Yom a une passion : la science-fiction, SA science-fiction ! Films, séries télévisées, dessins animés, comics, serials… sur sa page Facebook, tout y passe, « juste pour le plaisir » nous dit-il. Et pour notre plaisir, Yom nous permet de publier ici certaines de ses critiques, de ses réflexions, de ses opinions, de ses pensées ou de ses interrogations. Aujourd’hui :
PLANÈTE INTERDITE
Avant de parler d’autres choses, voici d’abord la référence en terme de science-fiction, le classique des classiques, bien en avance sur son temps : PLANÈTE INTERDITE.
PLANÈTE INTERDITE est l’un des premiers films de science-fiction ayant bénéficié de la couleur et du format cinémascope, et également le premier film dont la bande originale n’utilise que des sources électroniques. Robby le robot, mon chouchou en tant que fan de robots, est un personnage à part entière, bien qu’il suive les lois d’Asimov. Il est devenu depuis une icone de la science-fiction, et a même eu droit à un film (THE INVISIBLE BOY) dans lequel il y a un clin d’œil discret à PLANÈTE INTERDITE. Il a ensuite fait beaucoup de caméo dans divers films et séries, et même des publicités.
Pour en revenir au film, bien qu’un peu kitsch de nos jours, il reste largement en avance sur tout (ou presque) ce qu’il se faisait à l’époque en terme de films de science-fiction (en 1956). Il a facilement 10 ans d’avance sur tous les autres, au point qu’il pourrait être l’épisode pilote de la série STAR TREK (commencée en 1966 et qui a du beaucoup s’inspirer du film tant il y a de points communs).
PLANÈTE INTERDITE est donc un excellent exemple de la Science-Fiction telle que je la considère : machinerie complexe (la cité des Krells, Robby, le vaisseau spatial et les diverses technologies utilisées) + quelque chose d’extra-terrestre (l’action se déroulant sur une planète différente de la Terre, Altaïr IV, tout le décor est extra-terrestre ). C’est plus précisément à classer dans le sous genre du Space Opera, mais ne pinaillons pas.
Je vous encourage donc plus que fortement à regarder ce film, car en plus de tout ça le scénario est vraiment sympathique, et si possible au format Cinémascope d’origine, ou tout du moins dans un format proche, car les décors sont très beaux et le film perd de son charme en format 4:3.
C’est un must pour tout fan de SF qui se respecte.
- Yom -
Tu comprendras que je ne peux que partager totalement ton point de vue, Yom.