Le Whovian’s Who, pour tout savoir sur l’univers étonnant de la série DOCTOR WHO grâce à Carine, infatigable fan experte qui voyage à travers l’espace et le temps pour extraire la moindre information sur les personnages, les créatures, les créateurs et les aliens de la série culte ! Pour tous les fans du Docteur, retrouvez le Whovian’s Who sur les Échos d’Altaïr ! Aujourd’hui :
MALCOLM HULKE
Né le 21 novembre 1924 à Londres, Malcolm Hulke a écrit de nombreux scénarios pour DOCTOR WHO entre 1967 et 1974. Il a co-créé le concept des Seigneurs du Temps avec Terrance Dicks et a créé les Siluriens, leurs cousins aquatiques les Sea Devils ainsi que les Draconiens. Il a également écrit les novélisations de toutes les aventures qu’il avait rédigées en solo ainsi qu’une partie de celles qu’il avait écrites avec d’autres scénaristes. De même, Malcolm Hulke a écrit des scénarios pour beaucoup d’autres séries dont CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR ainsi que d’autres séries d’espionnage.
Malcolm Hulke crée des scénarios où les situations sont rarement simples et aime dévoiler des militaires corrompus (« The Ambassadors of Death » et « Invasion of the Dinosaurs »). Il collaborera à plusieurs reprises avec Terrance Dicks, pour DOCTOR WHO mais aussi pour d’autres séries, ainsi que pour le livre « The Making of Doctor Who ».
En 1974, peu après « Invasion of the Dinosaurs », il se fâche avec la BBC et n’écrira plus de nouveaux scénarios. Il continuera toutefois à rédiger les novélisations jusqu’à sa mort en 1979 dans le Cambridgeshire.
Liste des épisodes qu’il a écrit :
1967 : The Faceless Ones (avec David Ellis)
1969 : The War Games (avec Terrance Dicks)
1970 ; Doctor Who and the Silurians
1970 : The Ambassadors of Death (sur une histoire de David Whitaker, avec Terrance Dicks et Trevor Ray )
1971 : Colony in Space
1972 : The Sea Devils
1973 ; Frontier in Space
1974 : Invasion of the Dinosaurs
Malcolm Hulke a également écrit deux scénarios qui n’ont pas été retenus : « The Hidden Planet » et « Britain 408 AD ».
- Carine - (Les Enfants du Temps)
Autres articles du Whovian’s Who :
Les Voords / Le Studio D de Lime Grove / Les Tritovores / L’Académie des Time Lords / Aridius et les Aridiens / Les Mechanoïds / William Emms / Les Drahvins / Les Rills / Le phénomène de la régénération / Brian Hayles / Ian Stuart Black / Les Monoïdes / Le Minotaure, créature du Complexe Divin / Patrick Troughton / Elwyn Jones / Les Caméléons / Les Cybermats / Mondas / Jack Watling / Abigail Pettigrew / Les Dulciens / Le Maître de la Fiction / Tobias Vaughn / Les Krotons / Anne Travers / Le Maître Cerveau / Jon Pertwee / Les Ambassadeurs
Cliquez ici pour rejoindre Le Groupe d’Altaïr IV sur Facebook !
Cliquez ici pour visiter les tableaux des Échos d’Altaïr sur Pinterest !
Cliquez ici pour visiter la chaîne YouTube des Échos d’Altaïr !
Cliquez ici pour accéder à la page Facebook publique des Échos d’Altaïr !
INDEX DU BLOG / GUIDE ALTAÏRIEN / CARNET GEEK NC
Pour contacter le blog : morbius501@gmail.com
« L’homme occidental reste informe parce qu’il attend. La science, en tant que croyance et non en tant que science, est croyance en une explication future du monde… La formation de l’homme passe par le type exemplaire : saint, chevalier, caballero, gentleman, bolchevik et autres. L’exemplarité appartient au rêve, à la fiction. Et sans jeu de mots, la fiction de la science, c’est la science-fiction. »
DESTINATION FANZINES SF
Si aujourd’hui il en reste très peu, il y eut entre 1970 et 1990 principalement, beaucoup de fanzines francophones traitant de Science-Fiction, que ce soit au niveau du cinéma, de la BD ou de la littérature.
De ces trois genres, le plus largement représenté était certainement la littérature SF, avec énormément de titres dont on peut citer quelques principaux : Ailleurs et Autres, AOC, Brins d’éternité, Carfax, Géante Rouge, Lunatique, Mercury, Le Météore, Présences d’esprit, Vopaliec, etc.
Pour la bande-dessinée on trouvait des titres exclusivement BD comme Le Citron Hallucinogène, Rivages, Altaïr, etc.
Et enfin, il y avait les fanzines qui traitaient de cinéma de Science-Fiction mais en s’attachant aussi à d’autres sujets. C’est à cette catégorie qu’on va s’intéresser ici, quelques fanzines multi-genres qui furent édités bien avant l’arrivée des sites, blogs et autres webzines réunissant donc le ciné, la BD et la littérature et ayant un lien, petit ou grand, avec la SF et le fantastique.
A-Z
A-Z : A-Z était principalement consacré à la littérature, mais on y trouvait aussi quelques sujets cinéma. Entre 1985 et 1988 il y eu 23 numéros ainsi que plusieurs hors-série dont un consacré à Graham Masterton.
