Les réseaux sociaux ont parfois du bon, notamment pour dénicher des auteurs calédoniens de littérature fantastique inconnus ! Ken Areui, ce nom ne vous dit sans doute rien… et pourtant, il s’agit de l’écrivain de la saga de L’Épée de M. Salvamorne dont les trois premiers tomes sont déjà disponibles aux éditions Publibook (t.1 & 2) et Edilivre (t.3) ! Démons, épée maléfique et jeune héros comptent parmi les ingrédients de cette aventure extraordinaire. Les Échos d’Altaïr ne pouvaient que contacter Ken Areui pour une petite interview !
Ken Areui à Paris.
Peux-tu te présenter et nous présenter ton œuvre ?
Je me nomme Areui Ken, j’ai 26 ans, je suis né en Nouvelle-Calédonie et je vis en France depuis le début de l’année 2012. J’ai fait mes études à l’Université de la Nouvelle-Calédonie en licence d’histoire-géographie. Malheureusement, à cause de divers ennuis, j’arrête en 2007 et me lance dans le commerce comme merchandiser intérimaire à l’âge de 21 ans. J’y travaille pendant 4 ans et en 2011, voulant changer de métier, je décide de passer les concours administratifs et réussis le concours de gendarmerie. En janvier 2012, je pars pour la France où j’exerce actuellement mon métier de gendarme. Pour ce qui est de mon œuvre, L’Épée de M. Salvamorne Saga est le fruit de plusieurs années de travail, et cela raconte la vie d’un jeune homme malchanceux qui se retrouve un jour ficelé à un destin plutôt époustouflant qui n’aurait pas dû être le sien. Contre sa volonté, il devient l’unique personne qui devra empêcher la fin du monde de se produire et pour se faire, le héros doit éviter qu’une épée maléfique forgée par l’infâme monarque du Moyen Âge, Max Salvamorne, ne tombe entre de mauvaises mains. Cette épée attire bien des convoitises, et le héros doit se battre car du plus profond des enfers, des démons répondant au nom de « Naspart » attendent le moment propice pour s’en servir et provoquer la fin du monde. Cette œuvre appartient au genre fantastique et elle sera composée de dix tomes. Pour l’instant j’en suis au volume 4, mais les prochains romans de L’Epée de M. Salvamorne sont déjà prêts.
Depuis quand écris-tu, et qu’est-ce qui a déclenché en toi ce désir d’écrire ?
J’ai commencé à écrire de petites histoires à l’âge de 9 ans que j’aimais enregistrer sur un petit magnétophone que m’avait offert ma tante, ceci dans le cadre des loisirs, mais ce qui a réellement déclenché mon désir d’écrire est la lecture de mon premier roman fantastique, Harry Potter à l’école des sorciers, qui m’a séduit et m’a poussé à en faire autant et sortir ma propre histoire à l’âge de 17 ans.
T’es-tu inspiré d’oeuvres littéraires, de mangas ou de films pour écrire ta série L’Epée de M. Salvamorne ?
Mes sources d’inspirations sont Harry Potter, Narnia et la trilogie du Seigneur des Anneaux. Mais ceci ne m’a été utile que pour le premier roman de la saga, car il me suffit de lire ce que j’ai écrit précédemment pour pouvoir imaginer une suite à mes histoires.
Quels sont tes auteurs préférés ?
Mes auteurs préférés sont JK. Rowling, C.S. Lewis et Brussolo.
Combien de temps mets-tu, en moyenne, pour écrire un tome de ta série ?
En moyenne, j’écris un tome en trois mois.
Trouver un éditeur a-t-il été une tâche difficile ?
Trouver un éditeur a été une tâche vraiment très ardue car, avant que mon premier roman arrive entre les mains des gens des éditions Publibook et qu’il soit enfin accepté, celui-ci fut auparavant refusé par 22 maisons d’édition.
Où peut-on trouver la série L’Epée de M. Salvamorne ?
Pour le moment, il est possible de trouver le tome 1 sur le lien suivant :
http://www.publibook.com/librairie/livre.php?isbn=9782748352184
Le tome 2 est disponible sur le lien suivant :
http://www.publibook.com/librairie/livre.php?isbn=9782748363487
Et enfin, le tome 3 est disponible sur le lien suivant :
http://www.edilivre.com/l-epee-d-m-salvamorne-tome-3-ken-areui.html
As-tu d’autres projets ?
Mes projets futurs sont d’arriver jusqu’au bout de la série L’Épée de M. Salvamorne, et de pouvoir continuer à écrire d’autres romans.
Merci à Ken Areui d’avoir pris le temps de répondre aux questions de Morbius. Et bien sûr, on lui souhaite bonne chance dans sa vaste entreprise !
(Les Echos d’Altaïr ne sont en aucun cas responsables des liens publicitaires présents dans les textes)
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