Non, ce ne sont ni les BIO-MAN ni les POWER RANGERS, mais ce sont aussi des Justiciers aux grands cœurs. Ils ne sont pas japonais mais mexicains et ils étaient déjà présents sur les écrans dans les années 50 et 60. Sur la photo, c’est une partie de l’équipe de LOS CAMPEONES JUSTICIEROS, des catcheurs mexicains pratiquant la « lucha libre » nationale mexicaine. Croisements entre les héros du cinéma de catch nord-américain et les super-héros costumés des DC Comics, ces fameux « luchadores » sont très nombreux à avoir eu leurs moments de gloire cinématographique au Mexique mais aussi au-delà de ses frontières. Je profite qu’un certain nombre de films de lucha libre soient consultables en entiers (mais en v.o.) sur YouTube pour vous présenter quelques-uns de ces justiciers masqués.
LA SOMBRA VENGADORA, SANTO, NEUTRON, ÁNGEL ET SATAN et LAS LUCHADORAS
LA SOMBRA VENGADORA
autrement dit, L’OMBRE VENGERESSE.
Mais il est aussi connu comme étant THE AVENGING SHADOW,
Mais vous pouvez l’appeler LA SOMBRA.
Il est le « Luchador » du cinéma le plus agile et le plus souple.
Sûrement l’un des plus anciens héros des films de lucha libre. Il affronte le Mal caché derrière son masque noir strié d’un éclair blanc et sa longue cape noire, et il est souvent le héros de westerns mexicains où il est, tel Zorro, un autre vengeur masqué, le complice des péones et des opprimés. Il est considéré comme l’un des premiers héros arborant ce look gothique latino-américain dont il est en quelque sorte la franchise dès les années 1950 avec 6 films. D’abord catcheur et cascadeur pour le cinéma, ses quatre premières apparitions en tête d’affiche sont dans LA SOMBRA VENGADORA, LA SOMBRA VENGADORA CONTRA LA MANO NEGRA, EL TESORO DE PANCHO VILLA, et EL SECRETO DE PANCHO VILLA, tournés dans cet ordre, et tous les quatre en 1954, et réalisés par Rafael Baledon. Puis, il apparaît dans les westerns EL CORREO DEL NORTE et LA MASCARA DE LA MUERTE réalisés en 1960 par Zacharias Gomez Urquiza qui a aussi tourné LA VENGANZA DE LA SOMBRA, en 1961. Enfin LA SOMBRA VENGADORA a joué dans LOS CAMPEONES JUSTICIEROS, en 1970, avec toute une équipe de Luchadores Vengeurs.
Un exemple de sujet avec LA SOMBRA VENGADORA : EL TESORO DE PANCHO VILLA : Pendant la Révolution, Pancho Villa a caché un trésor avec l’intention de l’utiliser pour le bien du peuple. Il a écrit l’emplacement du trésor sur 5 pièces. Après la mort de Villa, une bande de coupes-gorge tente de voler le trésor mais elle devra affronter La Sombra qui se met sur son chemin…
LA SOMBRA VENGADORA CONTRA LA MANO NEGRA (1954) de Rafael Baledón.
C’est un film noir de gangsters, dont l’intrigue est contemporaine des années 50. La Sombra y affronte un grand Méchant, là où la police est inefficace LA MANO NEGRA. On y retrouve quelques ingrédients du cinéma de SF comme le bossu, le savant fou et ses mystérieux pouvoirs et inventions.
EL SANTO, EL ENMASCARADO DE PLATA
autrement dit, LE SAINT AU MASQUE D’ARGENT,
ou plus simplement SANTO.
Rodolfo Guzmán Huerta (1917-1984)
EL SANTO de son vrai nom Rodolfo Guzmán Huerta était un catcheur mexicain de « lucha libre ». Lorsque le cinéma s’est intéressé aux catcheurs – comme c’était aussi le cas en France comme avec Lino Ventura, Robert Duranton, Maurice Tillet, L’Ange Blanc, Le Bourreau de Béthune, Chéri Bibi ou André le Géant – Santo est devenu acteur d’une très longue série de films très populaires de 1958 à 1982, souvent de Fantastique ou de SF et dont il est le héros et justicier masqué. SANTO est sûrement le catcheur le plus mondialement connu et la star de la lucha libre au cinéma au Mexique.
