Dur dur de s’occuper d’un blog lorsque l’on est enseignant ! En effet, je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais Les Échos d’Altaïr ont actuellement de plus en plus de mal à assurer leur publication régulière. Et cela dure depuis deux ou trois semaines… Alors je me confie à vous…
J’ai toujours essayé, autant que faire se peut, de publier quotidiennement un article sur ce blog. Rares ont été les fois où Les Échos d’Altaïr n’y sont pas parvenus. Désormais, cela devient un véritable défi… Pourquoi ? Tout simplement parce qu’être un instituteur fantasticophile n’est pas chose facile : il faut concilier métier et passion… Et à choisir, j’ai toujours fait passer le métier avant la passion. Belles paroles me direz-vous ? Non. Travailler dans une zone d’éducation prioritaire est une lourde tâche, sans compter qu’il s’agit d’une lourde responsabilité, en outre je dois cette année modifier beaucoup de séquences avec les nouveaux programmes, corriger telle ou telle chose, adapter, faire, défaire, refaire…
« Ce métier est un métier de fou » m’avait-on dit quand je suis entré à l’École Normale pour mes trois ans de formation. C’est vrai. C’est l’un des rares métiers au monde où lorsque c’est fini il y en a encore… Je ne peux pas rentrer chez moi le soir en me disant : « Ouf ! C’est fini pour la journée ! » Que j’aimerais !…
Après la sonnerie de 15h30 je reste entre 45 minutes et une heure en classe pour m’occuper de quelques bricoles (rangements, préparations…). Puis une fois de retour chez moi je m’accorde une récré jusqu’à 17h30. C’est là où je surfe rapidement sur Internet : statistiques du blog (important de connaître la santé de LEA), groupe Facebook du blog et autres groupes auxquels j’adhère, quelques sites à droite et à gauche puis… STOP !!! C’est parti ensuite pour la soirée scolaire : cahier-journal, rédaction de nouvelles séquences (adaptées au niveau de la classe…), parfois recherche de documents (adaptés au niveau de la classe…), et le pire du pire : les corrections, charmes du métier… Il faut vérifier avec attention, évaluer tout en prenant en compte l’erreur ou la faute de l’élève, et regrouper en fonction des résultats… Tout cela m’amène aux environs de 19h ou 20h (parfois pire), et j’en ressors lessivé…
Alors vous comprendrez que dans ces conditions le blog trinque. En dehors des « Citations célèbres », « Trucmuche a dit… », des « Papertoys » et des « Robots-craignos » ou « Robots-cools », le moindre petit article des Échos d’Altaïr demande quelques recherches si l’on veut un tantinet paraître sérieux et faire un boulot présentable, donc ça demande du temps (ce n’est pas Trapard qui me contredira !). Il me faut donc repartir sur des recherches, dans mes bouquins, mes magazines, mais aussi Internet, et souvent traduire le bla-bla américain, sans compter trouver les photos, les agrandir ou les réduire, en espérant que l’hébergeur ne fera pas des plantages entre temps, tout ça pour les « Vaisseaux SF », « Créatures fantastiques au cinéma », « Monstres sacrés », « Imaginart » et tant d’autres catégories que je laisse de plus en plus souvent de côté désormais car mes yeux se ferment devant l’écran, la fatigue m’envahissant comme à l’heure où j’écris cet article… Dès lors les fautes d’orthographe en profitent pour envahir mes textes et les souiller sans retenue. Je dois redoubler de vigilance…
Dans ces conditions, vous vous doutez que seuls les week-ends et les vacances me permettent d’assurer au mieux le blog. J’ai alors du temps libre que je peux consacrer, par exemple, à une « Fiche film » qui me prend quant à elle une matinée entière…
Je me permettrai donc dorénavant, peut-être, de ralentir la cadence des Échos d’Altaïr tout en sachant que, dès que je le pourrai, je publierai un article. Tout dépend du boulot scolaire et de certains jours. Et puis si l’envie vous prend d’écrire pour LEA, n’hésitez pas. Je pourrai ENFIN compter sur certains d’entre vous et permettre au blog d’obtenir une cadence régulière (le formulaire de contact se trouve ici).
