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Archive pour octobre 2013

VOTRE CADEAU D’HALLOWEEN…

VOTRE CADEAU D'HALLOWEEN... dans Fantastique 13103111103715263611689751

TRILOGY OF TERROR, inédit en France, et écrit par le regretté Richard Matheson, est un téléfilm culte de 72 minutes divisé en trois sketches. Réalisé par Dan Curtis et datant de 1975, on y trouve Karen Black, John Carlen et George Gaynes dans les rôles principaux. Ah, désolé, il est en V.O. Mais ne ratez pas l’occasion de le découvrir…

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WEEK-END GEEK : PREMIERE

WEEK-END GEEK : PREMIERE dans Nouvelle-Calédonie 13100208544615263611602685

Bon, vous ne l’avez certainement pas oublié, après tout ce qu’on a dit sur lui ici, dans Les Nouvelles Calédoniennes, à la radio, etc. Impossible de l’éviter, impossible de l’ignorer à moins de vivre sur Pluton : c’est demain que débute le long Week-end Geek 2013 ! Cette première journée, qui commencera à 9 heures et finira à 18 heures, sera essentiellement consacrée aux jeux de rôles car le Week-end Geek c’est d’abord la Convention de Jeux de Rôles calédonienne. Et comme elle fête cette année ses 20 ans d’existence, Iris (Les Ombres d’Esteren) en est l’invité d’honneur.

Au programme des tables de jeux : Uchronie Vampirique, ADD, Naheulbeuk, Esteren, Dr Who et L5A.

On se retrouve demain pour la suite des événements et le programme de samedi 2 novembre …

- Morbius -

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FORCESITH : ESCALE SUR ALTAÏR IV AVANT WEEK-END GEEK

FORCESITH : ESCALE SUR ALTAÏR IV AVANT WEEK-END GEEK dans Nouvelle-Calédonie 13100208544615263611602685

Jean-Claude Toromona est un fan inconditionnel de STAR WARS. Mais plus que tout, il est LE collectionneur calédonien des produits dérivés de la saga ! Connu sous le pseudo de ForceSith, son blog témoigne de sa passion pour la galaxie de George Lucas, une passion dévorante qui l’a conduit à créer ses propres costumes qu’il n’hésite pas à revêtir à l’occasion d’événements. Ce sera le cas prochainement avec le Week-end Geek 2013 où vous pourrez le rencontrer sur place, en armure et en blaster, le 2 novembre ! Jean-Claude a sympathiquement accepté de répondre aux questions des Échos d’Altaïr afin de nous expliquer comment il est tombé dedans, il y a longtemps, bien longtemps…

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ForceSith au carnaval de Nouméa (photo de Fabrice Arnaud). Un sacré cosplayer !

Morbius : Jean-Claude, quand as-tu débuté ta collection STAR WARS ?

Jean-Claude : Bonjour Hervé, merci de me recevoir sur ton blog. Je dirai comme beaucoup de collectionneurs de ma génération, en deux étapes. C’était il y a bien longtemps en 1979… À cette époque je ne connaissais pas LA GUERRE DES ÉTOILES. Un mercredi après-midi, en compagnie de ma tantine, on était à la librairie Montaigne située sur les hauts de la Place des Cocotiers et qui n’existe plus malheureusement. J’avais 7 ans et on s’y était rendu pour m’acheter des marqueurs, des crayons de couleur et aussi de la pâte à modeler. Comme tous les enfants je fouinais dans le moindre recoin des rayons, et puis je m’attardais sur un objet cylindrique aux couleurs argentées, bleues et blanches. Selon le vendeur, c’était un taille crayon de qualité 13103006045015263611686731vu le prix de vente. De retour à la maison, je sortais le taille crayon de son emballage et je n’arrivais même pas à tailler un seul crayon… Mon oncle, qui avait 16 ans, regardait alors l’emballage sans véritablement prêter attention et pensait que j’avais dû, dans ma précipitation, faire tomber le taille crayon de son logement, car en tournant le gros bouton argenté sur le haut, il y avait eu ce bruit de clic qui devait aider le crayon à tourner… On avait cherché partout, mais on n’avait rien retrouvé… Quelques mois après, toujours un mercredi après-midi, mon oncle revenait du cinéma et me demandait où j’avais rangé le taille crayon… Il m’avouait alors un très lourd secret au sujet de cet objet… Le samedi d’après j’étais assis confortablement dans la R5 blanche de ma mère en direction du cinéma City situé en bas de la Cathédrale. Dans la voiture je vérifiais autant de fois dans ma poche si je n’avais pas oublié le taille crayon. Le film que j’allais voir était décrit comme très spectaculaire ! Après une 13103006092115263611686732musique d’ouverture envoûtante, je découvrais aussitôt deux personnages marquants : Z-6PO et D2R2… Ce que je pensais être un taille crayon, n’en était pas un finalement… De débuter venait ma collection avec ma toute première figurine Kenner…D2 ! En 1988, ma première collection de la gamme Kenner, fabriquée depuis 1977 à 1985, prenait fin… Puis quelle fut ma surprise neuf ans plus tard, en mars 1996, lors d’un voyage de noces à Sydney, de trouver dans un David Jones, sept figurines de la nouvelle gamme Kenner à l’aspect très body builder. Sans réfléchir, je les achetais avec empressement pour le fun (Luke, Obi-Wan, Han, Chewbacca, R2, C-3PO et Vader). Et quatre mois après, en juillet 1996, à Auckland, ma femme donnait naissance à une adorable petite fille. Dans la journée, je me rendais au centre commercial St Luke le plus proche de l’hôpital pour acheter des peluches et des faire parts de naissance, lorsque dans une boutique de la galerie où j’achetais deux peluches (un kiwi et un raton laveur), je trouvais les figurines de Leia, du Stormtrooper, du pilote Tie, du Tusken et de biens d’autres encore… Ma fille venait de naître, et ma seconde collection également !