Chimères
Chimères : 50 numéros sur plus de 14 ans de 1987-2001, une belle longévité pour Chimères. Au programme : news cinéma, nouvelles, dossiers SF, Fantasy… et même une rubrique CD-Rom !
Crépuscule Galactique
Crépuscule Galactique : mélange de fantastique et d’horreur, Crépuscule Galactique connut 5 numéros de 1978 à 1980, dont un sur les rats dans le fantastique et un autre sur Satan. Tout un programme !
Faille temporelle
Faille temporelle : ce fanzine était lui plutôt spécialisé dans la BD, avec notamment ce n° 3 datant de janvier 1991 dans lequel on trouvait l’interview de Moebius. Chaque numéro proposait également un peu de cinéma.
Futura
Futura : ou Le Monde fou fou fou de la S.F. comme l’indique le sous-titre. Prometteur mais seulement 1 numéro paru en 1990.
Gnomus
Gnomus : en 1984 sont sortis 3 numéros de Gnomus. Au programme : festivals, BD et nouvelles (2) et articles divers. Ce fanzine est pratiquement introuvable, d’ailleurs je n’ai pas d’exemplaire en ma possession mais j’ai quand même pu dénicher quelques infos de ci de là, comme cette image de la couverture du n°0 (de très mauvaise qualité malheureusement).
Nagual
Nagual : principalement des sujets sur le cinéma pour les 9 numéros de Nagual parus entre 1996 et 2003, mais pas que, avec des rubriques qui vont de la littérature aux jeux vidéo en passant par la BD.
Nyarlathotep
Nyarlathotep : de la science-fiction littéraire et du cinéma, des nouvelles et des bandes dessinées. 10 numéros parus en 7 ans. Nyarlathotep a évolué petit à petit vers la revue professionnelle.
Star&Space Magazine
Star&Space Magazine : que faisait Alain Carrazé, grand spécialiste des séries-TV, avant de présenter l’émission DESTINATION SÉRIES sur Canal, d’écrire des livres sur le sujet ou de devenir un chroniqueur régulier de Mad Movies ? Un fanzine pardi, qui date de la fin des années 70. Star&Space Magazine se concentrait donc surtout sur les séries TV mais abordait aussi d’autres thèmes. Il connut au moins 7 numéros.
Tri-solaires
Tri-solaires : ce fanzine des années 70 est intéressant par son sommaire varié : plusieurs nouvelles, une interview de Gérard Klein (directeur de la collection SF du Livre de Poche) et pour la partie cinéma, un dossier Stanley Kubrick. Ce numéro fut le seul édité semble-t-il.
65 ans de SF au cinéma
65 ans de SF au cinéma : avec son format particulier de 20×32 cm (difficile à ranger dans une fanzinothèque!) 65 ans de SF au cinéma est une publication un peu spéciale, un fanzine, ou plutôt un fanbook, consacré au genre. D’origine franco-belge, il était ronéotypé avec plus de 2OO pages dont 40 de photos. 65 ans de SF au cinéma est sorti en 1968 à l’occasion d’une rétrospective de la Cinémathèque de Bruxelles. De À DES MILLIONS DE KILOMÉTRÉS DE LA TERRE (Twenty Million Miles to Earth, 1957, Nathan Juran) à ZA DVE STE LAT KONGEM CERVNA (alias IKARIE XB1, film tchécoslovaque de 1962)…. c’était plus de 200 films de SF qui étaient passés au crible par une dizaine de rédacteurs.
Cosmofiction, Amazine, Fantastic Zone
Cosmofiction, Amazine, Fantastic Zone : on ne pouvait terminer sans citer des fanzines calédoniens, comme Amazine et Fantastic Zone, dont vous trouverez tous les détails sur le blog Cosmofiction à cette adresse, et bien évidemment Cosmofiction, premier fanzine calédonien consacré aux genres de l’Imaginaire, en particulier au cinéma fantastique et de science-fiction, il connut 23 numéros et fut publié pat les membres du Sci-Fi Club entre 1984 et 1991. Tout est également sur le blog.
- Laurent Faiella -
Et pour en savoir plus encore sur les fanzines et le fanzinat, consultez le site LE FANZINOPHILE !
Si dès les cinq premières minutes LES DERNIERS JEDI avaient réduit à néant tous mes espoirs, ce n’est absolument pas le cas de SOLO. Ce western galactique aux accents parfois mad-maxiens, voire même de série B (c’est dire, pour un film STAR WARS !) m’a instantanément plongé dans l’action et fait vibrer ! Grâce à quoi ? Grâce à qui ? Mais grâce à une histoire rondement menée, pleine de surprises et de clins d’œil bienvenus, un casting excellent (saluons également les doublages français très réussis), une musique plutôt bonne et une mise en scène efficace, Ron Howard oblige !
Non, le catastrophique tournage de SOLO à ses débuts ne m’avait pas rassuré du tout…
Non, le premier teaser de SOLO : A STAR WARS STORY ne m’avait pas vraiment convaincu…
Non, Alden Ehrenreich dans le rôle de Han ne me paraissait pas le meilleur choix…
Ce sont finalement les nouvelles bandes-annonces et les quelques extraits vus par-ci par-là qui ont fini par me motiver, et c’est plutôt confiant que je suis allé voir ce nouveau spin-off. J’espérais aussi pouvoir y retrouver tout ce que j’avais perdu à travers STAR WARS VIII : des personnages attachants et non déshumanisés, un vrai humour star warsien et non des répliques à la c… dignes des Chevaliers du Fiel, de l’action efficace et non des scènes d’un ennui mortel. Bingo ! SOLO : A STAR WARS STORY remplit parfaitement son contrat.