Bon, allez, je vais me coucher. À plus sur Altaïr IV.
Votre dévoué Morbius.
« Lorsque le ciel – comme c’était le cas ces jours-ci – était nuageux, Robert Neville ne se rendait pas toujours compte de l’approche du soir, et parfois ils auraient pu envahir les rues avant qu’il ne fut rentré chez lui. S’il avait eu l’esprit plus précis, il aurait pu calculer approximativement le moment de leur arrivée ; mais il avait gardé la vieille habitude de s’en remettre à la couleur du ciel. Par temps couvert, cette méthode n’était pas sûre et c’est pourquoi, ces jours-là, il préférait ne pas s’éloigner de sa demeure. »
(Richard Matheson / Je suis une Légende)
« Retour vers les 80′s », nostalgie oblige, présentera de temps à autre une critique (ou plutôt devrais-je dire une opinion) parue dans la première série du fanzine calédonien CosmoFiction, celui, très amateur, publié de 1984 à 1986 et rassemblant 17 numéros (non scannés sur ce blog). C’était l’époque des GREMLINS, WARGAMES, SOS FANTÔMES, DUNE, LEGEND, TERMINATOR, LADYHAWKE, LES GOONIES… bref, que du bon ! C’était aussi l’époque où, à l’âge de 19-20 ans, alors que le Sci-Fi Club n’était pas encore né, je vendais à mes potes Cosmo et où le cousin de Métropole était le « correspondant de France » ! Notre passion se lisait à travers nos écrits et notre engouement aveuglait parfois notre sens critique ! Mais peu importe, au moins nous vivions intensément nos rêves sans nous soucier du « qu’en-dira-t-on ».
L’histoire : « Sam Lowry, un bureaucrate d’un monde rétro-futuriste totalitaire, essaye de corriger une erreur administrative, et va lui-même devenir un ennemi de l’État. Sam se contente de son travail et de sa petite vie tranquille tout en s’échappant en rêve dans un monde de héros romantiques. Son existence satisfaite, mais solitaire, est compliquée par l’arrestation brutale d’un certain Archibald Buttle, en raison d’une erreur administrative. Il tente de réparer cette injustice et doit lutter contre un système extrêmement contrôlé qui le considère de plus en plus comme un dissident. Les tentatives de sa mère de lui obtenir une promotion, l’intrusion d’un chauffagiste rebelle au système, Harry Tuttle, et la survenue en chair et en os de la femme de ses rêves sont les autres éléments de l’intrigue. » (Wikipédia)
En 1985 sort BRAZIL, le dernier Terry Gilliam. Le film est salué par la presse, il est aujourd’hui devenu un classique du genre. Retour vers la critique d’Alain parue en mai 1985 dans le numéro 6 de CosmoFiction Fanzine.
« Si George Orwell s’était trompé en 1951 dans ses descriptions du monde de 1984, souhaitons qu’il en soit de même pour Terry Gilliam dans sa description de la vie future, car celle-ci , comme celle de Orwell, s’apparente à un véritable cauchemar.
BRAZIL nous fait vivre l’enfer quotidien d’un employé ministériel qui tente de s’évader, par le rêve, du monde où il vit. Monde où la sécurité est très discutable, où vie privée et liberté sont pratiquement inexistantes. Les rêves de l’employé seront d’ailleurs plus tard la cause de bien des tours…
Annoncé par beaucoup de journaux comme un film comique, ce que l’on pourrait facilement croire en voyant la première heure du film ainsi qu’en remarquant que le réalisateur n’est autre qu’un des célèbres Monty Python, BRAZIL se révèle être en fait un film assez dramatique et angoissant. Les formidables effets sonores ne font d’ailleurs qu’accentuer cette angoisse. Il est à noter que le film n’est qu’une suite de rebondissements inattendus nous empêchant sans cesse de faire la part du rêve et de la réalité, ce fait constituant donc aussi un des nombreux éléments d’angoisse du film.
