Dans ses remerciements, Alain Musset, auteur de l’ouvrage récent Le Syndrome de Babylone : Géofictions de l’Apocalypse (éd. Armand Colin – 2012), a eu la très grande gentillesse de citer Les Échos d’Altaïr, aux côtés d’AnakinWeb, pour l’avoir aidé à dénicher le titre de son livre. J’avoue que je ne m’y attendais pas le moins du monde, même s’il est vrai que nous avons discuté du titre au sein du groupe Facebook du blog. Mais de quoi parle donc cet ouvrage ? Voici la quatrième de couverture :
« L’humanité a pour vieille compagne l’angoisse de sa destruction. On trouve toujours un présage à interpréter ou un prophète pour annoncer que l’heure est proche. La menace change, mais le châtiment reste le même. Les hommes ont déçu leur Créateur ou trahi la Nature. Ils doivent affronter la fin du monde, ou du moins, la fin d’un monde. Les villes sont condamnées à la destruction : l’antique Babylone n’est-elle pas le réceptacle impur de tous les maux terrestres ?
La science-fiction s’est emparée de ce thème, puisant dans les cosmogonies les plus anciennes, dans la Bible et l’Apocalypse de Jean, réinterprétant ainsi les découvertes astronomiques. L’imagination est sans limite, mais elle se façonne au miroir du monde réel, où l’homme se sent de plus en plus vulnérable. »
J’ai reçu Le Syndrome de Babylone il y a peu, après l’avoir commandé sur Internet car il n’est (bien sûr) pas disponible en Nouvelle-Calédonie. Encore un pavé que je ne manquerai pas de dévorer tout cru !
Laisser un commentaire