« Cette ville ressemblait à une énorme bâtisse s’étendant dans la jungle. On aurait dit qu’elle avait poussé dans la jungle, qu’elle en faisait partie intégrante. Elle était en vieille obsidienne sombre et, dans ses fissures, là où la terre était tombée, poussaient de petits arbres. On apercevait des ziggourats et des dômes qui semblaient flotter dans le demi-jour. Rien de plus simple que d’imaginer qu’il s’agissait de quelque monstruosité de la nature. Les pierres avaient pu flotter et se solidifier dans l’apparence d’une ville. »
(Michael Moorcock / Le Cycle du Guerrier de Mars : Le Seigneur des Araignées)
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