Du côté des effets spéciaux : impressionnant. Du côté de la musique du film : intéressant. Ces deux choses constituant, en plus des autres, un ensemble formidable contribuant à faire de BRAZIL un très bon film. »
- Alain -
Réalisation : Terry Gilliam / Scénario : Charles McKeown, Tom Stoppard & Terry Gilliam / Acteurs : Jonathan Pryce, Robert De Niro, Kim Greist, Katherine Helmond, Ian Richardson, Michael palin, Bob Hoskins, Ian Holm…
LE BTA FIGHTER
Le BTA Fighter du film ENEMY (ENEMY MINE / 1985 / Wolfgang Petersen) est un chasseur rapide biplace capable d’exécuter de prodigieuses manœuvres. Lors de la guerre qui opposa la Terre à la civilisation Drac, les BTA Fighters livrèrent de multiples batailles spatiales. Leur point de ralliement étaient d’immenses bases cosmiques. Rangés dans des hangars, posés à même le sol, ils intervenaient régulièrement. L’un d’entre eux, piloté par Willis Davidge (Dennis Quaid), fut touché par un chasseur ennemi lors d’un combat. Il s’écrasa sur la planète Fyrine IV où son pilote dut survivre dans un milieu hostile.
Six versions différentes du BTA Fighter furent réalisées par Joachim Weber et Patric Wollensack, l’ensemble étant filmé par ILM. On pourra s’étonner que les scènes d’attaques ne soient pas toujours réussies sur le plan visuel, d’autant plus que ce travail fut effectué par la célèbre firme de George Lucas. Il est vrai que, durant les années 1980, celle-ci bâcla les effets spéciaux de certains films comme, notamment, ceux de GOLDEN CHILD.
Autres vaisseaux présentés dans la catégorie VAISSEAUX SF des Échos d’Altaïr :
Croiseur C-57D / Valley Forge / Discovery One / Fusée du Choc des Mondes / Astroforteresse Galactica / Aigle / Nostromo / Andromeda Ascendant / Serenity / Jupiter 2 / Moya / Vaisseau de Les Premiers Hommes dans la Lune / Lexx / USS Enterprise NCC-1701-D / Destinée / USS Cygnus / Soucoupe de Klaatu / Tardis / Starfury / Liberator / Viper / Thunderbird 3 / Excalibur / Starbug / Vaisseaux des Visiteurs / Event Horizon
Capturé pour vous par Morbius, ce splendide spécimen de monstre vénusien tout droit échappé de IT CONQUERED THE WORLD de Roger Corman (1956) sera bientôt en votre possession si vous possédez l’arme ultime pour le maîtriser : une bonne imprimante. Ensuite, en quelques coups de ciseaux et une bonne colle, vous devriez parvenir à le dresser. Ajoutez-y tout de même un peu (beaucoup) de patience et d’habileté, et vous aurez fait de cette créature-vénusienne-concombre votre animal domestique. Que demander de plus ? Ah oui : comprendre un peu le japonais… C’est ici que vous trouverez la « chose »…
J’ai pu constater (avec effroi) que nombre de photos des articles des Échos d’Altaïr s’étaient modifiées d’elles-mêmes avec le temps et avec le changement de design du blog opéré en décembre 2011. On les trouve particulièrement agrandies, comme soudain placées sous une loupe… Certaines ont même mystérieusement disparu, laissant place à une petite croix timide… Merveilleux ! On n’arrête pas le progrès de la bêtise informatique ! J’entends déjà les groupies du club Microsoft m’expliquant le pourquoi du comment, tout en s’effarant devant mes propos injurieux envers leur dieu Bill Gates ! Ma foi, mieux vaut en rire qu’en pleurer.
J’ai donc l’intention de procéder prochainement au rétablissement des photos dans leurs bonnes proportions et remplacer les jolies croix par des images en couleur. Mais pour cela il me faudra du temps car je devrais alors passer au peigne fin toutes les catégories du blog.
