Entre les parutions DVD et Blu-ray, les sorties cinéma, Di Vinz vous fait sa séance de rattrapage. C’est parti !
C’EST LA FIN (version DVD)
Film américain de Seth Rogen et Evan Goldberg
Avec : Seth Rogen, James Franco, Jonah Hill …
Une soirée qui commençait bien chez James Franco… Puis s’abat sur eux l’Apocalypse !
Voilà le speech de cette comédie complètement déjantée mettant en scène des acteurs dans leur propre rôle, chose rare qui couplée à un scénario improbable vous donne un cocktail comique plutôt tassé. Les répliques lourdes et les vannes grasses s’enchaînent joyeusement dans ce huit-clos qui s’apparente bientôt à un asile de fous. Le film possède étonnement des effets visuels tout à fait respectables pour donner de la crédibilité aux situations explosives et s’offre un casting d’enfer, les acteurs forment une belle bande de bras cassés et croiseront une tonne de « guests », tous jouant leur propre rôle, ce qui reste l’atout majeur de cette production chiadée, sans prétention, et assumant jusqu’au bout un humour tellement américain, sur fond de rédemption (au sens biblique du terme). Un peu gras, mais il me paraît difficile de ne pas rire devant ce film de dingues.
LA STRATÉGIE ENDER (version Blu-ray)
Film américain de Gavin Hood
Avec : Asa Butterfield, Harrison Ford, Ben Kingsley
Le parcours initiatique d’un garçon pas ordinaire.
À la manière d’OBLIVION ou AFTER EARTH, LA STRATÉGIE ENDER tiré du roman du même nom commence par un petit résumé des événements. L’humanité mène une guerre totale contre les Doryphores, une espèce extra-terrestre insectoïde qui a attaqué la Terre mais a été repoussée, notamment grâce au courage d’un soldat légendaire connu sous le nom de Mazer Rackham. C’est en suivant cet exemple que le jeune Ender Wiggin, un garçon doté d’une exceptionnelle intelligence tactique, doit faire ses preuves dans une école de guerre réservée à l’élite. On suit Ender accompagné d’autres adolescents, à travers son initiation, supervisée de près par le colonel Graff et Mazer Rackham lui-même. Ces-derniers voient en Ender la personne capable d’annihiler les Doryphores définitivement et mettront tout en œuvre pour qu’il y parvienne.
Visuellement impeccable grâce à un design léché et une réal très (trop ?) propre, le film est plutôt agréable à suivre. Ce futur proche est bien retranscrit, plusieurs séquences sont assez réussies voire intéressantes notamment le face à face entre Ender et un Doryphore. Cependant le rythme est lent. Il ne semble jamais vraiment intense même lors des scènes finales, auxquelles on peine à croire tout comme aux trois quarts du reste, peut-être aussi en raison du jeu poussif des acteurs, Ford et Kingsley compris. Une petite déception pour cette adaptation honnête certes mais qui possédait un plus grand potentiel.
HUNGER GAMES, L’EMBRASEMENT (version Blu-ray)
Film américain de Francis Lawrence
Avec : Jennifer Lawrence, Woody Arrelson, Liam Hemsworth
Il y a RUNNING MAN, BATTLE ROYAL… Et HUNGER GAMES !
Katniss Everdeen et Peeta Mellark, les vainqueurs des derniers Hunger Games, sont contraints de faire la promo du Capitole à travers les districts, au sein desquels la colère ne fait qu’augmenter. Le Capitole décide alors d’organiser les jeux de l’Expiation pour supprimer Katniss, symbole de la révolte pour le peuple, ainsi vont s’affronter les vainqueurs des derniers jeux.
On retrouve avec plaisir l’univers particulier de la saga HUNGER GAMES, un futur parallèle représentatif d’une société axées sur le superficiel, prônant la répression des démunis en faveur d’une classe mondaine gavée de mode et de téléréalité choc. De ce côté, la retranscription du livre à l’écran ne se fera remarquer que positivement. Une très longue partie d’inévitables scènes de menaces et autres punitions publiques, dans lesquelles nos héros constateront l’état de leur système avec toujours plus d’effroi, débouchera sur une phase d’entraînement vraiment sympa avant d’enchaîner sur une séquence en arène plus courte que dans le premier volet, mais plus vivante. Les effets spéciaux sont inégaux et on reste sur notre fin (jeu de mot). Cela-dit, la réalisation est excellente et entre aventures/science-fiction/romance on tient là un savoureux mélange des genres. Je retiens quelques scènes de grande qualité, notamment l’entrée dans l’arène, assurément le meilleur moment du film. Une réussite en somme qui ne présage que du bon pour le prochain épisode.
ALBATOR, LE CORSAIRE DE L’ESPACE (version cinéma)
Film japonais de Shinji Aramaki
La renaissance d’un mythe !
