SPACE MASTER X-7
Année : 1958
Réalisateur : Edward Bernds
Scénario : George Worthing & Yates Daniel Mainwaring
Production : Bernard Glasser (Twentieth Century Fox Film Corporation)
Musique : Josef Zimanich & Harry Bluestone
Pays : États-Unis
Durée : 71 min
Interprètes : Bill Williams, Lyn Thomas, Robert Ellis, Paul Frees, Rhoda Williams…
SPACE MASTER X-7 est une série B indépendante de la Regal Films tournée rapidement par Edward Bernds et avec un budget de $125,000 (dont $25,000 ont servi à payer les scénaristes). La sortie en juin 1958 de ce petit film catastrophe de science-fiction était destinée à capitaliser sur le récent décollage du satellite Explorer 1 en février de la même année.
L’intrigue : Une sonde spatiale de retour sur Terre est recouverte par un mystérieux champignon, qui, lorsqu’il est accidentellement exposé à du sang humain, se transforme en une solution proche de la rouille sans cesse croissante. La corrosion semble s’étendre très vite et risque de prendre des proportions considérables si elle n’est pas enrayée à temps…
Le film est surtout une longue course-poursuite pour arrêter un fléau imminent. Mais avec son budget limité, SPACE MASTER X-7 mise malheureusement plus sur le jeu des comédiens Robert Ellis, Bill Williams et Lyn Thomas que sur de bons gros effets spéciaux. L’ensemble ressemble assez au final à une des aventures du Professeur Quatermass mais transposé aux États-Unis, avec ce rythme vif inhérent aux productions américaines. Entre film d’espionnage et film catastrophe, l’ensemble est plutôt agréable à suivre.
- Trapard -
SPACE MASTER X-7 en entier et en V.O. :
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« Bal kote, darasuum kote, Jorso’ran kando a tome. Sa kyr’am Nau tracyn kad, Vode an.*
* Et la gloire, l’éternelle gloire, Nous devrons supporter son poids tous ensemble. Forgée comme le sabre dans les feux de la mort, tous frères. »
Déjà, rien que ça, ça nous mettait bien dans l’ambiance ! Il s’agit du chant Vode an, en Mandalorien, qui était la musique du menu d’accueil. Sorti en 2004 sur pc et Xbox première du nom, Star Wars : Republic Commando est l’un des rares jeux SW à posséder une bande son qui lui est propre, en plus de certains thèmes de John Williams. Les paroles venant de l’auteur des bouquins, Karen Traviss, et mis en musique par Jess Harlin. Et pour un jeu, la bande son, ça donne des points !
Pour le jeu en lui-même, il vous permettait d’incarner un chef d’escouade de commandos de la République, avec à vos ordres 3 autres soldats, chacun ayant une compétence particulière. Vous incarnez Delta-38, alias Boss, sergent et leader et sous vos ordres, vous avez :
Certaines de ces compétences se vérifient bien sur le terrain : par exemple, Sev se montre plus résistant que les autres face aux coups ou tirs ennemi, d’autres moins : ce même Sev mettra autant de temps que Scorch à poser une bombe par exemple.
Pour ce qui est du gameplay, on est dans le correct, bien qu’on ait plus à faire à un FPS « arcadisé » stratégique que le gameplay révolutionnaire dont ils parlaient lors de sa conception. Les symboles pour placer vos hommes à diverses tâches comme grenadier, ou encore position de sniper, sont visible de loin, si bien que vous ne pourrez pas y échapper. De plus, vos coéquipiers s’y placeront instinctivement pour se mettre à couvert au cas où vous oublieriez. Le niveau de difficulté n’est pas énorme, bien qu’en difficile, ça corse pas mal les choses (enfin pour ma part, mais je suis pas doué en jeux vidéo en temps normal).