Une preuve de plus que la machine ne parviendra jamais à remplacer l’homme…
REM est le sympathique androïde de la série télévisée L’ÂGE DE CRISTAL (LOGAN’S RUN / 1977-1978). On le rencontre dès l’épisode pilote où il se joint à la fameuse quête du Sanctuaire en compagnie de Logan 5 et Jessica 6. Maniant l’humour et le cynisme avec un réel talent, REM est un androïde merveilleusement interprété par Donald Moffat qui le rend très attachant dès sa première apparition.
REM possède l’apparence d’un être humain d’une cinquantaine d’année. Il déteste particulièrement qu’on le traite de robot, véritable injure à ses yeux, et c’est toujours avec force et fracas qu’il réagit alors pour manifester son appartenance à la catégorie des androïdes ! Capable de s’auto-programmer et de s’auto-réparer, REM aidera de nombreuses fois nos héros dans les moments les plus difficiles, lui qui s’amuse continuellement des mœurs et des réactions humaines. Au cours de ses aventures, notre androïde tombera même « amoureux » d’une belle représentante de sa catégorie, sentiment inconnu en lui et qui lui provoquera quelques étincelles.
Ce que nous dit Wikipédia…
« Les cyclopes forment une espèce de créatures fantastiques dans la mythologie grecque. Ce sont des géants n’ayant qu’un œil au milieu du front. Leur nom vient du grec ancien κύκλωψ / kýklôps, formé de κύκλος / kýklos (« roue », « cercle ») et de ὤψ / ốps (« œil »), que l’on pourrait traduire par « œil rond ». Selon Hellanicos, ils tirent leur nom de leur père, Cyclope, fils d’Ouranos. Les légendes qui les concernent sont contradictoires : il ne faut pas les confondre avec les Géants, nés du sang d’Ouranos et tués lors de la gigantomachie ; il faut aussi veiller à distinguer plusieurs races successives : ouraniens, forgerons, bâtisseurs et pasteurs (seuls les cyclopes ouraniens et pasteurs sont mentionnés par Homère). »
Le Cyclope au cinéma…
Comme à l’accoutumée dans cette catégorie des Créatures fantastiques au cinéma, nous ne nous intéresserons ici qu’à quelques titres de films ou de téléfilms où le Cyclope apparaît dans sa version mythologique, c’est-à-dire tel qu’on le décrit dans les légendes grecques (même si son image est souvent « égratignée » à travers les productions hollywoodiennes), et non dans des versions SF où son apparence est tellement détournée que tout ce qui reste de lui demeure son œil unique… Il est donc hors de question de répertorier dans cet article TOUTES les apparitions de notre célèbre créature fantastique au cinéma, étant donné que ce travail est déjà disponible dans un admirable dossier paru dans la revue Métaluna (et disponible ici).
Commençons en 1955, dans le film ULYSSE (de Mario Camerini) qui met en vedette Kirk Douglas dans le rôle du héros légendaire. Nous rencontrons dans sa grotte le célèbre Cyclope de L’Odyssée, Polyphème, et il faut avouer que pour un film des années 50 la réussite est au rendez-vous. Filmé par d’habiles effets visuels destinés à lui conférer toute sa taille impressionnante face aux compagnons d’Ulysse, Polyphème est le Cyclope décrit dans la légende grecque : effrayant, cruel et surtout… idiot ! Après avoir dévoré quelques hommes et bu son vin, il s’effondrera ivre, permettant à Ulysse de lui crever son œil unique.
En 1958, Ray Harryhausen nous propose SA version du Cyclope dans LE 7e VOYAGE DE SINBAD (THE 7th VOYAGE OF SINBAD, de Nathan Juran). Le Maître de l’animation image par image a conçu un surprenant et magnifique Cyclope hybride, mélange entre une sorte de gargouille et un bouc ! Incapable de parler (il ne fait que hurler), il affrontera Sinbad et son équipage de marins sur une île mystérieuse où d’autres de ses compères réserveront également des surprises à nos héros. En outre, notre Cyclope, superbement animé grâce à la magie Harryhausen, combattra un dragon. Lequel l’emportera ? Je vous laisse le découvrir dans ce chef-d’œuvre de la stop-motion.