La plupart des films dans lesquels SANTO est la vedette sont des films de Fantastique, de Science-Fiction ou d’Horreur. Je n’établirai pas la liste complète de sa filmographie, mais j’indiquerai plutôt quelques-unes de ses aventures qui sont consultables sur YouTube.
- SANTO CONTRA LOS ZOMBIES (1962) de Benito Alazraki.
Trois inspecteurs de police recherchent un scientifique disparu récemment revenu d’un voyage à Haïti. L’un des inspecteurs demande alors l’aide du catcheur Santo qui va devoir affronter des morts-vivants extraordinairement forts…
- SANTO CONTRA EL CEREBRO DIABÓLICO (1963) de Federico Curiel.
Le Cerveau Diabolique est un savant fou qui mène des expériences sur des humains après les avoir assassiné. Cependant, avant de s’attaquer à ce fou dangereux, Santo va devoir se venger d’un mystérieux personnage surnommé La Sombra Negra, responsable de la mort de sa sœur…
- SANTO CONTRA EL HACHA DIABÓLICA (1964) de José Díaz Morales. Le film est ICI.
El Santo est pris dans une bataille mortelle avec un maniaque armé d’une hache issu du passé, nommé Le Capuchon Noir. El Santo, porté décédé et projeté à l’époque de l’Inquisition est inhumé par un groupe de moines. Le Capuchon Noir vend alors son âme à Satan pour atteindre l’immortalité et pouvoir ainsi se venger de Santo et pour assassiner celle qu’il aime en secret : Alicia, la fiancée de Santo. Lorsque El Santo revient de l’au-delà pour continuer sa croisade contre l’injustice et qu’il constate le meurtre d’Alicia, c’est un combat redoutable qui commence…
- SANTO EL ENMASCARADO DE PLATA VS LA INVASION DE LOS MARCIANOS (1967) d’Alfredo B. Crevenna. Le film est ICI.
SANTO EL ENMASCARADO DE PLATA VS LA INVASION DE LOS MARCIANOS est la 15e aventure de Santo, el Enmascarado de Plata, notre justicier masqué et héros catcheur mexicain de « lucha libre ». C’est également l’un des rares films de Santo qui fût distribué en France, Santo y est rebaptisé pour l’occasion SUPERMAN.
Les Martiens, menés par leur chef Argos, arrivent déterminés à imposer un désarmement nucléaire total sur Terre. Leur première apparition à la télé n’étant pas prise au sérieux, ils décident d’effrayer les habitants de la Terre pour les convaincre. Ils atterrissent au Mexique en désintégrant au passage un bon nombre de spectateurs innocents. Ils enlèvent de force aussi quelques Terriens pour les emmener sur Mars, bien que Santo assisté de son ami, le Prof, tente de les en empêcher…
Bien qu’il s’agisse d’une des aventures de Santo, SUPERMAN CONTRE L’INVASION DES MARTIENS mélange plusieurs influences. La première est plutôt évidente puisqu’elle réside dans une sorte de jeu des 7 différences entre l’affiche mexicaine (ci-dessus) de SANTO EL ENMASCARADO DE PLATA VS LA INVASION DE LOS MARCIANOS (tourné en 1966) et celle (ci-dessous) de ROBINSON CRUSOE SUR MARS sorti aux États-Unis en 1964.
Le spitch martien rappelle évidemment celui de Klaatu dans LE JOUR OÙ LA TERRE S’ARRÊTA (1951, The Day the Earth Stood Still) qui vient d’abord sur Terre pour apporter un message de Paix.
Puis les bikinis dorés des jeunes et jolies Martiennes sont évidemment calqués sur ceux qui ont été portés deux ans avant cette aventure de Santo, par les robots féminins de DR. GOLDFOOT AND THE BIKINI MACHINE (1965) de Norman Taurog et ceci, bien que SUPERMAN CONTRE L’INVASION DES MARTIENS soit tourné en noir et blanc (il s’agit d’ailleurs de l’avant-dernière aventure de Santo a être en N&B).