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ForceSith dans sa jeunesse… rêvant au milieu des figurines…

Quelle est la pièce de ta collection dont tu es le plus fier et, à l’inverse, celle dont tu es le moins fier ?

C’est très difficile de choisir parmi de nombreux produits dérivés, son unique précieux… et il est d’autant plus dur d’avouer le regret d’un achat… Mais il est vrai que même si j’ai des figurines avec les autographes de certains acteurs/actrices ou d’autres en séries limitées/exclusives, je prends plaisir pour trois figurines vintage. D2, bien sûr, mais surtout deux variantes de la série animée TV… Il s’agit des figurines Kenner Kea Moll de la série animée DROIDS et de Urgahh Lady Gorneesh de la série animée EWOKS. On ne peut pas dire que ces deux figurines soient esthétiquement belles, mais elles appartiennent à cette époque de bons souvenirs d’enfance, de plus elles sont encore sous blister d’origine en carte US et canadienne avec la fameuse pièce dorée… Pourquoi ce coup de cœur, peut-être parce que j’aime énormément les dessins animés plus que les films. À contrario, j’ai une collection de figurines « Bootleg » achetées dans un commerce de la place qui sont des reproductions grossières de l’originale et dont la carte du personnage, voire les accessoires, ne correspondent pas du tout à la figurine proposée… Je ne sais toujours pas pourquoi je les conserve dans ma collection…

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As-tu une idée du nombre d’articles que compte en tout ta collection ?

En arrondissant, je dois avoir environs 2000 figurines Kenner/Hasbro, et une centaine de véhicule/vaisseaux. Pour un collectionneur métropolitain c’est bien peu, mais il faut préciser que sur mon île, il est très difficile de trouver des figurines 3″3/4 car il n’existe aucune boutique spécialisée. Par contre je ne pourrai pas dire le nombre des autres produits dérivés, en fait je ne veux pas le savoir, il ne vaut mieux pas…

Tu possèdes une pièce de ta maison qui accueille ta collection. Mais quand il n’y aura plus de place, comment feras-tu ?

Je n’ai déjà plus de place, je ne sais plus quoi faire… Ma femme a trouvé la solution, c’est d’arrêter d’acheter… et de les revendre ? Je suis conscient d’avoir cette opportunité d’avoir ma propre pièce, et je pensais l’agrandir mais je préfère être sage car avec les fameuses suites en préparation de chez Disney, je n’ose même pas y penser…

Quel est ton rythme de commande : commandes-tu chaque mois des articles ou de temps à autre ?

Depuis 3 ans j’ai arrêté ma folie des commandes de chaque mois. Mes derniers arrivants sont du mois d’août avec la collection 1 des Black Series, du Darth Vader de 79 cm et du C-3PO McQuarrie… On pourrait dire que je me suis assagi. La raison, d’une part, est que je n’ai plus de place, la seconde est que ma fille de 17 ans, qui est en Terminale S physique/Chimie, souhaite poursuivre ses études… Donc qui dit études supérieures dit de futures grosses dépenses financières utiles et nécessaires. Et oui, à mon âge je continue d’acheter des jouets et cela m’amuse lorsque l’on me définit comme un « adulescent », dépensant de l’argent dans des choses futiles, inutiles. Je vous rassure, je suis bien un adulte responsable même s’il est vrai que je vis dans un univers devenu ma passion, qui prend certes de la place et qui n’est pas au goût de tous ! Je ne fume pas et ne bois pas une seule goutte d’alcool. En somme, je ne brûle pas mon argent ni dans le tabac ni dans l’alcool. On peut dire que c’est équitable car rien ne m’empêche de vendre un ou plusieurs objets de ma p’tite collection. En somme, je dépense pour un achat et j’en gagne un peu lorsque je décide de vendre un objet qu’un collectionneur recherche.