Dans MACISTE CONTRE LE CYCLOPE (MACISTE NELLA TERRA DEI CICLOPI, 1961, d’Antonio Leonviola), un Cyclope descendant de Polyphème, et fidèle à l’imagerie grecque, traque sans merci les descendants d’Ulysse pour les massacrer et ainsi se venger. Mais Maciste aura vite fait de régler le problème à sa façon… Ce qui ne l’empêchera pas de devoir affronter un nouveau Cyclope dans MACISTE EN ENFER (MACISTE ALL’INFERNO, 1962, de Riccardo Freda). Nouveau ? Pas vraiment. Il s’agit en fait du même Cyclope que celui de MACISTE CONTRE LE CYCLOPE, puisque la production réutilise sans vergogne les séquences du film d’Antonio Leonviola…
Ray Harryhausen contre-attaque en 1974 dans LE VOYAGE FANTASTIQUE DE SINBAD (THE GOLDEN VOYAGE OF SINBAD, de Gordon Hessler) en nous présentant sa dernière version du Cyclope ! Cette fois, il ne s’agit plus d’une gargouille à pattes de bouc mais d’un Centaure Cyclope, ou d’un Cyclope Centaure, selon votre convenance… L’étrange créature menace la belle Caroline Munro en brandissant une massue avant d’affronter un griffon dans un combat cruel. Là encore, je vous laisse découvrir le film afin de savoir qui l’emportera.
En 1983, on aperçoit un Cyclope parmi la bande de rebelles du film de space fantasy KRULL (Peter Yates). La belle princesse Lyssa a été enlevée par une terrible créature, la Bête. Nos héros, dont notre Cyclope, affronteront mille dangers pour tenter de la délivrer.
En 1997, l’excellent téléfilm de 180 minutes, L’ODYSSÉE (THE ODYSSEY, produit par Coppola et réalisé par Andrei Konchalovsky) reprend la célèbre aventure d’Ulysse (incarné par Armand Assante) et nous présente un Cyclope Polyphème plutôt réussi, malgré une certaine laideur bien prononcée et une calvitie rare chez la créature… Néanmoins les Cyclopes deviendront tous chauves à partir de cette date, pour preuve LE MONDE DE NARNIA, CHAPITRE 1 (d’Andrew Adamson, 2005) où des Cyclopes imberbes et de taille raisonnable (mais de carrure conséquente) participent à de gigantesques batailles.
En 2008, CYCLOPS, téléfilm produit par Roger Corman et réalisé par James Mangold, nous présente un horrible Cyclope capturé par un soldat romain. La créature, entièrement conçue en images de synthèse, deviendra finalement l’allié du Romain dans une lutte contre la tyrannie. Enfin, dans LA COLÈRE DES TITANS (WRATH OF THE TITANS, de Jonathan Liebesman, 2012), les Cyclopes sont toujours aussi méchants, aussi bêtes et aussi grands, mais ils reprennent un peu du poil de la bête au niveau du crâne…
Dans PERCY JACKSON : LA MER DES MONSTRES (Thor Freudenthal, 2013), on a droit à deux Cyclopes à l’apparence totalement opposée, seules les dreadlocks les rassemblent… D’abord le demi-frère de Percy, Luke Castellan, jeune Cyclope un peu gauche mais au cœur d’or et à la bravoure sans égale, que seul un œil au milieu du front dénote des êtres humains. Il le cachera d’ailleurs derrière des lunettes de soleil.
Ensuite le légendaire Polyphème, d’une taille impressionnante, qui vit en ermite sur une île totalement aménagée pour lui. Brutal, indifférent aux bonnes manières et plutôt dangereux, Polyphème a le visage tatoué façon Maori et s’avère une belle réussite sur le plan des effets spéciaux.
Après les Cyclopes chauves, la série des PERCY JACKSON a lancé la mode des Cyclopes aux dreadlocks ! Et que nous offrira ensuite le cinéma ?…
Autres créatures de la catégorie Les Créatures Fantastiques au Cinéma :
Talos / Licorne / Centaure / Sirène / Méduse / Pégase / Kraken / Griffon et Hippogriffe/ Minotaure / Harpie / Elfe / Oiseau Roc / Phénix