Et à l’arrivée, ce que j’ai le plus apprécié, c’est la façon de se démarquer de ce spin-off, un film à part parmi les autres STAR WARS avec un visuel souvent bien différent (les décors de Corellia, les lieux visités sur d’autres planètes…), avec ce petit côté, comme je l’ai dit plus haut, volontairement (?) série B, comme si ce film avait bénéficié d’un budget beaucoup moindre. Peu de décors grandioses, peu de scènes épiques, mais un beau travail autour des personnages qui nous semblent dès lors plus proches de nous, contrairement à ceux de ROGUE ONE qui m’ont paru un peu plus fades, malgré toute mon admiration pour cet autre spin-off, certes, supérieur à SOLO. Alden Ehrenreich est parfaitement convaincant dans la peau de notre célèbre contrebandier, Donald Glover est merveilleux dans son rôle de Lando qui lui va à ravir et chaque apparition d’Emilia Clarke est un réel plaisir. Sans compter Thandie Newton que j’adore particulièrement et bien sûr Woody Harrelson. Ah ! Et j’allais oublier notre Wookie, toujours égal à lui-même ! Enfin un rôle à sa mesure, dans tous les sens du terme d’ailleurs !
L’histoire ? L’histoire est celle d’une BD, ni plus ni moins. Légère, pleine de raccourcis et de facilités, mais on s’en fout royalement ! On est là pour passer un bon moment en compagnie de Han, Chewie et Lando, pour retrouver l’esprit STAR WARS piétiné par Rian Johnson.
Du fan-service ? Oui, il y en a, et beaucoup même. Et c’est très bien ainsi. SOLO s’adresse d’abord aux fans, pour ne pas dire exclusivement aux fans… Il prend des risques. Il les paye déjà au box-office. Trop de références à la saga et son univers étendu. Je comprends que les journalistes du Point, du Monde et de tant d’autres journaux n’aient pas du tout apprécié le film de Ron Howard. Alors qu’ils sachent qu’on les abandonne avec plaisir à leur éternel festival de Cannes, et qu’ils nous laissent enfin tranquilles avec notre saga préférée.
SOLO : A STAR WARS STORY n’a pas à rougir. On vibre, on rit, on sourit, on est parfois aussi un peu ému. On y découvre la jeunesse de l’un de nos personnages fétiches et de son copilote Wookie, ses espoirs, ses réussites, ses échecs. Il fait souvent gris, très gris dans ce spin-off crasseux où l’on ramasse des coups et où l’on rampe dans la boue. Mais le sourire de Han, éternel optimiste, est là pour nous dire que demain sera meilleur, que finalement il ne faut jamais désespérer. Et SOLO : A STAR WARS STORY en est la preuve flagrante…
- Morbius - (morbius501@gmail.com)
Dire que ce film est attendu au tournant est un doux euphémisme. Après avoir essuyé les critiques pendant le tournage, en avoir repris une couche suite à la présentation mondiale, on peut dire que tout était réuni pour faire détester ce film avant même l’avoir vu.
C’est un peu inquiet que j’ai donc franchi les portes du cinéma, d’autant que je ne suis pas vraiment fan du personnage. D’entrée, je dois avouer que j’ai été gêné par la photographie du film. C’est sombre, très sombre, trop sombre, et les lunettes 3D n’arrangent pas les choses. Le scénario est honnête, mais les raccourcis sont nombreux. Quelques personnages sont mal exploités, et auraient mérités d’être plus approfondis (Enfys Nest). D’autres auraient pu être supprimés du film, comme L3 qui est complètement hors sujet.
Au niveau design, le film tient ses promesses. On a de très jolis passages et de belles idées de décors. Les acteurs sont bons, j’ai vraiment vu Han Solo et pas un rigolo qui essaye de faire du Ford. Glover est charmant, et Clarke intéressante dans ce rôle. La musique est superbe, j’ai dressé l’oreille plus d’une fois. Les caméos sont nombreux, je pense même en avoir raté quelques-uns.
Au final, j’ai passé un bon moment. En plaçant l’action au plus près des habitants des planètes, on sort un peu de l’habituelle magie des scènes spatiales, mais ça n’est pas un mal. Le film est loin d’être parfait, scénario perfectible, et surtout image trop sombre, mais j’ai souri, j’ai ri, j’ai été ému parfois. J’y retournerai pour apprécier les arrières plans.
- Skarn -
Autres articles de Skarn :
Autre Monde cycle 2 : Entropia / Final Fantasy XIII-2 : Final Test / Eragon : L’Héritage / Vampire Diaries / Stephen King : 22/11/63 / Hex : La Malédiction / Lost Girl / Defiance : saison 1 / The Secret Circle : saison 1 / Under the Dome : saison 1 / Siberia : saison 1 / Doctor Who (2005) : saison 1 / Doctor Who Classic : saison 1 / The Walking Dead : saison 1 / Doctor Who (2005) : saison 2 / Sleepy Hollow : saison 1 / Doctor Who (2005) : saison 3 / Dracula : saison 1 / Doctor Who Classic : saison 2 / Doctor Who (2005) : saison 4 / Lost Girl : saison 4 / Almost Human : saison 1 / Doctor Who : saison 8 / Arc-boutage chapitre 2 / Ascension : saison 1 / Arc-boutage chapitre 6 / Class : For Tonight We Might Die / The Walking Dead : Signs / Test : Final Fantasy XV
Cliquez ici pour rejoindre Le Groupe d’Altaïr IV sur Facebook !