Le reboot d’une œuvre mythique est une annonce qui fait toujours du bruit. D’une part pour les fans de la première heure, ou même les amateurs, d’autre part pour ces jeunes générations qui n’ont pas eu le privilège de la connaître. Film d’animation japonais aux graphismes somptueux, cet ALBATOR a de la gueule. Le style, la scénarisation, les personnages, c’est ce qui se fait de mieux dans le genre. Un film plus adulte qu’il n’y paraît, tantôt poétique, enchanteur, tantôt brutal, explosif… Quelques points noirs quand même : d’abord cette impression d’un manque flagrant de bon sens dans certaines décisions lors des batailles (c’est de l’anti STRATÉGIE ENDER) et dans le même ordre d’idée difficile de déchiffrer le pourquoi du comment de ce scénario invraisemblable, soit trop simple, soit trop alambiqué. Les batailles spatiales en elles-mêmes sont très impressionnantes, au début du moins, elles ont en effet un côté un peu répétitif et semblent se ressembler. Dans l’ensemble c’est un film qui met des claques, avec quelques persos bien charismatiques et des séquences dantesques ; on sent un effort fourni pour le rendre plus dramatique, avec un triangle relationnel sensé accroître cet effet, ce qui finalement lui nuit plus qu’autre chose, car les persos de ce triangle ne sont pas franchement bien exploités. Le Capitaine Corsaire, lui, est vraiment classe et c’est le principal.
- Di Vinz -
Autres critiques de Di Vinz :
Critiques express / Oblivion / Upside Down / Cloud Atlas / Iron Man 3 / After Earth /Star Trek Into Darkness / Man of Steel / World War Z / Pacific Rim – Wolverine, le Combat de l’Immortel – R.I.P.D. Brigade Fantôme / Elysium / Thor, le Monde des Ténèbres / Le Hobbit : La Désolation de Smaug / Snowpiercer, le Transperceneige
Rejoignez le groupe des Échos d’Altaïr IV sur Facebook !
LE FILS DE KONG (1934) d’Ernest B. Schoedsack
LE FILS DE KONG (The Son of Kong) est la suite directe de KING KONG (1933) dont la production et le tournage se firent la même année que son prédécesseur en 1932 (nous parlions de ce tournage au sujet de celui des CHASSES DU COMTE ZAROFF). Produit par la RKO, avec une situation financière difficile et proche de la banqueroute, le tournage et la préparation de ce film se firent, malgré tout, rapidement, mais avec un budget plus serré encore que celui de KING KONG. Cela se ressent à l’image puisqu’on n’y voit très peu l’île, les explorateurs ne s’éloignant que très peu du canot avec lequel ils sont arrivés ni du temple de l’intrigue. De même, les créatures préhistoriques de l’île sont beaucoup moins nombreuses, moins terrifiantes et disparaissent aussi vite qu’elles sont apparues. D’ailleurs, devant le manque de budget alloué aux effets spéciaux, Willis O’Brien demanda à ce que son nom soit retiré du générique, sans succès. Malgré cela, certaines scénes sont encore surprenantes comme le combat entre Kong Junior et un ours géant, où celle où il se noie en sauvant Denham et la jeune Hilda.
La baisse du budget explique aussi le peu de comédiens visibles dans le film, et les indigènes sont même réduits à une petite dizaine d’hommes, alors que le scénario leur donnait une place plus importante. Seuls les acteurs Robert Armstrong retrouve son rôle de Carl Denham, ainsi que Frank Reicher qui reprend son rôle du capitaine Englehorn. Pour le reste, LE FILS DE KONG est beaucoup plus destiné à un jeune public, Kong Junior n’ayant pas la bestialité de son père, et le nombre de morts comme de situations hostiles sont très réduits dans le film.
L’intrigue : Après la mort de Kong, Carl Denham est ruiné dans les procès à cause des destructions des victimes qu’a entraîné la présence de Kong à New-York. Traqué par les journalistes, il décide de partir voir le capitaine Englehorn, et ensemble ils quittent New York avec un équipage pour rejoindre l’Extrême-Orient, et le port de Dakang. Ils y retrouvent le capitaine Helstrom, qui avait vendu la carte de l’ile de Kong à Denham et celui-ci leur annonce qu’un trésor fut caché dans l’ile par les indigènes qui ont construit la muraille.Une fois sur l’île, nos explorateurs rencontrent vite celui qui semble être la descendance de Kong…
LE FILS DE KONG est sorti à la fin de l’année 1933, 8 mois après KING KONG, mais trop rapidement finalement, KING KONG étant encore dans le succès du Box-Office, cette suite passa inaperçue et ne connut qu’un succès très modeste.
Malgré son manque de moyens et ses déboires d’exploitation, LE FILS DE KONG reste un classique que les fans du genre aiment redécouvrir, lors de ses trop peu nombreuses diffusions télévisées, ce qui a été le cas il y a quelques mois de ça.