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Avoir une collection sous un climat tropical pose bien des problèmes. Comment fais-tu pour l’entretenir ?

Je dépoussière avec un plumeau de temps à autre, je remarque alors que certaines bulles de blister ont jauni et on n’y peut rien malheureusement. Je place des antimites, des maisons à cafards dans les coins et sous les étagères et personne ne fume à la maison. Il faut savoir que c’est ma fille qui, depuis l’âge de 5 ans, rangeait à sa guise les blisters, les packs, les DVD, les jeux, livres, etc.

Préfères-tu collectionner les figurines, les vaisseaux ou autre chose en particulier ?

J’aime beaucoup les figurines 3″3/4, et je succombe facilement devant les Premium Format de Sideshow et les 12″ Kotobukyia. Mais je préfère rester dans la gamme des 3″3/4, avec surtout les fameux Battle Packs . Ce sont des packs associant les figurines à un véhicule ou un monstre ou encore à un décor. Une préférence aussi pour les figurines exclusives Toys’R Us, Target, ou celles des conventions.

Tu crées également des costumes STAR WARS. Peux-tu nous parler de ceux que tu as déjà confectionnés ?

Le baccalauréat en poche, je trouvais un boulot dans mes cordes comme dessinateur/maquettiste. Cela m’avait donc beaucoup aidé dans mes créations à venir, notamment dans la sculpture qui va de paire avec le cosplay. Mes deux tout premiers cosplays datent de 1993 avec Darth Vader et le Stormtrooper, lors du carnaval et de l’anniversaire du Sci-Fi club… Cependant le cosplay qui consiste à se costumer en un personnage de film/dessin animé/ jeu vidéo n’était pas du tout accrocheur pour l’époque et ne trouvait pas encore sa place sur notre île. De nos jours, avec les nouveaux matériaux comme l’ABS pour le thermoformage, le wonderflex et le papercraft, il est devenu plus facile de se confectionner n’importe quel casque et armure. Je suis plus fan des Clone Troopers que des Stormtroopers. J’en apprends tous les jours, voire accidentellement. J’améliore ainsi quelques accessoires comme par exemple les attaches du plastron/coudières que je fabriquais de manières rigides. À présent je teste une version souple et je suis pour le moment satisfait du résultat… Ma fille aime beaucoup le cosplay et a débuté en padawan Ahsoka Tano, puis en Maître Jedi Aayla Secura.

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Sur quoi travailles-tu actuellement niveau cosplay ?

J’ai dernièrement terminé le masque d’un personnage de jeu vidéo, Darksiders, pour un joueur de airsoft. Actuellement je travaille sur un nouveau casque de Clone Trooper Phase II, il s’agit du Commander Thorn. Il est en découpe et sera exposé pour le Week-End Geek 2013. Mais il faut énormément de patience pour réaliser un cosplay et je m’arrête souvent au masque et casque car fabriquer une armure complète représente de grosses dépenses… L’achat de velcro, d’élastique, de colle, de mousse, les bombes de peinture, le mastic, le papier ponce, etc… la facture s’élève facilement ! Je travaille aussi sur un cosplay pour Halloween que je porterai si je suis dans les temps… Dans le cas contraire il sera tout simplement exposé au Week-End Geek.

En quoi seras-tu déguisé pour le Week-end Geek 2013 ?

Je ne serai pas « déguisé » mais costumé en ce bon vieux clone de Captain Rex de la saison 4. J’aime beaucoup ce personnage, j’ai le sentiment de lui ressembler… Vous remarquerez que même si j’appartiens à la génération de la trilogie, je suis un fan inconditionnel des Clone Trooper Phase II. Les Stormtroopers me faisaient rêver à l’époque avec leurs casques et armures blanches. Mais depuis l’arrivée de ces Clone Troopers, et grâce à la série THE CLONE WARS qui les avait mis en avant, j’en ai appris plus sur la forte personnalité de chacun, qu’avec ces maladroits de Stormtroopers. Mais on en saura un peu plus sur ces derniers avec la série STAR WARS REBELS. Le nouveau casque du Captain Rex est d’ailleurs en cours de finition….