Pour ce qui est du fier port de tête, nos Martiens abordent la casquette pharaonique qui pourrait s’apparenter aussi aux casquettes de triathlètes avec les protèges-nuques derrière ou plus ou moins à la coiffe de la Légion Étrangère, à la différence que le haut des coiffes des Martiens est totalement plat et lisse.
Ils portent aussi, mâles comme femelles, la cape dorée à col large.
La soucoupe volante du film, bien que très stylisée 50′s sur l’affiche ci-dessous, n’en ressemble pas moins à l’image à une sorte de récipient en inox fermé par un petit couvercle et qui semble se tenir maladroitement en suspend dans un espace réalisé à l’aide d’un vague matte painting.
Autre point commun avec LE JOUR OÙ LA TERRE S’ARRÊTA (1951) : à l’arrivée des Martiens sur un stade de sport, c’est la panique. Et l’extraterrestre ci-dessous, c’est Argos et malgré son air djeunz qui se laisse tomber la bouclette sur les épaules, genre hardos, il possède aussi, si vous observez bien le haut de sa casquette carrée : un troisième oeil. Celui-ci émet un rayon invisible qui dématérialise tout individu qui passe à sa portée. Virile, le mec !
Et Santo étant un catcheur, il y a évidemment de la baston dans le film !
De plus, il se trouve que les Martiens, eux aussi pratiquent les rudiments de la « lucha libre », ce qui tombe plutôt bien, vous ne trouvez pas ? Et ils sont d’ailleurs plutôt doués dans ce catch à la sauce mexicaine ! Enfin, s’ils avaient plutôt pratiqué le ping-pong, ça aurait nettement moins bien fonctionné, je crois…
Et Santo étant un Gentil et les Martiens étant les Méchants, ces derniers n’hésitent pas une seule seconde à truquer les combats de catch en s’aidant de leurs super-pouvoirs, et ça : c’est pas du jeu !
- SANTO CONTRA CAPULINA (1968) de René Cardona.
Parodie des aventures de Santo avec le comique Capulina. VIRUTA et CAPULINA est un duo de comiques très célèbres au Mexique qui jouaient les Nigauds dans les années 50 et 60, un peu à la manière d’Abbott et Costello, mais avec un côté Mariachi grimaçant et très drôle en plus.
Ils ont joué ensemble dans un grand nombre de films souvent parodiques inspirés des thèmes du Fantastique et de la SF qui étaient en vogue au Mexique dans les années 50 jusqu’aux années 70. C’est le cas du voyage dans le temps avec LA EDAD DE PIEDRA (1964), la sorcellerie avec SE LOS CHUPO LA BRUJA (1958) ou autres SANTO CONTRA CAPULINA (1968), CAPULINA CONTRA LOS VAMPIROS (1971), CAPULINA CONTRA LAS MOMIAS DE GUANAJUATO (1973) ou CAPULINA CONTRA LOS MONSTRUOS (1974). Dans les années 70, de par son charisme, Capulina a continué seul à un être la star d’un certain nombre de comédies sans son compagnon Viruta.
- SANTO CONTRA LOS CAZADORES DE CABEZAS (1969) de René Cardona. Le film est ICI.
Le Dr Mathus, un savant fou, utilise du sang humain pour ressusciter les morts. El Santo devra arrêter le médecin qui a décidé d’utiliser son armée de zombies pour se lancer à la conquête du monde…
-SANTO EN LA VENGANZA DE LAS MUJERES VAMPIRO (1970) de Federico Curiel.
La Reine des Vampires, Mayra est réveillée par le Dr Brancov des siècles après avoir été empalée dans son cercueil. El Santo est un des descendants de l’exterminateur de vampires et il traque le savant fou ainsi que Mayra dont l’armée qu’elle a vampirisé est grandissante de jour en jour…
- SANTO CONTRA LA MAGIA NEGRA (1972) d’Alfredo B. Crevenna. Connu en France sous le titre de MAGIE NOIRE À HAÏTI.
Envoyé à Port-au-Prince par Interpol, Santo est chargé de protéger un savant des puissances maléfiques du vaudou…
Le thème avait déjà été abordé dans un classique du cinéma d’horreur mexicain : MISTERIOS DE LA MAGIA NEGRA (1958) de Miguel M. Delgado, que vous pouvez consulter ICI.