Le véritable plus de ce jeu reste son ambiance unique dans les jeux SW : une ambiance bien aidée par la musique comme je l’ai dit plus haut, mais aussi par des décors assez bien fournis, hormis peut être la campagne sur le Prosécutor, qui se résume à un couloir et quelques salles. Pas mal de petits détails inutiles toutefois pour combler ce manque d’éléments comme une unité R2 passant par là ou encore des droïdes souris. Bien évidement, si vous tirez dessus, le machin pète comme les mynocks à l’entrée du vaisseau L’ambiance est aussi bien aidée par Scorch, qui envoie souvent des vannes plutôt sympas, ma préférée est quand vous shootez un de vos hommes, parmi ses répliques, il y a celle-là : « A mon avis, 38 est le clone du clone d’un clone. »
Ce jeu a aussi ses missions de type bourrin, où la réflexion n’est pas recommandée : vous avez un tas d’ennemis devant vous, le mieux est de les shooter, de préférence à la tête si vous voulez conserver un minimum de munitions. Mais ne vous faites pas de souci : des munitions, il y en a partout ! À chaque fin de combat quasiment…
Pour ce qui est de vos cibles, elles sont plutôt variées, et la façon de les éliminer efficacement n’est pas la même pour toutes. Les plus rudes seront certainement les Droïdes Araignées Nains, qui n’ont qu’un point faible à viser si vous ne voulez pas voir toutes vos munitions d’armes lourdes y passer… Viennent ensuite les super droïdes de combats qui n’ont rien à voir avec ceux de Battlefront : ceux-là sont vraiment sévères à détruire ! Ensuite vous avez 3 sortes de Trandoshans dont un bien méchant, surtout son arme, (gardez vos grenades flash pour ces types !), des Géonosiens, des droïdes tout simples…
Ce jeu est loin d’être ennuyant, j’y rejoue d’ailleurs régulièrement, et avec toujours autant de plaisir ! Sans dire que c’est le meilleur jeu SW, il est toutefois unique en son genre, ne serait-ce que pour son ambiance, qui, au risque de me répéter, est vraiment sans équivalent ! Mais malgré toutes ses qualités, le soft a du mal à dissimuler ses lacunes parfois imputées au fait que ce soit un fps (répétitions des missions, solo trop court : 6 heures de campagne), mais aussi liées à sa conception : graphismes sans plus (pour l’époque, j’entends), un gameplay pas si novateur alors que la promesse était faite d’un fps stratégique innovant.
Mais encore une fois, l’immersion est totale, et ce point est extrêmement important pour un fps, justement pour ne pas tomber dans l’ennui !
14/20
- Axel -
Autres jeux vidéo présentés par Axel :
Sword Art Online : Hollow Fragment / Tearaway / Gravity Rush / Dragon Age Inquisition / Teenage Mutant Ninja Turtles : Fall of the Foot Clan / Dragon Ball Z : Shin Budokai / Super Mario Land 2 : 6 Golden Coins
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LE VOL DU SPATIONEF 1 (1937)
Il est temps de souffler sur la poussière du Grenier du Ciné SF pour en exhumer une nouvelle curiosité. Aujourd’hui c’est un court-métrage allemand tourné sous le régime nazi qui alimente notre rubrique : LE VOL DU SPATIONEF 1 (Weltraumschiff 1 startet…) ou VOYAGE DANS LE MONDE d’Anton Kutter.
Certains blogs le datent à 1937 tandis que d’autres indiquent qu’à l’origine les studios Bavaria auraient lancé en 1939 le tournage de ZWISCHENFALL IM WELTRAUM (ou « Incident dans l’Espace ») réalisé par R.A. Stemmle, alors que l’UFA nationale aurait démarré celui de WELTRAUMSCHIFF 18 (ou « Vaisseau spatial 18 ») réalisé par Eduard von Borsody. Mais les deux tournages auraient été abandonnés et les rushs auraient servies au montage de ce WELTRAUMSCHIFF 1 STARTET d’une durée de 20 minutes et exposant à la manière d’un documentaire réaliste un voyage spatial en direction de la Lune ainsi que le retour sur Terre. Un court documentaire de propagande (Kulturfilme) qui est aussi un mockumentaire (faux documentaire) avant l’heure et qui aurait été diffusé en France en 1943 sous l’Occupation, sous le titre, VOYAGE DANS LE MONDE. Le réalisateur Anton Kutter a d’ailleurs tourné d’autres de ces Kulturfilme privilégiant la suprématie aryenne comme par exemple GERMANEN GEGEN PHARAONEN, autrement dit « Les Allemands contre les Pharaons ».