- Trapard -
Autres films présentés dans la catégorie Le Grenier du Ciné Fantastique :
La Charrette Fantôme / La Chute de la Maison Usher / Les Contes de la Lune vague après la Pluie / Frankenstein (1910) / Le Cabinet du Docteur Caligari / La Monstrueuse Parade / Le Fantôme de l’Opéra / Double Assassinat dans la Rue Morgue / Docteur X / White Zombie / The Devil Bat / La Féline (1942) / Les Visiteurs du Soir / La Main du Diable / Le Récupérateur de Cadavres / La Beauté du Diable / Un Hurlement dans la Nuit / The Mad Monster / La Tour de Nesle /L’Étudiant de Prague / Les Aventures Fantastiques du Baron de Münchhausen /Torticola contre Frankensberg / Ulysse / Man with Two Lives / The Mad Ghoul / La Tentation de Barbizon / The Flying Serpent / Peter Ibbetson / Le Fantôme Vivant /La Marque du Vampire / Les Poupées du Diable / Le Gorille / Le Voleur de Bagdad / The Savage Girl / Murders in the Zoo / The Vampire Bat /Figures de Cire / L’Oiseau Bleu / L’Aïeule / Genuine / La Charrette Fantôme (1921) / Häxan, la Sorcellerie à travers les Âges / Les Nibelungen / Le Monde Perdu (1925) / Wolfblood / Faust, une Légende Allemande / La Lumière Bleue /Les Chasses du Comte Zaroff / Vampyr ou l’Étrange Aventure de David Gray
Rejoignez le groupe des Échos d’Altaïr IV sur Facebook !
Chaque lundi, le blog Flynn SFFF vous présente une parution littéraire récente ou ancienne de la SF, du Fantastique ou de la Fantasy en roman ou BD. Flynn, éternel dévoreur d’ouvrages, vous décortique son bouquin du jour…
Titre : TAUPE
Auteur : Nico Bally
Illustrateur : Philippe Jozelon
Éditeur : Malpertuis
Pages : 164
Quatrième de couverture : « Un beau jour de 1864, Jules Scartaris, un jeune garçon, se retrouve victime de sa curiosité. Entré discrètement dans une étrange machine, en compagnie d’un chat tout aussi fouineur, il voit, impuissant, l’appareil se refermer sur lui et commencer à s’enfoncer dans le sol. Car Taupe (puisque tel est le nom de cet engin aux faux airs de Nautilus) vient d’entamer sa mission, et celle-ci consiste à atteindre le centre de la Terre…
Passager clandestin malgré lui, Jules devra travailler pour justifier sa présence à bord. Louvoyant entre les personnages hauts en couleur – parfois amicaux, mais pas toujours – qui composent l’équipage, il lui faudra de participer à toutes les tâches qui contribuent à faire fonctionner le vaisseau souterrain. Il y découvrira les secrets de la machine, mais aussi ceux des hommes…
Une aventure steampunk qui, entre humour et suspense, remet au goût du jour la grande tradition de Jules Verne.
TAUPE, un projet top-secret financé par une dizaine de personnes, en partance pour le centre de la Terre… Cela ne vous ferait-il pas peur de vous y engager sans avoir plus d’informations ? Malheureusement pour Jules, il n’a pas eu le choix… »
Mais qu’est-ce donc que ce « TAUPE » ? Il s’agit du Tunnelier Autarcique Ultra Perforant Enseveli. Pour faire simple, TAUPE est un tunnelier conçu par Jean Sébastien Noe, qui a pour mission de se rendre au centre de la Terre en creusant un tunnel. Ce projet-là est financé par une dizaine de personnes dont le père de Jules Scartaris. Jules est un jeune garçon de 13 ans qui, un jour, se rend, avec ses parents, dans une vallée inconnue où il découvre alors l’énorme engin à moitié planté dans le sol, duquel plusieurs personnes entrent et sortent. Intrigué, et pendant que tout le monde est occupé ailleurs, Jules s’infiltre dans l’engin pour le visiter. Malheureusement pour lui, il s’y retrouve enfermé à l’insu de l’équipage et TAUPE commence à s’enfoncer vers le centre de la Terre. Peu après, Nedat, la médecin de Taupe, le découvre. Jean Sébastien, L’amiral et Éléonore, la géologue, décident de le garder avec eux, à condition que Jules apprenne à maitriser tous les rôles des Taupistes, trieur, chauffeur, sondeur, etc, afin qu’il puisse connaitre TAUPE par cœur.
L’histoire de ce roman, écrit par Nico Bally, est particulièrement intéressante. Tout d’abord, on suit le récit au travers de l’œil d’un enfant qui est habitué à vivre dans un milieu très aisé, où il n’a pas grand-chose à faire si ce n’est s’occuper de lui-même, sans être pour autant égoïste. Cependant, il se retrouve propulsé dans un milieu d’adultes, où les gens sont parfois gentils, mais plus souvent violents. Il doit donc s’adapter à un nouvel environnement qu’il ne connaît pas, il doit devenir adulte avant l’heure, et il est alors déstabilisé. Le passage de l’enfant à l’adulte est quelque chose de parfaitement réussi par Nico Bally. En effet, au tout début du roman, le langage qu’il utilise est très enfantin, mais plus on avance dans l’histoire, plus on tourne les pages, et plus le temps avance, plus Jules grandit dans sa tête, il devient plus mature et on s’aperçoit alors que le langage utilisé par l’auteur évolue lui aussi vers une certaine maturité innocente. De ce fait, la voix, infantile que l’on entend dans notre tête lorsque Jules parle se transforme en voix adulte, et ça c’est une véritable réussite, ça démontre une certaine qualité de la plume et de l’écrit de l’auteur. Cela dit, dans la plupart des réactions de Jules, on sent qu’il est encore un enfant, il se plaint quand il faut montrer des échelles parce qu’il a mal aux bras, il se plaint parce que les lits sont trop durs, etc, et c’est très amusant. D’autant plus que le roman est construit comme une sorte de journal dans lequel Jules raconte son aventure, et on parvient vraiment à se plonger dedans.