NEUTRON, EL ENMASCARADO NEGRO
autrement dit, NEUTRON, L’HOMME AU MASQUE NOIR,
Wolf Ruvinskis (1921-1999)
Né Wolf Ruvinskis Manevics en Lettonie en 1921, ses parents d’origine juive ont émigré en Argentine pendant la Seconde Guerre mondiale par peur d’une invasion nazie de la Lettonie. La famille Ruvinskis vivait dans la pauvreté en Argentine, en forçant le très jeune Wolf à pratiquer la lutte professionnelle comme moyen de subsistance à fournir pour sa famille. Il s’est très vite professionnalisé dans le rôle du méchant catcheur ce qui lui a valu de pratiquer des tournois un peu partout en Amérique du Sud et notamment au Mexique et aux États-Unis. Arrivé au Mexique, une courte visite du pays était prévue, mais Wolf Ruvinskis est tombé amoureux de ce pays et il s’y est installé peu de temps après et y a fondé une famille avec une Mexicaine. Ses tournois attiraient les foules sous son nom de scène EL LOBO LETONIA (Le Loupe Letton) mais sa carrière prometteuse a été écourtée vers 1950, suite à une accumulation de blessures graves.
Wolf Ruvinskis
Après sa retraite forcée, Ruvinskis est devenu comédien dans plusieurs films d’horreur, des péplums ou des westerns avant de se convertir au genre de la « lucha libre » en devenant NEUTRON, EL ENMASCARADO NEGRO dans 5 films cultes où il affronte le Dr Corante, masqué de blanc, un criminel et savant fou tentant de dominer le monde à l’aide de son armée de zombies.
- NEUTRON, EL ENMASCARADO NEGRO (1960)
- NEUTRON VS.THE AMAZING DR. CORANTE (1960)
- NEUTRON VS.THE MANIAC (1964)
- NEUTRON VS.THE KARATÉ KILLERS (1965)
- NEUTRON THE ATOMIC SUPERMAN VS.THE DEATH ROBOTS (1962) de Federico Curiel.
Secondes aventures de NEUTRON le justicier masqué de noir où il affronte de nouveau, le Dr Corante, masqué de blanc qui a miraculeusement survécu à une bombe à neutrons.
Corante a volé les corps de scientifiques tués par la bombe et a fusionné leurs esprits ensemble dans un récipient géant d’où il pompe la substance pour obtenir des informations de la part des cerveaux de ces génies. Toutefois, les cerveaux ont besoin de sang, alors Corante envoie son armée de zombies afin de capturer des passants peu méfiants. Mais heureusement, veille Neutron el enmascarado negro…
NEUTRON THE ATOMIC SUPERMAN VS.THE DEATH ROBOTS (1962, Los autómatas de la muerte), un cinéma de SF et d’action mexicaine avec des lutteurs masqués comme on n’en voit plus. Du cinéma spectaculaire et simple à la fois et bourré d’effets spéciaux, de grands criminels, de savants fous, de serviteurs nains, et d’impressionnants laboratoires bourrés de passages secrets et de la bagarre avec de vrais coups !
ÁNGEL ET SATAN
Au cinéma, ÁNGEL ET SATAN ce sont les luchadores Manuel Guajardo (1933-1992) et…
…Carlos de Lucio Lagarde (1928-2007),
aka Karloff Lagarde.
Alliés sur le ring comme devant la caméra dans les années 60, nos deux compères ont tourné deux films ensemble :
- LOS ENDEMONIADOS DEL RING (1965) d’Alfredo B. Crevenna ;
- LA MANO QUE APRIETÁ (1966) d’Alfredo B. Crevenna.
Le premier étant une comédie d’action à suspense et le second est plutôt un thriller horrifique.