Ce film de propagande nazie a aussi une bien curieuse histoire puisqu’il se trouve que bien longtemps après la Seconde Guerre mondiale, Fred Ladd, animateur, réalisateur et producteur au sein de la compagnie new-yorkaise Radio & Television Packagers, fit remonter en plusieurs segments WELTRAUMSCHIFF 1 STARTET. L’ensemble fut diffusé sur la télévision américaine en 1957 dans THE SPACE EXPLORERS, une émission astronomique pédagogique destinée à un très jeune public.
Malgré le poids du passé, LE VOL DU SPATIONEF 1 est plutôt amusant puisque après avoir annexé la Lune, les nazis annoncent à la fin du film pouvoir être techniquement aptes à annexer la planète Mars à l’Allemagne. Une curiosité de SF old-school dont vous pouvez consulter la version d’origine en langue allemande sur YouTube.
- Trapard -
Autres films présentés dans la catégorie Le Grenier du Ciné SF :
Flash Gordon, de la BD aux serials / Croisières Sidérales / Aelita / Man Made Monster / Metropolis / Things to come / Docteur Cyclope / L’Ennemi sans Visage /Sur un Air de Charleston / La Femme sur la Lune / Le Tunnel / La Fin du Monde /I.F.1 ne répond plus / Buck Rogers au XXVe Siècle : Une Bataille Interplanétaire avec les Hommes-Tigres de Mars / Le Mort qui marche / Before I hang / The Ape / Le Capitaine Marvel / Le Voyage dans la Lune / A Trip to Mars /Le Voyage sur Jupiter / The Airship Destroyer / 20 000 Lieues sous les Mers (1916) / Paris qui dort / Sauce Piquante / The Beast of Borneo / Torture Ship /Emergency Landing / Le Voleur de Cadavres / Cerveaux de Rechange /Spécial Boris Karloff / Dr Renault’s Secret / Le Voyage Cosmique / Spy Smasher / The Mad Doctor of Market Street / Captive Wild Woman / L’Homme-Singe / Un Mariage Interplanétaire / L’Amour en l’An 2000
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Le blog Flynn SFFF vous présente une parution littéraire de la SF, du Fantastique ou de la Fantasy en roman ou BD. Flynn, éternel dévoreur d’ouvrages, vous décortique son bouquin du jour…
Voilà un livre plutôt particulier que j’ai reçu il y a un moment déjà et dont je souhaitais parler. Le Cabinet du Docteur Black. Juste à la couverture, on comprend que ce qu’il y a dedans n’a rien de normal, ou ne ressemble en rien à ce que l’on connait. Écrit par E.B. Hudspeth, cet ouvrage est la biographie du Docteur Spencer Black accompagnée par son livre d’anatomie, le Codex Extinct Animalia qui illustre ses recherches.
On y découvre ainsi dans une première partie l’extraordinaire vie du Docteur Black qu’il a passé à étudier les bizarreries chez les animaux et chez les hommes, croisant cela avec les créatures mythologiques. Une vie particulière, bizarre, pour lui, pour les autres, c’est très intéressant à lire bien qu’un peu… terrifiant ? Cela dit, ça reste passionnant de suivre les recherches de l’homme.
J’ai aussi beaucoup apprécié la seconde partie avec le Codex Extinct Animalia qui permet de découvrir tout ce qu’il a dessiné pour ses recherches. Nous avons donc un bon paquet de planches anatomiques représentant des créatures mythologiques, détaillant leur anatomie, leur squelette, etc. C’est tout aussi passionnant que la première partie, et tout aussi bizarre, aussi.
