose également que la forme de l’œil reprend volontairement le logo de la chaîne FR3 de l’époque, qui a en partie assuré le financement de la série et sa diffusion en France.
SPACE COMMAND, dont Les Échos d’Altaïr ont déjà parlé ici, poursuit son petit bout de chemin avec plus de 220 000 dollars récoltés ! Voici la toute dernière bande-annonce, splendide, de ce magnifique projet de série de space opera à l’ancienne.
JASON OF STAR COMMAND, créé par Arthur H. Nadel et dérivé de SPACE ACADEMY, est une série télévisée américaine de science-fiction inédite en France qui connut deux saisons entre 1978 et 1979. Elle racontait l’éternelle lutte contre un dangereux ennemi, Dragos, désireux de conquérir l’univers…
Jason (Craig Littler), héros de la série, est un soldat de fortune qui fait partie d’une section secrète de la Space Academy. Sa mission est de lutter contre Dragos (Sid Haig), un ennemi redoutable dont le seul but est de conquérir l’univers. Il est aidé pour cela par une équipe spéciale : les commandants Carnavin et Stone, un ordinateur expert appelé Nicole, la puissante alien Samantha, un scientifique excentrique répondant au nom de Dr. E. J. Parsafoot et des deux robots Peepo et Wiki. Ensemble ils font face au terrible Dragos qui s’est lui-même auto-proclamé « Maître du Cosmos » et doivent affronter ses aliens à bord du Dragonship…
JASON OF STAR COMMAND, spin-off de SPACE ACADEMY, était une série télévisée diffusée le samedi matin aux États-Unis dans les programmes pour enfants. Produite par Filmation, elle débuta le 9 septembre 1978 et se termina le 1er décembre 1979 pour un total de 28 épisodes d’environ 25 minutes chacun répartis sur deux saisons. La série réemployait des décors, des robots et des vaisseaux de SPACE ACADEMY, et reçut même la participation régulière de James Doohan (Scotty dans STAR TREK) durant sa première saison.
JASON OF STAR COMMAND fonctionna volontairement, au début, à la façon des serials des années 1930, avec des chapitres à suivre se finissant toujours par un cliffhanger. Les moyens financiers étaient conséquents pour une série avant tout destinée aux enfants, et le succès fut au rendez-vous. Ses effets spéciaux furent assurés par certains spécialistes qui avaient déjà travaillé sur STAR TREK ou qui participeront sur STAR WARS.
Jason utilisait dans ses missions un Starfire, appareil conçu avec une capsule de sauvetage, alors que Dragos possédait un gigantesque vaisseau. Les destructions durant les scènes de bataille devaient utiliser le moins de violence possible afin de ne pas heurter la sensibilité des enfants…
Les deux saisons de JASON OF STAR COMMAND sont désormais disponibles en coffret DVD zone 1. Voici le début du premier épisode sur YouTube, un épisode où l’on a droit à des sorties dans l’espace sans scaphandre et au rire démoniaque du méchant… À noter également que la musique utilise quelques extraits de celle qui accompagnait les épisodes de STAR TREK, la série animée.
« Retour vers les 80′s », nostalgie oblige, présentera de temps à autre une critique (ou plutôt devrais-je dire une opinion) parue dans la première série du fanzine calédonien CosmoFiction, celui, très amateur, publié de 1984 à 1986 et rassemblant 17 numéros (non scannés sur ce blog). C’était l’époque des GREMLINS, WARGAMES, SOS FANTÔMES, DUNE, LEGEND, TERMINATOR, LADYHAWKE, LES GOONIES… bref, que du bon ! C’était aussi l’époque où, à l’âge de 19-20 ans, alors que le Sci-Fi Club n’était pas encore né, je vendais à mes potes Cosmo et où le cousin de Métropole (Alain) était le « correspondant de France » ! Notre passion se lisait à travers nos écrits et notre engouement aveuglait parfois notre sens critique ! Mais peu importe, au moins nous vivions intensément nos rêves sans nous soucier du « qu’en-dira-t-on ».