TAUPE peut sembler n’être qu’un simple roman jeunesse, pourtant, il est bien plus que ça. Il est avant tout une aventure steampunk pour adulte comme pour enfant. D’un point de vue adulte, on s’émerveille de retrouver en TAUPE un hommage au grand Jules Verne, ce mélange de technologie moderne à une époque plus ancienne avec une ambiance mystérieuse et sombre, ainsi qu’à une réflexion très vraie sur la société moderne, car oui, Nico Bally place subtilement son petit avis et sa critique sur notre société. Notamment sur le manque d’égalité homme-femme dans la vie et dans le monde du travail, mais aussi sur le racisme qui sévit, encore une fois, dans la vie quotidienne et au sein de la vie professionnelle. Dans TAUPE, hommes et femmes font le même travail, hommes et femmes viennent de tous les horizons et s’entendent parfaitement les uns, les autres. D’un point de vue plus enfantin, TAUPE se présente comme un petit roman très simple, pas prise de tête, facile à lire, drôle et touchant. Les différentes péripéties de Jules et les rebondissements captivent notre attention, et l’intrigue est très passionnante, le roman se lit donc très vite, une journée pour les plus courageux !
TAUPE est une petite merveille, un magnifique hommage à Jules Verne qui peut être lu par tous, enfants comme adultes. J’ai, pour ma part, été très amusé par le reproche fait aux adultes d’agir comme des enfants. C’est un reproche fait plusieurs fois par Jules et Nico Bally, et je pense que celui-ci devrait beaucoup amuser nombre d’enfants tant il est de plus en plus vrai !
- Flynn -
Autres livres présentés par Flynn :
Dangereuses visions : le Necronomicon en BD / Agharta : le Temps des Selkies / Le Dernier Roi des Elfes / Le Niwaâd / Moi, Cthulhu / Docteur Sleep / Saigneur de Guerre / Le Démon aux Mille Visages / Le Gardien de la Source / Universal War Two (T1) : Le Temps du Désert / Blake et Mortimer : L’Onde Septimus / Culture Geek / Attention aux Morts / Out There – volume 1 /L’Encyclopédie du Hobbit / Quantex (T1) : Le Songe des Immortels / Quantex (T2) : La Révolte des Ombres / Chroniques des Ombres / Le très grand Nettoyage / Les Pantins Cosmiques / Cornes / Le Miroir des Templiers (T1) : New Paris / Nosfera2 / Soutenez le financement de l’ouvrage « Gore – Dissection d’une Collection »
On continue dans nos « vaisseaux délires » avec, cette fois-ci, le vaisseau du film EXPLORERS (de Joe Dante, 1985). Enfin, « vaisseau », c’est vite dit !
Fait de bric et de broc (en fait, du matériel de récupération comme on le voit ici), notre engin (le terme convient mieux, les Calédoniens, habitués à l’expression, pourront d’ailleurs s’exclamer à juste titre en le voyant la première fois : « L’ENGIN !!! ») parviendra cependant à rejoindre l’espace grâce à une sorte de champ de force sphérique et hermétique qui lui fournit sa propulsion… Vous me suivez ?… Non ?… Peu importe : c’est du cinéma à la Joe Dante (sans côté péjoratif de ma part) mêlé à une science très FICTION !
Mais qui a donc pu inventer un tel « machin » ? Eh bien des gamins des années 80 ! Pas encore de Smartphone, tout juste un Internet balbutiant, encore un peu trop jeunes pour s’intéresser aux filles et surtout la passion de la SF : l’idéal pour consacrer le maximum de son temps libre à la création du « machin ».
Et ils ont la foi, nos gosses des Eighties, car pour partir dans l’espace avec un tel assemblage de poubelles, de télévisions, de pneus, de roulettes, de malles, de tôles, d’ampoules et j’en oublie : il faut vraiment y croire ! Mais tout cela en vaudra la chandelle car à la fin ils rencontreront nos amis extraterrestres… Alors, vous savez ce qu’il vous reste à faire maintenant !