Un livre remplit de curiosités et réellement réussi. E.B. Hudspeth parvient à faire entrer son livre dans une réalité de manière originale ! N’hésitez pas à vous pencher dessus, ça vaut vraiment le coup !
- Flynn -
(Le Cabinet du Docteur Black est publié aux éditions Le Pré aux Clercs)
Autres livres présentés par Flynn :
Dangereuses visions : le Necronomicon en BD / Agharta : le Temps des Selkies / Le Dernier Roi des Elfes / Le Niwaâd / Moi, Cthulhu / Docteur Sleep / Saigneur de Guerre / Le Démon aux Mille Visages / Le Gardien de la Source / Universal War Two (T1) : Le Temps du Désert / Blake et Mortimer : L’Onde Septimus / Culture Geek / Attention aux Morts / Out There – volume 1 /L’Encyclopédie du Hobbit / Quantex (T1) : Le Songe des Immortels / Quantex (T2) : La Révolte des Ombres / Chroniques des Ombres / Le très grand Nettoyage / Les Pantins Cosmiques / Cornes / Le Miroir des Templiers (T1) : New Paris / Nosfera2 / Soutenez le financement de l’ouvrage « Gore – Dissection d’une Collection » / Taupe / Le Monde de Fernando / Moi, Lucifer / LŒuf de Dragon /Ghouls of Nineveh / Ténèbres 2014 / Le Piège de Lovecraft / Cagaster – tome 1 / Le Cycle d’Ardalia : Le souffle d’Aoles / Agent des Ordres / Le Dieu était dans la Lune / Arthaé / Le Code du Chasseur de Primes / L’Aigle de Sang / Les Montagnes Hallucinogènes / La Dernière Terre (T1) : L’Enfant Merehdian /Destination Mars / Chroniques de Karn (T1) : Nereliath / Naturalis /Les Parias d’Engelar / Chroniques de Karn (T2) : Seuls les Dieux /La Saga de Xavi El Valent (T1) : Le Glaive de Justice / Le Roi en Jaune /Le Livre de la Création / Femmes Obscures
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TARGET EARTH
Année : 1954
Réalisateur : Sherman A. Rose
Scénario : James H. Nicholson, Wyott Ordung & William Raynor
Production : Herman Cohen (Allied Artists Pictures Corporation)
Musique : Paul Dunlap
Pays : États-Unis
Durée : 75 min
Interprètes : Kathleen Crowley, Richard Denning, Richard Reeves, Virginia Grey, Robert Roark…
TARGET EARTH est une petite série B indépendante produite par Herman Cohen et réalisée par Sherman A. Rose. Les scénaristes Wyott Ordung, William Raynor et James H. Nicholson (futur producteur de l’American International Pictures) ont adapté la nouvelle de science-fiction « Deadly City » de Paul W. Fairman qui fut publiée en mars 1953 dans le magazine IF.
L’intrigue : Une grande ville a été entièrement évacuée. Une force extra-terrestre composée de robots l’a envahie et a réduit l’humanité à néant ! Frank et une poignée d’autres personnes se réveillent dans une ville déserte. Non seulement ils vont devoir échapper aux patrouilles de robots, mais ils vont également devoir faire face à un psychopathe qui s’est joint à eux. Pendant ce temps-là, les scientifiques sont entrés dans une folle course contre la montre pour tenter de sauver la Terre de l’annihilation…
Un scénario extraordinaire qui annonce forcément plus de promesses que le petit budget qui fut alloué pour le tournage de TARGET EARTH puisse exaucer. Et évidemment dans ce sens, l’armada de robots extraterrestres du film ne se compose que d’un unique spécimen dont l’ombre inquiétante plane sur tout le film. C’est l’acteur Steve Calvert qui incarne le robot de l’espace bien qu’il soit plutôt un habitué des rôles simiesques dans le cinéma fantastique puisqu’il est le gorille de BRIDE OF THE GORILLA (1951) et de BELA LUGOSI MEETS A BROOKLYN GORILLA.