Cliquez ici pour visiter les tableaux des Échos d’Altaïr sur Pinterest !
Cliquez ici pour visiter la chaîne YouTube des Échos d’Altaïr !
Cliquez ici pour accéder à la page Facebook publique des Échos d’Altaïr !
INDEX DU BLOG / GUIDE ALTAÏRIEN / CARNET GEEK NC
Pour contacter le blog : morbius501@gmail.com
Après un Épisode VIII très décrié mais que j’ai personnellement adoré (et dont vous pouvez retrouver ma critique ici), voici le nouveau spin-off de STAR WARS ! Attendu au tournant du fait de sa production chaotique, on peut dire que SOLO n’est pas le désastre annoncé, cependant je pense qu’il sera lui aussi clivant et créera une division chez les fans à l’instar de THE LAST JEDI car non exempt de défauts, mais à un niveau peut-être moindre du fait de son importance et de sa portée plus faibles. Pour cette petite critique je vais d’abord m’arrêter sur ce qui m’a déplu dans le film avant de développer ses bons points. Attention spoilers !
Alors, pour commencer j’ai un gros problème avec ce spin-off. Si jusqu’ici le dosage avait été parfaitement équilibré dans les trois premiers films produits par Disney, on a cette fois affaire à un film qui joue sur le fan-service dans le mauvais sens du terme. On flatte le fan et on le brosse dans le sens du poil, sans réel intérêt ou la moindre profondeur derrière. Si LES DERNIERS JEDI jouait sur les références de façon subtile, notamment en faisant apparaître Yoda et en émettant un jugement sur le bien-fondé de l’Ordre Jedi, et si ROGUE ONE avait su les distiller de façon équilibrée, comme lorsque Jyn Erso et Cassian croisent Cornelius Evazan sur Jedda, là on a vraiment de la référence ultra simpliste. Par exemple, l’évocation de Bossk, d’Aura Sing ou d’autres personnages et planètes telles que Glee Anselm sont des références beaucoup trop faciles, uniquement là pour faire plaisir aux fans plus que pour relier les différentes œuvres entre elles, mettant de côté le reste du public de façon déplacée.
« On a cette fois affaire à un film qui joue sur le fan-service dans le mauvais sens du terme. »
À l’apogée de ce fan-service superficiel, l’apparition d’un vieux méchant de la prélogie en fin de film est venue m’agacer plus qu’autre chose. D’ailleurs, si vous n’avez pas vu les séries d’animation THE CLONE WARS ou REBELS, cette apparition aura de quoi vous laisser perplexe. Pour ma part, ce fut le facepalm. Ce retour aurait dû être cantonné aux séries, mais avec SOLO il est bien entériné, ce qui ne me plaît pas forcément. Si encore cela avait été fait avec sobriété, mais notre ami va sortir son double-sabre histoire de bien enfoncer le clou alors que, disons-le clairement, ça ne sert absolument à rien de le mettre en scène ainsi, surtout en hologramme. Si, comme on peut le pressentir, il est utilisé dans une potentielle suite à SOLO ou dans un spin-off sur Kenobi, je dis pourquoi pas. Néanmoins le souci de mise en scène et le stéréotype demeurent.
Au rang des défauts on ajoutera les interprétations d’Emilia Clarke, de Paul Bettany et même de Woody Harrelson dans le rôle de trois personnages « outils » qui n’inspirent aucune émotion à aucun moment. Qi’ra est en effet un personnage qui se veut intriguant et qui sert de motivation à Han Solo, mais elle m’a personnellement gâché mon plaisir. Si elle n’avait pas été dans le film, cela n’aurait pas été plus mal, on aurait peut-être évité une référence à la taille du sexe de Lando, la réplique la plus débile et inélégante de tout STAR WARS. Dryden Vos est un des plus gros clichés de méchant qui m’ait été donné de voir, je le trouve pathétique et pas crédible du tout. Ce gangster classieux n’est jamais effrayant, Bettany ne semblait pas être le meilleur choix pour le jouer, un peu comme Eddy Redmayne dans Jupiter. Woody Harrelson en Beckett nous fait du Woody Harrelson, aucun attachement particulier à ce personnage ne naît même lors de ses moments d’émotions (ou censés l’être), la faute à un jeu très limite (la deuxième mort la plus nulle du cinéma après Marion Cotillard) et à un rythme effréné qui ne laisse que peu de place au développement des personnages. On ne parlera que très brièvement de Val et Rio, deux membres de l’équipe de base de Beckett qui y passent rapidement sans qu’on en ait quelque chose à faire, ou de Enfys Nest, qui est badass au début puis perd de son ampleur rapidement. Heureusement qu’il ne s’agit là que de seconds rôles, j’aurais préféré qu’on voit plus de Han, Chewie et Lando, que ces personnages sans saveur et sans intérêt.