- Morbius -
Autres vaisseaux présentés dans la catégorie Vaisseaux SF :
Croiseur C-57D / Valley Forge / Discovery One / Fusée du Choc des Mondes /Astroforteresse Galactica / Aigle / Nostromo / Andromeda Ascendant / Serenity /Jupiter 2 / Moya / Vaisseau de Les Premiers Hommes dans la Lune / Lexx / USS Enterprise NCC-1701-D / Destinée / USS Cygnus / Soucoupe de Klaatu / Tardis /Starfury / Liberator / Viper / Thunderbird 3 / Excalibur / Starbug / Vaisseaux des Visiteurs / Event Horizon / BTA Fighter / Odysseus / Moonbase Interceptor /Thunder Fighter / Vaisseau martien /Prometheus / Vaisseau du film Le Guerrier de l’Espace / Nell
Rejoignez le groupe des Échos d’Altaïr IV sur Facebook !
Voici notre rendez-vous traditionnel avec tous les derniers articles parus sur le blog CosmoFiction. On y trouve désormais la semaine consacrée à un film. Il y a eu celle des MERCENAIRES DE L’ESPACE, et actuellement on finit celle de CONTAMINATION. Ah, et on dépasse désormais la centaine de publications ! L’aventure se poursuit sur le blog entièrement dédié à la SF et au Fantastique des années 80 ! (Cliquez sur le titre de l’article pour l’ouvrir.)
DERNIERS ARTICLES DE COSMOFICTION DANS L’ORDRE DE LEUR PUBLICATION :
Le Domaine du Fanatique : édition n°4
L’affiche : LES MERCENAIRES DE L’ESPACE (1980)
Instantanés : LES MERCENAIRES DE L’ESPACE (1980)
Musique : LES MERCENAIRES DE L’ESPACE
Zombies des années 80, oui mais zombies jusqu’au bout des seins ! (partie 2)
LES GOONIES reviennent dans un nouveau film !
L’affiche : CONTAMINATION (1980)
Making of CONTAMINATION (1980)
Instantané : BRAINSTORM (1983)
Et si on s’attardait régulièrement sur les vêtements à travers les films et les séries de science-fiction ? Et si on explorait les tendances ou les fantasmes exprimés à travers les designs les plus fous, les plus kitchs ou les plus provocants de la SF, mais aussi à travers les plus austères, les plus sérieux ou les plus envisageables dans un avenir plus ou moins éloigné ? Place à Utopic Fashion !
Rien qu’en observant cette photo, je suis persuadé que vous arrivez déjà à situer l’époque. Les Sixties ?… Les Seventies ?… Eh bien nous voilà entre les deux, plus précisément en 1969, année où l’homme a marché sur la Lune, et où la Hammer, plus habituée aux films d’épouvante qu’à la science-fiction, nous sort son épopée spatiale délirante et sublimement kitsch intitulée ALERTE SATELLITE 02 (MOON ZERO TWO), réalisée par Roy Ward Baker (THE VAMPIRE LOVERS, LES CICATRICES DE DRACULA, Dr JEKYLL ET SISTER HYDE…).
L’histoire est la suivante : « En l’an 2021, à bord de leur vaisseau spatial, le capitaine Bill Kemp et son ami Korminski sillonnent l’espace, à la recherche de vieux satellites. Un jour, ces pilotes sont contactés par Hubbard, un important millionnaire, qui leur demande de retrouver un astéroïde de couleur bleu. Mais ils sont loin de se douter qu’il s’agit en réalité d’un saphir d’une grande valeur, convoité par de redoutables truands. » (allocine.fr)
Ah ! Avouez, en regardant cette photo, que le futur s’annonçait plutôt bien à cette époque ! Et il n’est pas étonnant, dans ces conditions, que tous les jeunes garçons voulaient devenir astronautes, cosmonautes, spationautes (choisissez votre pays) !
On nous promettait les sempiternelles jupes ultra-courtes pour ces dames, des vêtements légers et très aérés aux couleurs flashy, des bottes et de jolies coupes de cheveux souvent fort colorées elles aussi (observez la seconde photo, plus bas). La série télévisée UFO : ALERTE DANS LE COSMOS, nous avait elle aussi promis un futur bariolé et véritablement sexy, très inspiré d’ALERTE SATELLITE 02. Mais, malheureusement, il n’en est rien du tout ! La sinistrose est de rigueur dans ces sombres années 2000 où la crise mondiale a transformé l’arc-en-ciel qui s’annonçait en un éternel temps pluvieux ! Impossible de s’en défaire. Le noir et le gris ont métamorphosé nos belles dames en parfaites veuves de cortège funèbre… Il faut bien s’y résigner : l’espace demeurera définitivement en noir et blanc…
- Morbius -
Autres articles publiés dans la catégorie Utopic Fashion :
Les femmes de la Lune / Stella et son bikini spatial / Glamour Altaïra / Le futur sera à poils / Tenue des sables / Le X sera soft ! / Cuir moulant et satin kitsch /Paillettes cosmiques / Walkyrie spatiale / Les bouclettes de Zarth Arn / Ah la la, l’alu ! / Conquérantes de l’Univers / Logiquement vulcain
Rejoignez le groupe des Échos d’Altaïr IV sur Facebook !