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LE CAPITAINE MARVEL (1941)

LE CAPITAINE MARVEL (1941) dans Cinéma 13061310052715263611288458

LE CAPITAINE MARVEL (1941)

de William Witney et John English

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LE CAPITAINE MARVEL (Adventures of Captain Marvel) est un serial américain de 12 épisodes réalisés par William Witney et John English, pour la Republic Pictures, et considéré comme la première 13102908005015263611683780 dans Science-fictionadaptation cinématographique de super-héros d’une bande-dessinée. Le serial est, plus ou moins, une conséquence de la tentative avortée de la Republic d’adapter le DC Comics de SUPERMAN. La société de production Fawcett Comics ayant refusé la proposition d’adaptation,  William Witney lança en chantier celle du CAPITAINE MARVEL. La Fawcett Comics tentera une action en justice pour empêcher le tournage, en citant la tentative précédente d’adapter SUPERMAN, mais en vain. William Witney, dans sa déposition, affirmera pour sa défense que SUPERMAN et  LE CAPITAINE MARVEL « ne sont que des dérivés de POPEYE LE MARIN »… SUPERMAN sera finalement adapté, en serial, par la Columbia Pictures, en 1948, et réalisé par Spencer Gordon Bennet (très connu des fans de serials des 40′s) et Thomas Carr.

Le Capitaine Marvel est donc aussi un super-héros, avec une cape, qui vole, mais qui se transforme, à sa guise, en prononçant le doux mot magique de « Shazam ! » (un terme qui est rentré dans le langage courant, aux États-Unis, pour signifier l’étonnement).

L’intrigue : lors d’une expédition archéologique au Siam (ancien nom de la Thaïlande) conduite par John Malcolm, le sorcier Shazam transforme Billy Batson en Capitaine Marvel, afin qu’il enraye la malédiction du Scorpion frappant tour à tour les membres de cette expédition…

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Avec LE CAPITAINE MARVEL, on est dans un mélange de serial à mystères, avec des sociétés secrètes (un sujet déjà en vogue dans les serials des années 1910, comme ceux de Louis Feuillade), et avec beaucoup d’actions et d’aventures exotiques dans les contrées asiatiques d’autrefois, et avec cette touche de science-fiction, souvent proche du Steampunk. LE CAPITAINE MARVEL de la Republic Pictures sortit l’année qui suivit celle de THE GREEN HORNET (1940) de la Universal Pictures, et on y retrouve ce même rythme fougueux des vieux serials bourrés de scènes d’actions. Mais c’est certain que les effets d’envol du Capitain Marvel, en superposition, ont ce côté désuet, et ont largement été améliorés dans les années 70 avec les fonds verts de SUPERMAN (1978). Même le costume du Capitaine rappelle une sorte de pyjama, affublé d’un logo qui rappelle celui d’un autre super-héros : Flash.

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Wikipédia indique : Les effets d’envol ont été effectués avec un mannequin. Le mannequin était légèrement plus grand que le comédien, de 7 pieds de haut, et réalisé à partir de papier mâché afin qu’il ne pèse que 15 livres. L’uniforme a été réalisé avec de la soie fine et un jersey de coton. Quatre poulies reliées à chaque épaule et mollet, avec des fils, de sorte que le mannequin a été déplacé horizontalement, sur son propre poids. Les fils étaient attachés à deux objets à travers le point de vue de la caméra, et le mannequin a glissé de l’un à l’autre, donnant l’apparence de vol. Ce système a été initialement prévu pour le serial SUPERMAN, dont un prototype a été construit, puis rejeté. La pose du vol utilisé pour le mannequin, les bras tendus et le dos voûté, était basée sur un dessin de Mac Raboy. Le cascadeur, Dave Sharpe, était la partie humaine de l’effet. Habillé comme le Capitaine Marvel, il sautait, le corps droit, vers là-haut, comme si il était capable de voler, puis il roulait à terre, à la dernière seconde. La combinaison des effets et des cascades, au montage, produisait l’illusion d’une personne s’envolant.

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Cette technique avait déjà été développé, dès 1936, dans le serial DARKEST AFRICA pour faire s’envoler des hommes-chauves-souris, et il a plus tard été réutilisé, plus tard, dans les feuilletons KING ON THE ROCKET MEN (1949), RADAR MEN FROM THE MOON (1952), ZOMBIES OF THE STRATOSPHERE (1952)… Par contre, pour le serial de SUPERMAN de la Columbia Pictures, de 1948, le même effet d’envol fut représenté par des séquences de dessins animés pour représenter différentes actions (Columbia Pictures a produit les serials les moins chers de l’époque et le producteur Sam Katzman, était connu pour réduire les coûts).

Le Capitaine Marvel, à l’écran, c’était le comédien Tom Tyler qui, de par son physique sportif, a autant joué dans des péplums (BEN-HUR, 1925, de Fred Niblo) que dans des westerns de John Ford (LA CHEVAUCHÉE FANTASTIQUE, 1939) ou de William Wyler. Par la suite, Tom Tyler a joué un autre super-héros dans THE PHANTOM, en 1943, connu en France comme le Fantôme du Bengale. Et l’alter-ego du Capitaine Marvel, Billy Batson, comédien beaucoup plus insignifiant, avec sa tête de jeune premier, était joué par Frank Coghlan Jr qui n’est, d’ailleurs, pas très connu, et a peu joué par la suite.