« L’histoire de Han paraît bien anodine quand on pense au personnage emblématique de la trilogie originale STAR WARS. »
On termine sur les mauvais points avec le scénario trop simple et trop prévisible. Rien de passionnant, rien de particulièrement captivant ou étonnant. Une origin story très classique, trop sûrement, avec son lot de détails pas toujours bien vus (le nom de Solo trouvé par un officier impérial, c’est franchement décevant…) et encore une fois, complètement négligeables voire insignifiants. Cela ne manque pas de consistance mais cela manque d’âme, d’un souffle épique ou de magie. Même l’aspect buddy-movie spatial ou western n’est pas plus étoffé que ça. On joue sur le fun sans humour efficace. Il y a trop de raccourcis et de facilités. On enchaîne les événements sans se soucier de ceux qui ont eu lieu précédemment et c’est là le reproche principal que je ferais au film. Il est oubliable, aussi oubliable que la scène précédente quand on arrive à la suivante. L’histoire de Han paraît bien anodine quand on pense au personnage emblématique de la trilogie originale STAR WARS.
Mais il n’est pas pour autant dénaturé ! Passons aux choses positives !
Tout d’abord l’interprétation de Alden Ehrenreich est plus ou moins à la hauteur. Il n’est pas exceptionnel, il est loin d’avoir le charisme de Harrison Ford, ce à quoi on pouvait s’attendre, mais il a le mérite de jouer un Han Solo à peu près crédible, ce qui n’était pas une mince affaire et on peut le féliciter pour ça. En effet, quelques mimiques et postures rappellent notre contrebandier favori et si l’on prend en compte qu’il est censé avoir une petite vingtaine d’années, on peut l’imaginer ainsi, un peu plus foufou et insouciant qu’à ses trente ans. Ce sont justement les événements qu’il vit qui vont le transformer jusqu’au Han que l’on connait, le problème réside donc dans les événements en eux-mêmes et leur déroulement à l’écran que dans l’interprétation du héros. Seul bémol, la scène de la mort de Beckett. Que ce soit Harrelson ou Ehrenreich, les deux n’y sont pas et ça plombe le dénouement, ce qui est dommage compte tenu de l’interprétation tout à fait honorable qu’Alden avait livré jusque là.
« L3 est un personnage qui change, rafraîchissant et unique dans la saga. »
Les autres personnages que je n’ai pas encore cités sont excellents ! Donald Glover alias Child Gambino nous offre un Lando Calrissian que je trouve un poil trop maniéré mais dans l’ensemble il joue parfaitement le contrebandier classe et roublard, avec en prime le développement de sa personnalité profonde, une des rares séquences émotion qui marche, la seule en vérité. C’est aussi grâce au droïde L3, deuxième meilleur personnage du film qui n’apparaît pas assez longtemps à mon sens. L’idée du droïde qui milite pour les droits de ses semblables ne date pas de ce film, on a pu la voir dans d’autres œuvres de l’univers étendu, mais elle est vraiment bien retranscrite ! L3 est un personnage qui change, rafraîchissant et unique dans la saga, un droïde féminin d’une part, et un droïde emprunt d’une certaine folie qui a un but propre autre que celui de servir son maître. Elle vole la vedette aux autres à l’instar de K-2SO dans ROGUE ONE.
On termine par Chewbacca qui éclipse le casting ! Dans chaque scène il apporte quelque chose en plus, on aurait aimé le voir à l’œuvre plus souvent et on regrettera qu’il soit laissé en arrière-plan à de nombreux moments. Son développement n’est pas extraordinaire mais le voir aux côtés de ses congénères reste une belle idée, tout comme sa relation avec Han qui est assez réjouissante et pleine de sincérité. Niveau humour, il n’y a que lui qui fera mouche et cela joue forcément en sa faveur.
Le plus gros point positif c’est sa réalisation ! Le scénario a beau tenir en quelques lignes et certaines scènes peuvent manquer de crédibilité, Ron Howard a tout de même fait le taf au niveau du rendu. Les cuts et le montage sont fluides, le tout est bien rythmé. La photo et l’esthétique en général sont de très bonne facture, les décors sont beaux et variés, que ce soit en ville ou dans de vastes étendues montagneuses ou désertiques, bien que manquant d’exotisme. Le bestiaire et les aliens sont travaillés et abondants, notamment dans certaines scènes comme le salon de Dryden Vos avec un duo de chanteurs très sympatiques ou dans le bouge où Lando joue au Sabbacc. On retrouve du Twi’lek, du Rodien, du Wookie, même si c’est furtif ça fait toujours plaisir de revoir des espèces connues.
« Le plus gros point positif c’est sa réalisation ! »
Les effets spéciaux sont de qualité, mais pouvait-il en être autrement pour une si grosse production ? Mention spéciale au passage du raid de Kessel en 12 parsecs, avec le maelstrom et cette créature gigantesque. Une menace de plus qui tombe à plat mais qui nous donnera la scène la plus épique du film.