VAMPYR OU L’ÉTRANGE AVENTURE DE DAVID GRAY (1932) de Carl Theodor Dreyer
Mettant beaucoup de temps à se remettre à la réalisation entre deux films, c’est presque quatre ans après la sortie du très beau LA PASSION DE JEANNE D’ARC (1928), qu’il a tourné en France, que le cinéaste danois, C.T. Dreyer tournera VAMPYR OU L’ÉTRANGE AVENTURE DE DAVID GREY (Vampyr – Der Traum des Allan Grey). C’est le Baron Nicolas Louis Alexandre de Gunzburg, chef de rédaction de magazines de mode, qui a produit et commandé à Dreyer un film de vampires où il tiendrait le rôle principal sous le pseudonyme de Julian West. Financièrement franco-allemand, VAMPYR a été réalisé, selon le mode d’exploitation entre 1931 et 1933, en trois versions : allemande, française et anglaise. Sorti en France en 1932, le film ne sortira au Danemark que l’année suivante. L’histoire veut que les comédiens du film n’étant pas des professionnels du métier, et ne pratiquant pas les trois langues d’exploitation à la fois, le réalisateur a réduit les dialogues au strict minimum, deux éléments qui accentuent l’étrangeté de VAMPYR, dont l’orthographe du mot n’existe d’ailleurs en aucune langue.
Tourné à l’arrivée du cinéma parlant, VAMPYR est un exercice de style pour Dreyer qui considérait les premiers films sonores comme du « théâtre filmé ». Le réalisateur a donc énormément épuré la bande-son de son film, les dialogues étant très dispersés et souvent surprenants lorsqu’ils interviennent en rompant les courtes partitions musicales de Wolfgang Zeller. De plus, le Baron Nicolas de Gunzburg a annoncé plus tard que VAMPYR fut entièrement tourné sans enregistrement sonore, et que les comédiens prononçaient distinctement chaque mot dans les trois langues, le son ayant été post-synchronisé aux studios U.F.A. de Berlin, après le montage du film.
L’intrigue : David Gray arrive à Courtempierre et s’installe à l’auberge du village. Pendant la nuit, un vieillard lui rend visite et lui confie un vieux grimoire sur les vampires, et sur les moyens de s’en protéger. Dès cet instant, Allan doit affronter et déjouer les pièges d’une femme vampire…
Très librement adapté des deux nouvelles de Sheridan Le Fanu, « Carmilla » et « La Chambre de l’auberge », VAMPYR est sorti en salles, bien après le film de Tod Browning, DRACULA (1931) mais n’en obtint pas le même succès. Avec son atmosphère d’étrangeté, sa réalisation très moderne, voire expérimentale, le film de Dreyer semble avoir désarçonné les spectateurs. VAMPYR n’aura une exploitation que de courte durée, et son réalisateur mit plus de dix ans à tourner son film suivant.
Nettement plus poétique que destiné à effrayer, VAMPYR se rapproche beaucoup plus de NOSFERATU LE VAMPIRE (1922, Nosferatu, eine Symphonie des Grauens) et de l’expressionnisme poétique du réalisateur Friedrich Wilhelm Murnau, que du DRACULA de Browning. Ce qui ajoute encore à l’étrangeté de VAMPYR, c’est sa pâleur presque hypnotique, particulièrement dans la scène finale de la grange. Cet effet a été expliqué par Dreyer qui, en visionnant les premières rushes du film, avec son opérateur, Rudolph Maté, s’aperçut qu’une lumière grise s’était réfléchie par erreur dans l’objectif. Ils choisirent finalement de conserver l’aspect glauque et blanchâtre de l’image, pour accentuer l’atmosphère mystérieuse de l’intrigue. L’autre curiosité de VAMPYR est son incroyable alternance de points de vue entre tous les personnages, la lisibilité du film devenant un exercice d’élasticité intellectuelle pour le spectateur. Dreyer est même allé jusqu’à filmer le point de vue de Julian West, présumé mort, lors de son enterrement, chose inconnue en 1932. La présence de la vieille femme vampire, personnage central de VAMPYR, est très secondaire à l’image alors que malgré tout sa présence est palpable tout le long du film.
En plus du NOSFERATU de Murnau, VAMPYR OU L’ÉTRANGE AVENTURE DE DAVID GRAY est donc à rapprocher d’un mode narratif issu de l’expressionnisme allemand, tel que celui du CABINET DU DOCTEUR CALIGARI (1919, Das Cabinet des Dr. Caligari) de Robert Wiene, bien qu’extrêmement différent visuellement. D’ailleurs, en 1933, le parti national-socialiste allemand, alors au pouvoir, lui commanda un film, dont Dreyer déclina la proposition.
