OBLIVION : LA CRITIQUE

Posté le 13 avril 2013

OBLIVION : LA CRITIQUE dans Cinéma 13041308361915263611079151

Oblivion: Un film complet !

Celui-là je ne pouvais pas le rater ! Bien que n’étant pas un très grand fan de Tom Cruise (bon, c’est quand même Lestat dans ENTRETIEN AVEC UN VAMPIRE), je me devais de voir ce film purement SF dont les extraits m’ont interloqué.

On commence donc le film sans fioritures ni explications à rallonge, nous sommes en 2077, le perso de Cruise s’appelle Jack  Harper (après Jack Reacher, Tom aime s’appeler Jack) et nous explique d’entrée  que la Terre a été victime d’une attaque extra-terrestre, que les humains ont  gagné la guerre mais qu’ils ont été contraints de migrer sur Titan, la lune de  Saturne. Jack est un technicien en poste sur cette Terre désertée. Avec son binôme Vika, ils veillent au bon fonctionnement des drones de défense, sortes de grosses boules volantes surarmées protégeant des stations qui pompent l’eau de mer, et qui parfois subissent les attaques des « Chacals », derniers rares représentants extra-terrestres sur Terre. Jack se déplace dans une sorte d’aéronef tandis que Vika reste dans une tour de contrôle, lui confiant ses tâches et l’aidant à se diriger. À noter que leur mémoire à été effacée mais que Jack a des flashes de sa vie passée. Sur Terre il se sent chez lui et n’est pas vraiment enthousiaste à l’idée de rejoindre Titan à la fin de sa mission. Lors de l’une de ses tournées, Jack sera confronté à des événements qui vont remettre beaucoup de choses en question. Je ne vous en dis pas plus mais ce scénar est en béton !

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Très vite on s’attache au héros, qui n’est autre qu’un technicien de base évoluant dans un monde hostile avec un simple fusil et un pistolet, on s’attache aussi à Vika, son charmant binôme qui n’hésite pas à le couvrir quand Jack désobéit aux ordres de la station mère en orbite de la Terre. Dans la première partie on suit notre ami dans ses tournées et on découvre petit à petit différents éléments qui serviront pour la suite du film, mais rien que cette première partie ne souffre d’aucune longueur, cette réalité est crédible, les personnages le sont tout autant. On part donc sur d’excellentes bases, et cela ira en s’améliorant. L’un des points forts du film est en effet les nombreux rebondissements qui le jonchent, de telle manière qu’on en apprend toujours un peu plus au fur et à mesure que l’histoire prend de l’ampleur. Le deuxième gros point fort c’est l’ambiance sonore et la bande son, cette-dernière est à la fois épique et moderne, elle colle de manière magistrale à l’image.

Même si dans la plus grande partie on voit Jack aux commandes de son aéronef, c’est un réel plaisir ! De même, les « drones » en constituent l’attraction principale, nous tirant même parfois quelques sourires du fait de leur comportement (je ne vais pas spoiler mais rien que leurs bruitages sont marrants). On retiendra aussi cette réplique désormais devenue culte: « Drone de merde! » et un finish exceptionnel.

Enfin, je dois bien avouer que tous les acteurs sont au top, que ce soit Cruise, Freeman ou Kurylenko, tout le monde est possédé par son rôle. Mention spéciale pour Andrea Riseborought que j’ai particulièrement kiffé dans le rôle de Vika.

On tient donc une franche réussite : scènes d’action spectaculaires, scénario super, effets spéciaux magnifiques, acteurs parfaits… Bref, un film complet à voir absolument pour tout fan de SF.

- Di Vinz -

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2 commentaires pour « OBLIVION : LA CRITIQUE »

  1.  
    Trapard
    13 avril, 2013 | 19:50
     

    Merci pour cet article qui m’a donné envie de voir ce film.

  2.  
    Régis
    16 avril, 2013 | 1:58
     

    Tu me donnes envie de le mater !

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