En conclusion, non SOLO n’est pas une daube sans nom, tout comme LES DERNIERS JEDI n’est pas un sacrilège indigne, mais il est clairement en deçà de mes attentes et très loin du dernier épisode cité, sur le fond uniquement car dans la forme c’est plutôt réussi. STAR WARS se veut un peu plus spirituel, plus dramatique et plus comique en même temps. Des critères qui me semblent essentiels et qui sont absents de cette STAR WARS STORY trop largement destinée à un public enfantin. Le fun est là mais le fun seul ne suffit pas et ne suffira jamais pour STAR WARS. Cette balade spatiale ne marquera donc pas les esprits à cause de ce manque important, notamment du jeu de certains acteurs et de son scénario insipide, couplés à un fan-service primaire. La réalisation, en terme purement technique, quelques scènes d’actions mouvementées, des mondes dépaysants, Chewie et L3 sauvent les meubles et réhaussent le tout mais je ne saurais réprimé ma déception car c’est la première fois que je sens le « produit » plus que l’oeuvre d’art dans ma saga préférée, peut-être à cause des déboires subis pendant sa création. Je le place donc bon dernier de mon classement de mes films STAR WARS préférés. J’espère que Disney et Lucasfilm prendront plus de temps pour peaufiner les futurs spin-off et nous livrer de vrais films originaux et emprunts d’une âme comme le furent le premier spin-off ou l’épisode VIII et pas des blockbusters fast-food complètement lambda comme Hollywood sait les faire et en abuse, avec une formule déjà usée comme c’est parfois le cas chez Marvel Studios. Car STAR WARS a droit au meilleur et ne doit pas se contenter de ça.
- Di Vinz -
Autres articles de Di Vinz :
Critiques express / Oblivion / Upside Down / Cloud Atlas / Iron Man 3 / After Earth /Star Trek Into Darkness / Man of Steel / World War Z / Pacific Rim – Wolverine, le Combat de l’Immortel – R.I.P.D. Brigade Fantôme / Elysium / Thor, le Monde des Ténèbres / Le Hobbit : La Désolation de Smaug / Snowpiercer, le Transperceneige / Critiques express DVD, Blu-ray et ciné / X-Men Days of Future Past / Critiques express DVD, Blu-ray et ciné (2) / Critiques express : Robocop & 47 Ronin / Lucy / Ninja Turtles / Edge of Tomorrow / Hercule / Jupiter, le Destin de l’Univers / Test : Alien Isolation / Jurassic World / Star Wars : Le Réveil de la Force / Deadpool / Batman V Superman / Midnight Special / Le Livre de la Jungle / Conjuring 2 / Warcraft : le Commencement / Captain America : Civil War / X-Men : Apocalypse / Logan / Alien Covenant / Independence Day : Resurgence / Star Trek : Sans Limites / Suicide Squad / Doctor Strange / Premier Contact / Assassin’s Creed / Rogue One : A Star Wars Story / Passengers / Les Derniers Jedi : analyse & critique / Split / La Grande Muraille / Ghost in the Shell / Kong : Skull Island / Life : Origine Inconnue / Power Rangers / Les Gardiens de la Galaxie Vol.2
Cliquez ici pour rejoindre Le Groupe d’Altaïr IV sur Facebook !
Cliquez ici pour visiter les tableaux des Échos d’Altaïr sur Pinterest !
Cliquez ici pour visiter la chaîne YouTube des Échos d’Altaïr !
Cliquez ici pour accéder à la page Facebook publique des Échos d’Altaïr !
INDEX DU BLOG / GUIDE ALTAÏRIEN / CARNET GEEK NC
Pour contacter le blog : morbius501@gmail.com
Explorathème, c’est aussi la présentation d’auteurs, de cinéastes ou d’artistes à travers des vidéos, avec des points de vue de fans ou d’experts. Aujourd’hui :
LE CINÉMA DE SAM RAIMI
Autres sujets présentés dans Explorathème :
Le Space Opera / L’Heroic Fantasy / Le Cyberpunk / Le Steampunk / Portrait de H.P. Lovecraft / Lovecraft, explorer l’indicible / Jules Verne, l’invitation au voyage / L’Histoire Sans Fin, le livre / Nicolas Stanzick : Les Monstres d’Universal / Philip K. Dick : visionnaire du temps / Le Gore : un genre contestataire ? / Le voyage dans le temps / Les robots : de Frankenstein à Terminator
Imaginez 1888, l’époque victorienne. Imaginez les rues de Londres, le fog bien poisseux, épais et opaque. Imaginez maintenant que le comte Dracula ait fait échouer les plans de Van Helsing et se soit marié à la Reine Victoria. Les vampires vivent au grand jour (enfin la nuit), cohabitent avec les vivants et prennent beaucoup de place dans la vie politique du royaume, dans la vie tout court en fait. La colère du peuple gronde, il y a des têtes sur des piques (celle de Van Helsing entre autre et on craint pour celle de Bram Stoker), des gardes des Carpathes telle la Gestapo sillonnent les rues pour maintenir « l’ordre ». Ajoutez à cela un éventreur de prostituées vampire au doux nom de Jack, un éminent scientifique un peu excentrique au nom de Jekyll et son confrère le docteur Moreau, une « jeune » enquêtrice Geneviève Dieudonné de la lignée de Chandagnac, amie de la regrettée Jeanne d’Arc et de la comtesse Carmilla, un Lord Ruthven premier ministre, « BeauRegard » un espion au service secret de Sa Majesté, et même un John Merrick triste valet du prince consort.
Dracula règne donc sur le royaume tel un despote xénophobe et homophobe, des meurtres ont lieu. Chacun, humains et non morts (vampires), essaie de survivre. Tous ont peur de finir sur un pal ou éventré… Bref c’est pas la joie l’Angleterre.