- Trapard -
Autres films présentés dans la catégorie Le Grenier du Ciné Fantastique :
La Charrette Fantôme / La Chute de la Maison Usher / Les Contes de la Lune vague après la Pluie / Frankenstein (1910) / Le Cabinet du Docteur Caligari / La Monstrueuse Parade / Le Fantôme de l’Opéra / Double Assassinat dans la Rue Morgue / Docteur X / White Zombie / The Devil Bat / La Féline (1942) / Les Visiteurs du Soir / La Main du Diable / Le Récupérateur de Cadavres / La Beauté du Diable / Un Hurlement dans la Nuit / The Mad Monster / La Tour de Nesle /L’Étudiant de Prague / Les Aventures Fantastiques du Baron de Münchhausen /Torticola contre Frankensberg / Ulysse / Man with Two Lives / The Mad Ghoul / La Tentation de Barbizon / The Flying Serpent / Peter Ibbetson / Le Fantôme Vivant /La Marque du Vampire / Les Poupées du Diable / Le Gorille / Le Voleur de Bagdad / The Savage Girl / Murders in the Zoo / The Vampire Bat /Figures de Cire / L’Oiseau Bleu / L’Aïeule / Genuine / La Charrette Fantôme (1921) / Häxan, la Sorcellerie à travers les Âges / Les Nibelungen / Le Monde Perdu (1925) / Wolfblood / Faust, une Légende Allemande / La Lumière Bleue / Les Chasses du Comte Zaroff
Rejoignez le groupe des Échos d’Altaïr IV sur Facebook !
Chaque lundi, le blog Flynn SFFF vous présente une parution littéraire récente ou ancienne de la SF, du Fantastique ou de la Fantasy en roman ou BD. Flynn, éternel dévoreur d’ouvrages, vous décortique son bouquin du jour…
La collection Gore est une collection mythique des Éditions Fleuve Noir. En grand fan de cette dernière, David Didelot, éditeur du fanzine Vidéotopsie consacré au cinéma bis et d’horreur, a décidé de la disséquer et de vous faire part de ses connaissances et de sa passion dans un ouvrage nommé Gore – Dissection d’une Collection, qui sera édité aux Éditions Artus films. Gore est donc l’encyclopédie ultime de cette collection, un indispensable pour tous les fans…
Cependant, pour financer le projet, David Didelot et Artus films ont besoin de 30 000 €. C’est pourquoi une campagne Ulule a été lancée pour collecter cette somme et ainsi pouvoir réaliser la maquette et imprimer l’ouvrage. Actuellement, 64% des fonds ont été récoltés, mais ce n’est pas assez. Il reste encore 24 jours pour collecter la somme dans son intégralité, n’hésitez donc pas à participer !
Pour avoir toutes les informations (notamment des extraits du livre), je vous renvoie directement sur la page Ulule du projet de Gore.
- Flynn -
Ci-dessous, une reproduction partielle de ce que vous pouvez trouver sur Ulule.
Au milieu des années 80, les Editions FLEUVE NOIR lançaient la désormais célèbre Collection GORE, prolongement sanglant et « mal élevé » de la fameuse Collection ANGOISSE. Pendant cinq ans, d’avril 1985 à juillet 1990 – et au rythme de deux volumes par mois – des dizaines de petits romans vinrent alors se ranger sans pudeur sur les étals de nos supermarchés, dans les rayonnages de nos librairies ou sur les comptoirs de nos kiosques à journaux. Un logo génialement dessiné, des couvertures pleines de sang, de tripes et de femmes légèrement vêtues, pour 118 petits romans « de gare » pleins de chair mise à vif, de litres d’hémoglobine déversés et d’inimaginables souffrances… 118 petits récits (sans compter un volume hors série grand format et un petit livre d’analyse réflexive sur la collection), signés par de grands et plus modestes auteurs de la littérature populaire française ou anglo-saxonne ; 118 petites histoires totalement barrées, brisant joyeusement tous les tabous et toutes les bienséances ; 118 titres qui sont aujourd’hui l’objet d’un véritable culte auprès de ceux qui, dans les années 80, étaient encore adolescents et hantaient les vidéoclubs fleurissant un peu partout, à la recherche du dernier film gore disponible… Car la Collection GORE fait aujourd’hui figure d’équivalent littéraire aux séries B d’horreur qui encombraient alors les magnétoscopes… Témoignage incontournable d’une décennie aujourd’hui bénie, projet encore controversé de nos jours, la Collection GORE reste une expérience éditoriale unique en son genre. Une expérience qui méritait donc bien que l’on s’ y arrête enfin.
Livre de plus de 300 pages couleurs et noir et blanc. Nombreuses illustrations et entretiens avec les auteurs.