C’est au papa d’ALIEN, de BLADE RUNNER, de GLADIATOR et, dernièrement, de PROMETHEUS, à qui l’on doit cette merveille du Merveilleux : LEGEND. J’avoue avoir été, à l’époque, très surpris de découvrir un Ridley Scott parfaitement capable de passer d’un film de SF horrifique à une histoire de forêt enchantée où se promènent des licornes et lutins ! Alain fut également séduit, la preuve avec sa critique publiée dans CosmoFiction Fanzine numéro 10 de septembre 1985.
L’histoire : « Lili, jeune et jolie princesse, est convoitée à la fois par Jack, jeune homme proche de la nature, et par Darkness, véritable incarnation du mal, qui ne rêve que de plonger le monde dans une nuit éternelle en tuant les deux licornes protectrices. Avec l’aide du lutin Gump et de ses acolytes Screwball et Tom Brown, Jack se lance dans une quête désespérée pour mettre fin aux agissements du démon et empêcher la transformation de Lili en créature perverse. » (allocine.fr)
« Alors qu’on commençait à taxer Ridley Scott de « précurseur de genres cinématographiques » (combien de films se sont inspirés d’ALIEN ou de BLADE RUNNER ?), son dernier film, LEGEND, remet tout en question, vu qu’il semble s’inspirer du film de Jim Henson : DARK CRYSTAL… Mais, bien que ce phénomène se ressente quelque peu, le film ne manque pas pour autant d’intérêt, l’atmosphère du conte de fées, par exemple, étant tout de même omniprésente. Et si l’on peut se plaindre d’avoir déjà rencontré un scénario du genre de celui de LEGEND il n’y a pas si longtemps (combat entre les forces du Bien et les forces du Mal), je pense que personne ne pourra contester la partie visuelle du film qui, de par sa beauté enchanteresse, est quant à elle un merveilleux spectacle permanent. Un décor qui ne nous est, certes, pas si inconnu (la forêt), mais qui prend ici grâce au talent de Ridley Scott des allures surnaturelles et fascinantes.
De toute manière, le dépaysement total qu’offre LEGEND mettra certainement tout le monde d’accord, et comme en fait c’est ce que nous attendions du film en priorité !…
À noter que Ridley Scott a permis au film de sortir plus tôt dans les salles de cinéma françaises que dans celles des USA. De même, la version française est d’une durée plus longue de 10 minutes par rapport à la version américaine ! »
- Alain -
Réalisation : Ridley Scott / Scénario : William Hjortsberg / Acteurs : Tom Cruise, Mia Sara, Tim Curry…
Le dernier reboot de SPIDERMAN étant à l’affiche, en attendant son prochain reboot, puis le remake du reboot, sans compter la préquelle, puis sans doute sa fausse préquelle qui laissera quelques séquelles, je vous propose un mini Spidey papercraft à réaliser en quelques coups de ciseaux. C’est chez minipapercraft.blogspot.com. Amusez-vous bien.
Voici la servante du Gardien de la mystérieuse planète Piri, une belle humanoïde douce et attentionnée, incarnée par Catherine Schell, dans le fascinant épisode de COSMOS 1999 : LE GARDIEN DU PIRI. Humanoïde en apparence, androïde en fait. C’est ce que découvriront avec effroi nos héros de la base Alpha dans les dernières minutes de l’épisode…
Piri, planète où il fait si bon vivre que presque tous les membres de la base lunaire ne souhaiteront plus jamais la quitter, abandonnant à jamais la Lune pour sombrer dans une étrange béatitude…
Le gardien de Piri fut crée, jadis, dans le but de contrôler les machines et de décider à la place des habitants de la planète afin de leur éviter tout tracas. Il ne reste aujourd’hui aucune trace de leur existence… La servante proposera au commandant Koenig et à ses hommes de connaître une nouvelle vie faite de bonheur, de paix et d’éternité sur Piri. Koenig parviendra à la détruire et, du même coup, à briser cette béatitude qui retenait prisonniers les membres de la base lunaire sur Piri… Retour sur la Lune pour de nouvelles aventures…