Néanmoins tout le film dégage une excellente ambiance post-apocalyptique, les comédiens Richard Denning, Kathleen Crowley, Virginia Grey et Richard Reeves évoluant dans un Chicago déserté et totalement déshumanisé. Et rien que pour ça, TARGET EARTH vaut le coup d’œil. Et puis franchement… ce robot… rien que pour lui, il faut voir le film. Ce même robot qui a eu le privilège d’inaugurer la catégorie des Robots-craignos de ce blog il y a déjà quelques années.
- Trapard -
TARGET EARTH en entier et en V.O. :
http://www.dailymotion.com/video/xmsl8p
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Tiens, encore un long week-end ! Et mince ! Cette fois certains p’tits journaleux calédoniens d’un quotidien et d’un hebdomadaire d’actualités ne pourront pas taper sur les méchants fonctionnaires et nous sortir leurs sempiternels clichés. Ben oui, quoi, y a pas de pont qui pourrait profiter à ces horribles nantis ! Zut alors ! De quoi nos p’tits journaleux vont-ils bien pouvoir parler vu qu’ils n’ont jamais rien d’intéressant à nous raconter dans leurs feuilles de chou. Pas un fonctionnaire sur qui taper… Je les plains, les pauvres… La grosse panne d’inspiration pour eux, j’imagine. Bon ben tiens, je leur propose un joli Mothra en papertoy disponible ici, au moins ça va les occuper un peu ! Ah oui, c’est vrai, les kaiju, ils connaissent pas mis à part leur rubrique des faits divers, celle des sports et les p’tites annonces, ça va pas plus loin… Comment ça je caricature ? Mais y’en a d’autres qui le font bien, hein ! Et ils risquent pas de faire des recherches pour en savoir plus, c’est pas leur truc, trop crevant tout ça. Pas grave, ça servira à d’autres. Mince ! J’y pense ! Ça servira peut-être à ces affreux fonctionnaires grassement payés et gavés de vacances ! Mer… ! Si j’avais su j’aurais rien publié…
- Morbius -
« Bonchour chest le plombier ! » Déjà 30 ans d’activité pour le plus célèbre d’entre eux, et il n’a pas l’air pressé de prendre sa retraite! Sorti en 1992 sur Gameboy, ce jeu n’a aucun rapport avec Super Mario Land.
Dans l’ordre, la première nouveauté qui apparaît à l’écran est la sauvegarde ! Et ça, ça vous change bien des choses ! La seconde c’est la map qui permet de choisir un monde où se trouvent trois niveaux en moyenne, plus un niveau caché. Enfin la 3e, la refonte graphique totale ! Que le jeu est beau ! Mario a enfin une tête rondouillarde, les méchants ont tous une bonne bouille avec leurs grands yeux. En gros ce jeu a posé les bases des Mario actuels, ou du moins jusqu’à Super Mario Bros sur Wii. La simplicité des graphismes des Mario étant souvent simple, ce jeu a très bien vieilli visuellement !
Niveau histoire, il y a six mondes à explorer qui se terminent par un boss. Il faut le buter et récupérer une pièce en or (on n’avait pas les couleurs mais le titre du jeu est assez évocateur) qui trouvera son emplacement sur une grosse porte. La sauvegarde est automatique. Une fois les 6 pièces récupérées, la porte s’ouvre et vous atteignez donc le château final, appartenant à un ennemi qui change du traditionnel Bowser !
La popularité de Mario n’est pas due au hasard, il y a sa bouille sympathique, mais aussi son gameplay. Toujours aussi simple, ne réclamant que deux touches et une croix directionnelle, Mario est vif, rapide, saute en fonction du temps d’appui sur la touche, tout y est ! Gare à sa glisse en fin de course qui peut vous mettre out rapidement ! La nouveauté est l’apparition d’une transformation avec la carotte qui vient s’ajouter à la fleur. Si cette dernière vous permet de lancer des boules de feu, la carotte vous donne des oreilles de lapin, et permet d’effectuer de longs sauts, pratique pour aller chercher la cloche de fin de niveau.