LAS LUCHADORAS
Elizabeth Campbell et Lorena Velázquez,
aka Gloria Venus et Golden Rubi
Toutes les deux sont catcheuses de métier au Mexique dans les années 60, mais entre diverses activités dans le show-biz, elles ont été réunies pour trois films cultes réalisés par René Cardona et écrits par Alfredo Salazar, tournés à peu près à la même période que les films de Russ Meyer comme FASTER PUSSYCAT KILL ! KILL !, alors si vous aimez voir de jolies femmes botter les fesses de gros costauds, ces trois films avec les LUCHADORAS sont pour vous !
- LAS LUCHADORAS CONTRA EL MÉDICO ASESINO (1963). Le film est ICI.
Un savant fou essaie de transplanter le cerveau d’une jeune femme à une autre. Mais après 4 essais, l’expérience reste un échec. Le savant fou prend la décision de kidnapper la sœur d’une adepte de la lucha libre. Cette dernière va tenter de se venger après que l’opération de sa sœur eut également échoué.
- LAS LUCHADORAS CONTRA LA MOMIA (1964). Le film est ICI.
Alors qu’apparaît la momie Xochilt qui a la faculté de se métamorphoser en serpent ou en chauve-souris, Golden Rubi, doit se joindre à sa sœur Gloria Venus pour combattre le maléfique prince Fugiyata et ses lutteuses orientales…
- LAS LUCHADORAS CONTRA EL ROBOT ASESINO (1969). Le film est ICI.
Golden Rubi et Gloria Venus se retrouvent confrontées à un robot tueur créé par un savant fou. Une lutteuse masquée nommée Electra se mêle au combat.
- Trapard -
- FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE -
Autres sujets de la catégorie Dossier :
Les mondes perdus de Kevin Connor : 1 – Le Sixième Continent, 2 – Centre Terre 7e Continent, 3 – Le Continent Oublié, 4 – Les 7 Cités d’Atlantis / Fascinante planète Mars : 1 – L’invasion vient de Mars, 2 – L’invasion vient de la Terre, 3 – Ménagerie martienne, 4 – Délires martiens / Ralph McQuarrie : créateur d’univers (1), Ralph Mc Quarrie : créateur d’univers (2) / À la gloire de la SF : les pulps / Le cinéma fantastique français existe-t-il ? / Les séries d’Irwin Allen / Les Envahisseurs / Howard ou l’Ange Noir / Le Pays de l’Esprit : essai sur le rêve / Philip José Farmer, ou le seigneur de la ré-création (1) / Philip José Farmer, ou le seigneur de la ré-création (2) / Les dinosaures dans la littérature de science-fiction et de fantastique / Gérard Klein, ou l’homme d’Ailleurs et Demain / L’homme et son double / Jean-Pierre Andrevon, ou l’homme qui déclara la guerre à la guerre (1) / Jean-Pierre Andrevon, ou l’homme qui déclara la guerre à la guerre (2) / Homo Mecanicus (1) / Homo Mecanicus (2) / Jules Verne, ou le scaphandrier de l’Imaginaire (1) / Jules Verne, ou le scaphandrier de l’Imaginaire (2) / Jack Arnold (1) / Jack Arnold (2) / Jack Arnold (3) / Démons et merveilles (1) /Démons et merveilles (2) / Fungi de Yuggoth, ou l’oeuvre poétique / Un tour dans les boîtes de la galaxie / Fin du monde : J-1 / La maison hantée au cinéma / Bernard Quatermass et la famille Delambre / Le Fantastique et les prémices du cinématographe / Excursion galactique : première partie / Excursion galactique : deuxième partie / Radio Horror Shows : première partie / Sur les mers d’Altaïr IV / Radio Horror Shows : seconde partie / La flore extraterrestre au cinéma et à la télévision / Science-Fiction et Fantastique télévisés spécial 14 juillet / Vaisseaux (p1) : Le règne des vaisseaux fusées / Quelques belles créatures des années 2000 – partie 1 / Quelques belles créatures des années 2000 – partie 2 / Quelques véhicules du futur d’autrefois – 1 / Quelques véhicules du futur d’autrefois – 2
Cliquez ici pour rejoindre le groupe des Échos d’Altaïr IV sur Facebook !
Cliquez ici pour visiter les tableaux des Échos d’Altaïr sur Pinterest !
Cliquez ici pour accéder à la page Facebook publique des Échos d’Altaïr !
Laisser un commentaire