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Pour conclure cet article du Grenier du Ciné SF, LE CAPITAINE MARVEL (Adventures of Captain Marvel) est un bon serial américain old-school, que Bach Films a récemment édité en version sous-titrée, au même titre que les serials de FLASH GORDON et d’autres. C’est une bonne occasion de les découvrir ou les redécouvrir.

- Trapard -

Autres films présentés dans la catégorie Le Grenier du Ciné SF :

Flash Gordon, de la BD aux serials / Croisières Sidérales / Aelita / Man Made Monster / Metropolis / Things to come / Docteur Cyclope / L’Ennemi sans Visage / Sur un Air de Charleston / La Femme sur la Lune / Le Tunnel / La Fin du Monde / I.F.1 ne répond plus / Buck Rogers au XXVe Siècle : Une Bataille Interplanétaire avec les Hommes-Tigres de Mars / Le Mort qui marche / Before I hang / The Ape

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LE DERNIER ROI DES ELFES

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Chaque lundi, le blog Flynn SFFF vous présente une parution littéraire récente ou ancienne de la SF, du Fantastique ou de la Fantasy en roman ou BD. Flynn, éternel dévoreur d’ouvrages, vous décortique son bouquin du jour…

13102807170515263611680224 dans LittératureTitre : Le Dernier Roi des Elfes
Auteur : Sylvie Huguet
Illustrateur : Ash
Éditeur : La Clef d’Argent
Nombre de pages : 124
Quatrième de couverture : «Des fougères avaient poussé dans les crevasses, obstruant toutes les issues. D’abord Lindyll ne sut rien voir, puis, comme la première fois, son attention fut attirée par un tremblement des palmes. Une caverne s’ouvrait là ; le loup surgit comme un songe qui eût pris corps sous ses yeux. Lug était tel que dans sa mémoire, la crinière peut-être plus fournie, le regard plus sagace. Mais c’était toujours ce poitrail large, ces reins étroits et musclés sur lesquels l’âge n’avait pas de prise. Sa pensée s’ouvrit à eux. « Bienvenue, roi d’Elmoor. Ta confiance est grande en ton féal, si tu l’as amené jusqu’ici. Ton cœur est lié au sien comme le chèvrefeuille à la ronce. Mais as-tu songé aux épines? »»

Lindyll, jeune humain recueilli par le souverain des elfes, Ilgaël, auquel le lie désormais une amitié étroite, semble avoir tout oublié de ses propres origines. Devenu un vaillant guerrier, il défend son peuple d’adoption contre la soif de pouvoir et de conquête des hommes. Mais d’année en année, les territoires elfiques s’amenuisent. Lindyll, méprisé par les hommes et incompris des elfes, saura-t-il convaincre ses frères de sang de conclure une paix juste avec le peuple des forêts ?

À peu près toute personne normale (ah bon ?!) connait l’existence d’un elfe (Legolas !!!) et sait à peu près décrire de quoi il s’agit. Je parle ici bien sûr d’une version disons améliorée de l’elfe, celle que l’on retrouve dans Le Seigneur des Anneaux et les récits de fantasy actuels, et non pas de l’elfe de la mythologie nordique ou celtique. Le Dernier Roi des Elfes est à l’origine une petite nouvelle nommée L’Anneau d’Ilthiar, datant de 2001. On y découvrait Ilgaël, roi des elfes, sur le point de mourir. Celui-ci nous expliquait alors comment il en était arrivé là. Sylvie Huguet a donc repris cette nouvelle pour la retravailler, la réécrire. Sylvie a tout d’abord revue la narration, en passant d’un récit à la première personne du singulier à un récit à la troisième personne du singulier. Elle a ensuite développé son histoire, son intrigue, étoffé son style, et cela donne alors le texte que vous avez ou que vous allez avoir dans les mains. Sylvie place son intrigue dans un contexte historique fictif mais travaillé de manière à le rendre réel.

Le Dernier Roi des Elfes est en « réalité » un document historique retrouvé par les archéologues dans les années 3000. Celui-ci explique la grandeur et la décadence du peuple elfique. On y apprend donc que les elfes, suite à une guerre brutale, meurtrière et pleine de haine, face aux Hommes, ont été terrassés. Ce document montre donc la violence des elfes (d’ordinaire si doux et pacifistes), mais aussi leur cruauté envers les Hommes. Cependant, les Hommes ne se trouvent pas être mieux. A travers le style très poétique de l’auteur, nous découvrons les derniers instants des elfes, et la prise de pouvoir de l’Homme sur ces derniers. Malheureusement, le récit manque d’intensité et de descriptions dans les batailles et est donc assez lisse, malgré une ambiance assez noire. Malgré tout, Sylvie Huguet nous offre un super récit sur les origines des elfes.