D’un point de vue personnel, s’il fallait conserver un Mario sur Gameboy, ce serait celui-ci ! Difficile de noter un jeu où tant de souvenirs d’enfance ressurgissent alors que je n’ai jamais eu ce jeu, seulement mes cousins, je devais donc y jouer une fois par an, c’est ça qui est bon dans le retrogaming ! Ce jeu serait sûrement dans mon top 3 des jeux Gameboy !
- Axel -
LE FILS DE DRACULA (1943)
C’est le retour des Monstres la Universal Pictures dans le Grenier du Ciné Fantastique avec ce petit bijou signé Robert Siodmak et avec Lon Chaney Jr dans le rôle titre. Un film que je trouve personnellement particulièrement gothique et réussi. Le scénario adapté d’une histoire de Curt Siodmak reprend d’ailleurs toute l’articulation du premier DRACULA de 1931 et du roman de Bram Stoker en la modifiant légèrement tout en la transposant dans « l’univers fantomatique » du Bayou de la Louisiane cher aux séries B d’épouvante.
L’intrigue (de Wikipedia) : Le comte hongrois Alucard, un mystérieux étranger, arrive aux États-Unis à l’invitation de Katherine Caldwell, l’une des filles du planteur de La Nouvelle-Orléans, le colonel Caldwell. Peu après son arrivée, le colonel décède et lègue à Claire une somme d’argent et à Katherine sa plantation Dark Oaks. Katherine, une femme fascinée par la morbidité, fréquente en secret Alucard et l’épouse plus tard, négligeant son ami de cœur de longue date, Frank Stanley. Ce dernier confronte le couple et tente de tuer d’une balle Alucard : la balle le traverse et tue Katherine…
Les points forts du film sont mis dans son ambiance, mais surtout dans les apparitions et les disparitions d’un Lon Chaney Jr toujours inquiétant, se transformant à loisir en chauve-souris dans une stop-motion proche du dessin animé N&B d’époque et se déplaçant à même les rails d’un travelling accentuant ainsi l’irréalité de ses mouvements.
SON OF DRACULA est un grand classique de la Universal en noir et blanc qui se trouve être en ce moment consultable via YouTube.
- Trapard -
Autres films présentés dans la catégorie Le Grenier du Ciné Fantastique :
La Charrette Fantôme / La Chute de la Maison Usher / Les Contes de la Lune vague après la Pluie / Frankenstein (1910) / Le Cabinet du Docteur Caligari / La Monstrueuse Parade / Le Fantôme de l’Opéra / Double Assassinat dans la Rue Morgue / Docteur X / White Zombie / The Devil Bat / La Féline (1942) / Les Visiteurs du Soir / La Main du Diable / Le Récupérateur de Cadavres / La Beauté du Diable / Un Hurlement dans la Nuit / The Mad Monster / La Tour de Nesle /L’Étudiant de Prague / Les Aventures Fantastiques du Baron de Münchhausen /Torticola contre Frankensberg / Ulysse / Man with Two Lives / The Mad Ghoul / La Tentation de Barbizon / The Flying Serpent / Peter Ibbetson / Le Fantôme Vivant /La Marque du Vampire / Les Poupées du Diable / Le Gorille / Le Voleur de Bagdad / The Savage Girl / Murders in the Zoo / The Vampire Bat /Figures de Cire / L’Oiseau Bleu / L’Aïeule / Genuine / La Charrette Fantôme (1921) / Häxan, la Sorcellerie à travers les Âges / Les Nibelungen / Le Monde Perdu (1925) / Wolfblood / Faust, une Légende Allemande / La Lumière Bleue /Les Chasses du Comte Zaroff / Vampyr ou l’Étrange Aventure de David Gray / Le Fils de Kong / La Révolte des Zombies / L’Homme qui faisait des Miracles / Pinocchio & La Clé d’Or / Le Cœur Révélateur / Le Fantôme Invisible /The Monster Walks / Le Mystère du Château Maudit / Ma Femme est une Sorcière / Night Monster / The Undying Monster / Dead Men Walk / Le Soleil Volé / Le Vaisseau Fantôme / La Tour des Sept Bossus / The Return of the Vampire / Carcasse l’Immortel / The Vampire’s Ghost & The Catman of Paris / La Fleur de Pierre / Valley of the Zombies / Le Conte de Cendrillon / Le Petit Cheval Bossu /Macbeth / Le Tour du Monde de Sadko