Dans cette histoire melting-pot de références vampiriques et historiques, Lestrade déplore l’absence de Sherlock Holmes enfermé dans le camp the Devil’s Dyke, par contre son frère Mycroft est membre du Diogene’s Club. On rencontre Oscar Wilde malheureusement très mal vu par les mondains, Florence Stoker et beaucoup, beaucoup d’autres personnages.
On note que l’équipe de Van Helsing dans le Dracula de Bram Stoker a bien changé : Mina est le second de Dracula. Jack John Seward, l’amoureux de Lucie Wenstera, ne se remet pas de la mort de celle-ci et est chirurgien pour les plus démunis dans Whitechapel, Arthur Holmwood « Lord Goldaming » est devenu vampire ….
Bref, vous l’aurez compris, ce livre est un fabuleux mélange de tout et n’importe quoi, mais c’est très abouti. En lisant la quatrième de couverture, j’ai cru que ce serait drôle. Eh bien en fait pas vraiment, c’est même très sérieux. Du coup sa lecture m’a un peu déroutée même si cela reste assez réussi et divertissant. On sait dès le début qui est Jack l’Éventreur et son mobile, ici pas de suspense. On suit avec curiosité les aventures de Geneviève « aînée vampire » de son état et BeauRegard espion humain. Les multiples rebondissements dans l’intrigue excellent et si tout cela a lieu c’est pour une raison bien précise que l’on ne comprend qu’à la fin (tadaaaammm !!)
Pour moi le plus grand intérêt du livre c’est cette fin alternative du roman de Bram Stoker, la multitude des personnages rencontrés, les superbes clins d’œil aux œuvres historiques et fictives, l’ambiance glaciale des rues de Londres fin 1800 version dictature, empalement et tutti quanti… J’attaque très bientôt le tome 2 d’Anno Dracula, « Le Baron Rouge Sang », qui cette fois se passe en 1918. Curieuse de voir qui je vais y rencontrer !
- Marie-Laure -
Autres articles de Marie-Laure :
Orgueil & Préjugés & Zombies / Laisse-moi entrer / Prince Lestat et l’Atlantide
Cliquez ici pour rejoindre Le Groupe d’Altaïr IV sur Facebook !
Cliquez ici pour visiter les tableaux des Échos d’Altaïr sur Pinterest !
Cliquez ici pour visiter la chaîne YouTube des Échos d’Altaïr !
Cliquez ici pour accéder à la page Facebook publique des Échos d’Altaïr !
INDEX DU BLOG / GUIDE ALTAÏRIEN / CARNET GEEK NC
Pour contacter le blog : morbius501@gmail.com
C’est dans quelques jours que sort SOLO : A STAR WARS STORY, second spin-off de la saga après ROGUE ONE. Centré sur l’un des personnages les plus charismatiques et appréciés de la galaxie STAR WARS, ce dernier hors-série star warsien va nous permettre de découvrir la jeunesse de Han Solo, sa rencontre avec Chewie, mais aussi comment notre Corellien a gagné son Faucon Millenium face à Lando et comment il est devenu le célèbre contrebandier que nous aimons tant. Tout comme nous l’avions fait pour la sortie de ROGUE ONE, cette Page STAR WARS est entièrement dédiée à SOLO, the movie : synopsis, acteurs, personnages, bandes-annonces, featurettes, affiches, premières critiques… May the Solo be with you !
:::::::::::::::::::::::::::::::::: SOLO : LE SYNOPSIS ::::::::::::::::::::::::::::::::::
À travers une série d’escapades dans un monde criminel sombre et dangereux, Han Solo rencontre son puissant futur co-pilote Chewbacca et fait la connaissance du célèbre parieur Lando Calrissian, dans une aventure qui établira la destinée de l’un des héros les plus atypiques de la saga STAR WARS…
::::::::::::::::::::::::::: SOLO : LA BANDE-ANNONCE :::::::::::::::::::::::::::
Aux accents d’un western galactique, la bande-annonce de SOLO : A STAR WARS STORY nous en met plein la vue. Si l’on peut être quelque peu dérouté à sa première vision qui nous présente un STAR WARS comme on n’en a encore jamais vu, le style, l’ambiance, les décors et les personnages nous promettent une aventure unique et originale dans l’univers star warsien, et c’est tant mieux !