SOMMAIRE :
Contreparties possibles :
Détails des récompenses :
Le DVD OGROFF – MAD MUTILATOR
Film de Norbert Moutier – France – 1983
Avec Françoise Deniel, Pierre Pattin, Howard Vernon, Alain Petit…
DVD Artus Films – Suppléments :
Ogroff, le bûcheron fou
Ogroff, 30 ans après
Scène d’ouverture inédite
Diaporama d’affiches et de photos
Bande-annonce
Toutes les infos sur : http://www.artusfilms.com/ogroff-mad-mutilator
Norbert Moutier a écrit 2 volumes pour la collection Fleuve Noir Gore : Neige d’enfer (n°64) et L’équarrisseur de Soho (n°112)
Habitué à éditer des DVD, ARTUS FILMS se lance dans l’édition de livres. C’est une première et, bien entendu, nous restons dans la culture que nous aimons. Nous connaissons David Didelot depuis des années, grâce à son travail remarquable et passionné pour son fanzine VIDEOTOPSIE. Depuis 10 ans, David collectionne tout ce qui se rapporte à cette mythique collection Fleuve Noir Gore. Il fallait bien tôt ou tard partager le fruit de son travail et de sa passion. Avec le temps, cette collection de littérature populaire des années 80 est devenue mythique. Mais nous sommes conscients qu’un tel projet va intéresser une poignée de passionnés, le thème étant on ne peut plus pointu. C’est pour cette raison que nous faisons appel à vous. Vos souscriptions serviront à financer la maquette du livre, ainsi que l’impression.
Pour en savoir plus sur les éditions Artus Films : www.artusfilms.com
L’éditeur :
ARTUS FILMS édite des DVD depuis 2005. Avec un goût prononcé pour le CInéma-Bis, le Fantastique, et le cinéma de genre en général, l’éditeur aime exhumer des films rares, inédits, méconnus ou oubliés de notre patrimoine, dans des éditions remplies de suppléments.
L’auteur :
Editeur du fanzine Vidéotopsie (consacré au cinéma bis et d’horreur), David DIDELOT se propose aujourd’hui de revenir sur cette aventure éditoriale hors du commun, dans son livre GORE – Dissection d’une Collection. Avec quelques amateurs et spécialistes du genre, il évoque la genèse de cette collection, dissèque tous les volumes la constituant et s’arrête sur tous les auteurs ayant contribué à la série (plus d’une soixantaine !). Collectant les entretiens qu’il a pu recueillir avec les principaux acteurs de GORE (écrivains, directeurs de la collection…), s’intéressant aux artistes qui ont dessiné les plus incroyables couvertures de toute la littérature populaire nationale, se penchant sur les continuateurs de la collection, et évoquant les relations ténues qu’entretient la série avec le cinéma d’horreur, l’auteur signe ici la Bible de la Collection GORE, l’indispensable viatique de l’amateur, le guide complet du territoire GORE. Bref, LE livre définitif sur une collection désormais culte.
Autres livres présentés par Flynn :
Dangereuses visions : le Necronomicon en BD / Agharta : le Temps des Selkies / Le Dernier Roi des Elfes / Le Niwaâd / Moi, Cthulhu / Docteur Sleep / Saigneur de Guerre / Le Démon aux Mille Visages / Le Gardien de la Source / Universal War Two (T1) : Le Temps du Désert / Blake et Mortimer : L’Onde Septimus / Culture Geek / Attention aux Morts / Out There – volume 1 /L’Encyclopédie du Hobbit / Quantex (T1) : Le Songe des Immortels / Quantex (T2) : La Révolte des Ombres / Chroniques des Ombres / Le très grand Nettoyage / Les Pantins Cosmiques / Cornes / Le Miroir des Templiers (T1) : New Paris / Nosfera2
Encore une bande-annonce très impressionnante du film événement de l’année ! À voir et revoir sans modération !
VAISSEAU NELL
Nell est le nom du vaisseau féminin (si, si !) du film de Jimmy T. Murakami : LES MERCENAIRES DE L’ESPACE (BATTLE BEYOND THE STARS, 1980). Vaisseau « féminin » ? En effet, non seulement Nell a la voix d’une femme mais en plus… c’est le seul à posséder un design volontairement féminin (selon le réalisateur) avec une paire de seins (oui, oui, regardez bien !).
Nell, quelque peu râleuse, est pilotée par Shad, un jeune homme inexpérimenté propulsé du jour au lendemain dans une aventure risquée : recruter des mercenaires afin de délivrer la planète Akir du joug de Sador (non, j’ai dit Sador, pas Vador !). Notre vaisseau participera à de grandes batailles spatiales en compagnie de nombreux autres engins spatiaux que nous ne manquerons pas de vous présenter un jour dans cette rubrique !
- Morbius -
Autres vaisseaux présentés dans la catégorie Vaisseaux SF :
Croiseur C-57D / Valley Forge / Discovery One / Fusée du Choc des Mondes /Astroforteresse Galactica / Aigle / Nostromo / Andromeda Ascendant / Serenity /Jupiter 2 / Moya / Vaisseau de Les Premiers Hommes dans la Lune / Lexx / USS Enterprise NCC-1701-D / Destinée / USS Cygnus / Soucoupe de Klaatu / Tardis /Starfury / Liberator / Viper / Thunderbird 3 / Excalibur / Starbug / Vaisseaux des Visiteurs / Event Horizon / BTA Fighter / Odysseus / Moonbase Interceptor /Thunder Fighter / Vaisseau martien /Prometheus / Vaisseau du film Le Guerrier de l’Espace
Rejoignez le groupe des Échos d’Altaïr IV sur Facebook !