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MAD MAX est de retour après trente ans d’absence. Avec lui, le réalisateur George Miller revient aux commandes d’un univers qu’il maîtrise sur le bout des doigts, puisque c’est le sien. Laissant derrière lui deux films d’animation plutôt sympas (HAPPY FEET 1 et 2), Miller a vu le nouveau projet MAD MAX se construire sur plusieurs années. Doté d’un budget bien plus conséquent que celui du premier opus et d’un casting de qualité, FURY ROAD s’annonçait dès sa première bande-annonce comme un film explosif, toujours pourvu d’une esthétique qui est propre à l’univers créé par son réalisateur. Respecter cet univers en adoptant les techniques visuelles actuelles était un défi que Miller a su relever avec brio.
Dans un monde post apocalyptique peuplé de gangs qui luttent pour leur survie, Max Rokatansky dit Mad Max (Tom Hardy) est un ex-flic de la route parcourant une terre désolée avec pour seules compagnes des visions de son passé qui le tourmentent. Capturé au terme d’une première course-poursuite, il sera ramené à la citadelle du chef de guerre Imortal Joe et utilisé comme « donneur universel » afin d’alimenter en sang les War-Boys, des soldats endoctrinés, ou véritables kamikazes, dont le seul but est d’atteindre le Vahlalla en mourant pour la cause de leur chef vénéré. L’Impérator Furiosa (Charlize Theron) est un élément de confiance qui est chargé par Imortal Joe d’aller chercher du carburant à Petroville au volant du War Rig, un camion citerne de guerre. Accompagnée par un convoi de War-Boys, elle finit par trahir la cause de Joe pour fuir vers « les terres vertes », en sauvant au passage cinq des épouses pondeuses du tyran. Ce dernier lance toute son armée aux trousses de Furiosa, une course-poursuite effrénée débute alors, dans laquelle seront emportés Max et Nux, un War-Boy parmi tant d’autres.
Le moins que l’on puisse dire c’est que le scénario est très basique. Ne cherchez aucune complication, il n’y en a pas. Le film est centré autour d’une course-poursuite sur une route semée d’embûches, entre tempêtes et steampunks motorisés, le titre prend donc ici tout son sens. Bien que je ne sois pas fan des films où le visuel prévaut sur le reste, impossible de ne pas goûter au plaisir d’un tel spectacle. Ce MAD MAX est une claque de par son esthétique et sa mise en scène fracassante. La photo est impeccable, la bande son magistrale, le tout est magnifiquement orchestré par un George Miller au sommet de son art, qui sublime la violence en l’esthétisant beaucoup plus que dans les précédents opus où elle était plus suggérée, tout en restant éloigné de toute complaisance très présente dans les productions modernes (chez Marvel notamment). Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est un chef-d’œuvre, mais quelques scènes sont mémorables, celle de la tempête par exemple est vraiment impressionnante.
Autre bon point qui réfère aux anciens épisodes, le héros n’en est pas un. Dans ce quatrième film Max est même un spectateur impuissant durant toute la première partie, du reste les autres personnages ont au moins autant d’importance que lui si ce n’est plus, mention spéciale pour Nux (Nicholas Hoult), le War-Boy qui accompagnera notre groupe de fuyards, un personnage aussi attachant que barré. D’ailleurs, un mot sur la performance des acteurs : les trois principaux s’en sortent très bien, donnant de la crédibilité à des rôles pourtant assez limités au niveau des répliques. Tom Hardy hérite du rôle titre et succède à Mel Gibson avec talent, on retrouve même quelques tics du second singés de manière assez saisissante par le premier. Nicholas Hoult incarne son second rôle brillamment, quant à Charlize Theron elle est toujours aussi charmante même avec le crâne rasé et un bras en moins, son jeu est également plus convaincant que dans PROMETHEUS, à croire que le rôle de Furiosa a été écrit sur mesure pour elle.