Rapide à lire et très prenant, Le Dernier Roi des Elfes mériterait même d’être porté vers une saga plus complète.

- Flynn -

FLYNN SFFF : BLOG DE L’IMAGINAIRE. MAIS PAS QUE !



NOSFERATU S’INVITE CHEZ VOUS…

NOSFERATU S'INVITE CHEZ VOUS... dans Fantastique 13092910271215263611593935

13102609124415263611672925 dans Papertoy

Voici un magnifique Nosferatu, version papertoy, échappé tout droit du film éponyme de 1922 de Friedrich Wilhelm Murnau, avec en vedette Max Schreck. Halloween se rapproche, et avec elle vampires, loups-garous, spectres et morts-vivants… Soyez prêt à temps… Ce Nosferatu est d’une grande simplicité à réaliser, ne vous privez donc pas de ce plaisir morbide… Il vous attend patiemment ici.

- Morbius -



CITATION CELEBRE : LE MYSTERIEUX DOCTEUR FU MANCHU

CITATION CELEBRE : LE MYSTERIEUX DOCTEUR FU MANCHU dans Citation célèbre 13102508450515263611670468« Comment décrire ce visage, ces yeux, qui me regardaient tranquillement par-dessus la table ? Ce visage était celui d’un archange du mal, et ces yeux, qui en étaient le trait souverain, étaient les plus étranges qui eussent jamais reflété l’âme humaine – ils étaient étroits et longs, très légèrement obliques, et d’un vert étincelant. Mais surtout – et je n’ai jamais vu cela chez aucun autre être humain, ils étaient, chose horrible, recouverts d’une sorte de film qui me fit songer à la membrana nictitans de certains oiseaux. Cette membrane était baissée lorsque je fis sauter la porte, mais elle sembla se rétracter quand j’eus pénétré dans la pièce, révélant les iris de l’homme dans tout leur éclat vert. »

(Le Mystérieux Docteur Fu Manchu / Sax Rohmer)



ZOMBIE WALK NOUMEA 2013

ZOMBIE WALK NOUMEA 2013 dans Nouvelle-Calédonie 13100208544615263611602685

Décidément, ça bouge en Nouvelle-Calédonie actuellement côté Fantastique ! Après la sortie ciné remarquée de Ni-28, il y aura le fameux Week-end Geek 2013 du 1er au 3 novembre. Mais avant cela aura lieu l’édition 2013 de la Zombie Walk ! Et ce n’est pas un hasard, bien sûr, si cette marche des zombies coïncide avec le jour d’Halloween, autrement dit le jeudi 31 octobre. Si vous souhaitez y participer et vivre, l’instant d’une soirée, ce qu’un pauvre « walkind dead » endure chaque jour, rendez-vous sur la page Facebook de l’événement où vous saurez tout concernant le règlement, le parcours et autres détails.

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EXCURSION GALACTIQUE : PREMIERE PARTIE

Abandonnez votre travail et vos soucis : Les Échos d’Altaïr vous proposent une excursion galactique sur huit planètes. Altaïr IV, Vulcain, Arrakis, Fyrine IV, Pandora, Akir, Krypton et Coruscant seront nos destinations. Des plus sauvages et hostiles aux plus paradisiaques ou cosmopolites, votre voyage à travers la galaxie SF ne sera pas de tout repos. Présentation d’un tour organisé…

ALTAÏR IV : LÀ OÙ LE RÊVE ET LA RÉALITÉ SE CONFONDENT…

EXCURSION GALACTIQUE : PREMIERE PARTIE dans Cinéma 13102306252715263611664384

Nous commencerons bien sûr par Altaïr IV où je vous recevrai avec plaisir dans mon humble résidence. Ce sera le point de départ de notre tour organisé.

Altaïra, ma fille, et Robby, mon fi… euh, mon robot, pardon, sauront vous accueillir dans les règles de l’art. Pour ces dames qui seraient du voyage, Altaïra se fera une joie de leur exposer sa magnifique garde-robe issue des plus grands couturiers en vogue dans la galaxie. Quant à Robby, il pourra dupliquer à l’infini tout objet précieux à vos yeux. Sachant que mon robot pratique couramment 187 langues (y compris leurs différents dialectes et dérivés), nos voyageurs aliens n’auront aucun mal à entreprendre de longues et passionnantes conversations avec lui sur le métabolisme cellulaire, l’hyperstatisme, la théorie métrique de la gravitation ou la dilatation du temps. Si pour certains ce genre de causerie équivaudrait à une source d’ennui, ils pourront prendre un bain dans ma piscine en attendant la suite de la visite de ma résidence.

