Yom a une passion : la science-fiction, SA science-fiction ! Films, séries télévisées, dessins animés, comics, serials… sur sa page Facebook, tout y passe, « juste pour le plaisir » nous dit-il. Et pour notre plaisir, Yom nous permet de publier ici certaines de ses critiques, de ses réflexions, de ses opinions, de ses pensées ou de ses interrogations. Aujourd’hui :
DRAGON BALL
Petit détour par l’œuvre que je n’ai pas mentionnée dans les dessins animés de ma jeunesse, et qui pourtant est bel et bien de la science-fiction, le chef-d’œuvre d’Akira Toriyama : DRAGON BALL !
Alors avant tout, il faut admettre que cette œuvre est un concentré réussi de plusieurs genres : fantastique, action, aventure, science-fiction, comédie, mais nous allons aujourd’hui simplement le classer en SF car on est là pour ça.
Pourquoi de la SF dans DRAGON BALL ? Eh bien parce que ma définition s’y applique : machineries complexes (capsules, véhicules divers et variés, robots, androïdes, cyborgs), extraterrestres, et même des voyages spatiaux sur d’autres planètes. Bref, la totale. Alors bien sur, quand je parle de DRAGON BALL, j’inclus la partie connue comme DRAGON BALL Z en anime (le manga d’origine ne change pas de nom tout le long de l’histoire), partie bien plus fournie en extraterrestres et autres éléments de space opera.
Akira Toriyama a réussi à rendre tout cet univers crédible, même si je déplore un tout petit peu la montée en puissance exponentielle des héros car j’ai une préférence pour la première partie du manga, avant la Z attitude, et on y trouve des clins d’œil à d’autres œuvres fantastiques ou de science fiction, comme par exemple un robot très ressemblant au Terminator (Sergent Metallic), ou un pseudo monstre de Frankenstein très gentil (Androïd 8)…
Autre point qui me plaît là dedans, c’est que finalement le message est toujours optimiste, car même si les combats règlent l’essentiel des conflits, ils permettent aussi de transformer des ennemis en amis, avec ce côté un peu « naïf » et innocent qui me rappelle certaines œuvres de SF des années 50-60 où le but n’était pas de tuer l’ennemi à tout pris (comme c’est aujourd’hui devenu la norme), mais juste de l’empêcher de nuire.
Pour résumer, et pour ceux qui seraient passés à côté de cette œuvre (mais est ce vraiment possible ?), n’hésitez pas à vous lancer dans cette aventure, je pourrais même dire « cette quête », qui en a inspiré beaucoup d’autres après elle.
Par contre, je vous déconseille fortement la suite en anime, DRAGON BALL GT qui a pris une direction très contestable (et qui n’existe pas dans le manga) ainsi que le film de 2009 (DRAGON BALL EVOLUTION) qui dénature également l’oeuvre,
KAMEHAAMEHAAAAAA !
- Yom -
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