En conclusion, on sort de ce film avec la joue marquée par une baffe graphique et bouche bée par la réalisation de Miller. Assurément pas le film le plus cérébral de l’année, mais le plus beau et le plus fou. MAD MAX FURY ROAD tient toutes ses promesses ! Il est fidèle à l’univers original, il est explosif et propose une galerie de personnages totalement déjantés ! On en redemande !
- Di Vinz -
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LES CRÉATURES DE KOLOS (The Human Duplicators)
Année : 1965
Réalisateur : Hugo Grimaldi
Scénario : Arthur C. Pierce
Production : Sandy Frank (Woolner Brothers Pictures Inc.)
Musique : Mischa Bakaleinikoff
Pays : États-Unis
Durée : 80 min
Interprètes : Richard Kiel, Hugh Beaumont, George Nader, Dolores Faith…
LES CRÉATURES DE KOLOS ou THE HUMAN DUPLICATORS est un film indépendant américain de la petite firme Woolner Brothers Pictures. Ce n’est pas un grand film de SF mais il est somme toute assez agréable à suivre en reprenant un des thèmes chers des 60′s : le clonage. Voir THE CREATION OF HUMANOÏDS de 1962, ATTACK OF THE ROBOTS de 1966 ainsi que l’un des épisodes de CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR dans lequel John Steed et Emma Peel affrontent une horde de clones. Sans oublier, bien entendu, les très sexy Bikini Machines du Dr Goldfoot ou encore les sanguinaires Astro-Zombies du Dr. DeMarco ! Nous sommes évidement déjà très loin de FOUR SIDED TRIANGLE (1953) de Terence Fisher avec son clonage unique, car avec LES CRÉATURES DE KOLOS c’est l’invasion de la planète Terre qui débute…
L’intrigue : Les maîtres d’une autre galaxie donnent mission à l’agent cosmique Kolos, un androïde, d’établir une nouvelle colonie sur Terre. Afin d’infiltrer la société humaine, Kolos se rend chez le professeur Dornheimer, qui effectue des recherches en cybernétique, et prend le contrôle de son laboratoire. Il crée alors des répliques de grands savants qu’il envoie subtiliser du matériel scientifique. L’enquête sur les vols et la disparition des scientifiques que mène l’agent de la NIA Glenn Martin, le conduit rapidement à la demeure du professeur Dornheimer. Il y rencontre Lisa, la nièce du professeur, jeune fille aveugle, qui le met au courant des étranges activités de son oncle et de Kolos…
Voir ou revoir LES CRÉATURES DE KOLOS c’est aussi l’occasion de retrouver feu-Richard Kiel dont ce petit film de SF de 1965 le sortait un peu de son cantonnement dans des rôles insipides de géants musclés, voire même d’homme préhistorique dans le très mauvais EEGAH ! (1962). Et ce, juste avant d’être le géant Voltaire, serviteur du Dr Miguelito Loveless, un nain maléfique et ennemi juré de James West et d’Artemus Gordon qu’il côtoie dans plusieurs épisodes des MYSTÈRES DE L’OUEST entre 1965 et 1968.
Ici il est Kolos, géant extraterrestre à la voix caverneuse de Sylvester Stallone en VF et se déplaçant à l’aide d’un télé-transporteur sidéral aux effets visuels déjà proches de ceux de la célèbre téléportation de STAR TREK de 1966. Donc attention au Kolos !
- Trapard -
LES CRÉATURES DE KOLOS en entier et en V.O. :
http://www.dailymotion.com/video/xmtbyz
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