13102306491415263611664398 dans DossierJe serai moi-même votre guide pour l’exploration des installations souterraines des Krells, une étonnante civilisation dont la technologie non moins étonnante fait d’Altaïr IV le lieu où le rêve et la réalité se confondent. Vous pourrez, si vous le souhaitez avec insistance, tester quelques machines à vos risques et périls. En effet, je me dégage de toute responsabilité concernant les moindres séquelles cérébrales que pourrait entraîner l’utilisation prolongée de certaines inventions des Krells…

En dehors de ma résidence, ne cherchez pas de villes ou de monuments : Altaïr IV réserve peu de surprises au visiteur si ce n’est son ciel vert, ses déserts poudreux et ses montagnes escarpées… Un havre de paix, voilà ce que représente Altaïr IV…

VULCAIN : SES VOLCANS, SES RUINES, SES TEMPLES…

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Notre seconde destination nous mènera sur la chaude planète Vulcain, si bien nommée. Il vous faudra rapidement vous habituer à sa gravité et à son atmosphère plus ténue que celle de la Terre (je parle ici pour les Terriens, bien entendu). Si quelques étourdissements se font sentir, un médipac est prévu dans votre kit touristique.

Un Vulcain en personne sera votre guide et vous accompagnera durant tout votre séjour. Afin de ne pas le froisser, veuillez refouler toutes vos émotions lorsque vous découvrirez les impressionnants volcans actifs, les merveilleuses ruines antiques, le légendaire mont Seleya ou les mystérieux temples religieux dont ceux d’Amonak, de T’Panit et de T’Karath. À préciser également que si le guide est en période de Pon farr, cela pourrait occasionner quelques problèmes pour le bon déroulement de la visite, en particulier au niveau de la gente féminine de notre tour organisé. Ne pas paniquer et se réfugier dans ce cas à bord de la navette.

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Les orages de la planète Vulcain sont électriques et souvent accompagnés de tempêtes de sables brûlants. En dehors de ses chaînes de montagnes et de ses déserts, la planète possède quelques petites mers et des planétoïdes situés à proximité et parfaitement visibles dans son ciel, ce qui lui confère un panorama des plus impressionnants parmi toutes les planètes de notre excursion galactique.

Enfin, si certains sont intéressés par des cours de logique pure et de maîtrise des émotions, le signaler dès l’arrivée afin de réserver vos places.

ARRAKIS, PLANÈTE DE L’ÉPICE…

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Appelée également Dune, la planète Arrakis est le lieu de bronzage idéal si vous souhaitez profiter de son climat et de son ensoleillement permanent. En effet, plus chaude encore que Vulcain, et entièrement couverte de sable et de roches, Arrakis est un monde unique en son genre où les déserts s’étendent à perte de vue.

13102306364515263611664390Mais votre visite d’Arrakis ne saurait être complète sans votre rencontre avec un ver des sables. Les autochtones, appelés Fremen, sauront, à votre demande, attirer cette impressionnante créature géante (400 mètres de long). Le Shai-Hulud, c’est son nom en langage fremen, se déplace sous les sables de la planète. Vous aurez peut-être même la chance d’en chevaucher un. Cependant attention : le Shai-Hulud ne se laisse pas facilement apprivoiser et nous vous conseillons vivement d’être bien harnaché afin de ne pas tomber et de vous retrouver sous le ver et non plus sur le ver. Mais si vous parvenez à le contrôler grâce aux crochets prévus pour cela, vous vivrez alors un moment particulièrement intense, une expérience totalement unique dans la galaxie.

Le ver des sables de Dune sécrète une substance très mystérieuse : l’Épice (également appelée Mélange). Une dégustation s’impose, mais tout de même avec modération : l’Épice est considérée, par certains, comme une drogue. Néanmoins y goûter une fois ne devrait pas entraîner d’accoutumance. Il est dit que l’Épice prolongerait la vie, renforcerait les défenses immunitaires et, si elle est consommée à outrance, pourrait même permettre les voyages interstellaires… Cette dernière affirmation demeure, vous vous en doutez, sujette à caution. Parvenir à voyager dans l’univers grâce à un aliment s’avère être une hypothèse des plus fantaisistes ! Seule la technologie autorise les trajets spatiaux, vous vous en doutez.

FYRINE IV, POUR LES PLUS TÉMÉRAIRES…

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Fyrine IV est l’endroit recommandé aux plus aventuriers d’entre vous : dans un environnement particulièrement hostile, vous vivrez les moments les plus intenses et les plus dangereux de votre excursion galactique…

Fyrine IV, quatrième planète du système Fyrine, est constamment la proie de pluies de météores et de puissants orages. Sa surface volcanique et très rocailleuse est clairsemée de quelques étendues d’eaux boueuses. Sa flore s’avère quasi inexistante. Quant à sa faune, celle-ci vous réserve bien des surprises et non des plus agréables… Nous nous gardons le droit de ne rien vous dévoiler afin de préserver tous les mystères de ce monde sauvage.

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Lors des pluies de météores, nous vous conseillons de vous réfugier au plus vite dans un abri naturel, une grotte fera parfaitement l’affaire. Ne comptez sur aucun bâtiment ou hôtel : Fyrine IV est un monde désert de son pôle Nord à son pôle Sud.

Après quelques jours passés à sa surface, vous devriez pleinement prendre conscience de la chance que vous avez de vivre sur un autre monde que celui de Fyrine IV. Il est bon de le rappeler.

Voilà pour notre première partie de notre excursion galactique.

Nous vous donnons rendez-vous prochainement pour la suite de notre voyage  :

Excursion galactique : deuxième partie

- Morbius -



THE APE (1940)

THE APE (1940) dans Cinéma 13061310052715263611288458

THE APE (1940) de William Nigh

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Toujours en direct de Poindimié, sur le versant Est de notre baguette de pain de Pacifique, j’écris quelques mots sur un vieux film de savant fou incarné par Boris Karloff, pour notre Morbius national (ou territorial, selon l’humeur), alors que vendredi soir, encore hypnotisé par les virages de la Konétiwaka et anxieux de devoir présenter le lendemain, devant un public, un court-métrage en compétition au Festival Ânûû-rû âboro, j’écrivais quelques métaphores fébriles et somnambulesques sur le film J’ENTERRE LES VIVANTS. Mon court-métrage étant parvenu à faire rire l’assistance du Festival, ce soir, beaucoup plus décontracté du flanc, et les orteils bien recalés dans mes claquettes, j’en profite pour remettre en chantier la rubrique du Grenier du Ciné SF avec THE APE. J’ai d’ailleurs eu la bonne idée d’amener à Poindimié la jolie édition DVD de chez Bach Films que m’a offert Morbius, pour le revoir, cette nuit, sur mon portable, et allongé au milieu des cocotiers (là c’était gratuit, j’avoue, et c’est juste pour taquiner les amis métropolitains du groupe des Échos d’Altaïr sur Facebook….).

13102206304015263611661262 dans Science-fictionÉcrit par Richard Carroll et Curt Siodmak (un rescapé hollywoodien du cinéma de SF allemand à l’avènement du nazisme en 1933), pour la petite firme indépendante Monarch Film Corporation, THE APE est un mélange d’un de ces films de savants fous, que Boris Karloff enfilait comme des perles, dans sa filmographie, à partir de 1939 (comme nous l’expliquions avec BEFORE I HANG, 1940), et de ces histoires de singes meurtriers, issus d’Edgar Allan Poe et de  DOUBLE ASSASSINAT DANS LA RUE MORGUE (1932) de Robert Florey, jusqu’à LE GORILLE (1939), (mal) interprété par Bela Lugosi.

L’intrigue : Le Docteur Bernard Adrian a entrepris des recherches médicales afin de guérir une jeune femme, handicapée des deux jambes par la polio. Il sait qu’il est près de toucher au but, mais pour que son vaccin soit efficace, il lui faut se procurer du liquide rachidien d’un être humain. Pour cela, il n’hésitera pas à se transformer en assassin… Mais dans le même temps, un singe monstrueux parvient à s’échapper d’un zoo. La terreur ne tarde pas à se répandre dans la ville…

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Avec ses cadres de lunettes ovales et sa moustache grisonnante, Boris Karloff incarne, dans THE APE, le prototype du médecin paternaliste des films du genre de cette période, avec cet aspect humble et généreux, qui cache toujours une facette humaine bien plus sombre. Concernant le fameux gorille du titre, on le voit peu (et heureusement finalement, avec une tête pareille !), et il n’est qu’un alibi costumé à une intrigue simpliste mais qui s’inscrit bien dans son époque. Celle où les scientifiques des films de SF horrifiques n’étaient que des prétextes à des histoires de greffes et de mélanges d’ADN de toutes sortes, et de tous poils. Mais en spoilant un peu la conclusion de THE APE, je vous le conseille surtout parce qu’il est un des rares et premiers films de genre à aborder le très curieux thème du gorille-garou…

- Trapard -

Autres films présentés dans la catégorie Le Grenier du Ciné SF :

Flash Gordon, de la BD aux serials / Croisières Sidérales / Aelita / Man Made Monster / Metropolis / Things to come / Docteur Cyclope / L’Ennemi sans Visage / Sur un Air de Charleston / La Femme sur la Lune / Le Tunnel / La Fin du Monde / I.F.1 ne répond plus / Buck Rogers au XXVe Siècle : Une Bataille Interplanétaire avec les Hommes-Tigres de Mars / Le Mort qui marche / Before I hang

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