::::::::::::::::::::::::::::::::: SOLO : LES ACTEURS :::::::::::::::::::::::::::::::::
HAN SOLO : C’est le jeune Alden Ehrenreich qui incarne Han Solo. Même si l’on peut légitimement douter de la ressemblance physique avec Harrison Ford, notre acteur âgé de 28 ans (et censé en avoir 19 dans le film…) a fait ses preuves dans une dizaine de longs métrages comme TETRO de Coppola (2009) ou AVE, CÉSAR ! de Hobie Doyle (2016). Il est apparu dans l’épisode 2 de la première saison de la série SUPERNATURAL (épisode « Wendigo », en 2005) et dans LES EXPERTS (2006). Beaucoup de rumeurs négatives ont couru sur Alden Ehrenreich et son rôle de Solo, l’acteur ayant, soi-disant, constamment besoin d’être conseillé pour incarner le personnage. Mais à l’arrivée, on nous parle d’un Alden Ehrenreich tout à fait à l’aise dans son rôle. On est soulagé…
LANDO CALRISSIAN : Notre charmeur invétéré et expert roublard est joué par Donald Glover. Acteur de 34 ans, il est décrit comme « une figure incontournable de la culture pop » de la fin de années 2010. Il a joué à la télévision dans LATE NIGHT WITH CONAN O’BRIEN (2005), ATLANTA (2016) et bien d’autres séries, tandis qu’au cinéma on a pu le voir dans THE SEX LIST (2013) et LAZARUS EFFECT (2015) pour ne citer qu’eux. On nous dit qu’il vole la vedette à Alden Ehrenreich dans SOLO. On veut bien le croire…
QI’RA : C’est la séduisante Emilia Clarke de GAME OF THRONES qui interprète Qi’Ra, une jeune femme « mystérieuse, élégante malgré la coupe simple et sobre de ses tenues plus appropriées aux soirées mondaines qu’à la vie de criminelle. » Elle connaît une aventure amoureuse avec Solo. Rappelons qu’Emilia Clarke a également joué dans l’horrible reboot TERMINATOR : GENISYS (2015). Elle incarnait alors Sarah Connor…
TOBIAS BECKETT : « Tobias Beckett était un criminel qui servit de mentor au jeune Han Solo. » Notre Tobias est incarné à l’écran par Woody Harrelson. Pour la petite histoire, « Woody Harrelson est le fils du tueur à gages Charles Harrelson (1938-2007) né à Huntsville (Texas) qui prétend avoir participé au complot de l’assassinat de John F. Kennedy avec Lee Harvey Oswald. » (Wikipédia). Rien de moins… On pourra dès lors comprendre que le rôle de Tobias lui va à ravir. Woody Harrelson possède une longue carrière cinématographique débutée en 1978. Il a joué dernièrement dans LA PLANÈTE DES SINGES : SUPRÉMATIE (2017).
VAL : « Val était une Humaine qui faisait partie de l’équipe montée par Tobias Beckett à l’époque de sa collaboration avec Han Solo. » C’est l’excellente Thandie Newton, surtout connue pour son rôle de l’androïde Maeve Millay dans la série WESTWORLD, qui incarne la redoutable Val.
L3-37 : « L3-37, aussi appelé L3 ou Elthree, était un droïde travaillant avec Lando Calrissian durant le règne de l’Empire Galactique. Elle s’améliorait en utilisant les morceaux d’autres droïdes. » C’est donc à un droïde féminin auquel nous avons affaire, le féminisme gratuit s’étant même infiltré dans la galaxie STAR WARS… L3-37 est joué par Phoebe Waller-Bridge, actrice et scénariste anglaise.
:::::::::::::::: SOLO : VISITE DU FAUCON AVEC LANDO ::::::::::::::::
Dans cette featurette, Donald Glover-Lando vous fait visiter son Faucon Millenium ! La classe !
:::::::::::::::::::::::::: SOLO : LE RÔLE DE HAN SOLO :::::::::::::::::::::::::::
Ron Howard, le réalisateur de SOLO : A STAR WARS STORY, Donald Glover et Alden Ehrenreich nous parlent du rôle de Han Solo…
:::::::::::::::::::::::::::::::: SOLO : MAKING SOLO ! ::::::::::::::::::::::::::::::::
Un petit making of SOLO avec le directeur de la photographie, le réalisateur, les maquilleurs, le spécialiste des effets spéciaux sur les créatures, le créateur des costumes…
:::::::::::::::::::::: SOLO : COMME SI VOUS Y ÉTIEZ ! ::::::::::::::::::::::
Plongez dans la scène où Solo et Lando se rencontrent pour la première fois à l’occasion de la partie où le Faucon Millenium est en jeu ! La vue est à 360°, faites tourner l’image en tous sens afin de faire le tour de table et d’y découvrir tous les protagonistes !
:::::::::::::::::::::: SOLO : PREMIÈRES CRITIQUES ::::::::::::::::::::::
Comme d’habitude, il y a les pour et les contre. Et comme pour tous les derniers STAR WARS version Disney, SOLO : A STAR WARS STORY ne fait pas l’unanimité. Mais rassurons-nous : le film ne pourra jamais atteindre la médiocrité d’un STAR WARS VIII. On fait le tour des premières critiques (sans spoilers) tombées récemment sur les sites spécialisés ou non, sachant que la meilleure chose sera pour vous d’aller voir le film afin de vous en faire votre propre idée. C’est pas vrai ça ?
Journal du Geek : « C’est un honnête divertissement qui remplit consciencieusement son cahier des charges, mais sans vraiment chercher à aller plus loin. »
Écranlarge : « En essayant de contrôler deux auteurs brillants perçus comme trop indépendants Disney a décapité un projet prometteur et offert aux fans un des pires Star Wars jamais vus. »
Le Point : « Ce récit des origines du contrebandier est d’un ennui intersidéral. En cause ? Son héros falot et un scénario sans identité ni panache. »
Le Monde : « Léger problème : tout le monde semble ailleurs, à commencer par l’avenant Alden Ehrenreich qui fait hélas un Solo désespérément insipide. Encore heureux que celui-ci soit mort avant de se voir ainsi ressuscité. »
IGN : « Rogue One avait au moins les enjeux de son récit, Solo ne dispose quant à lui que d’un univers visuel aux petits oignons pour réussir à se démarquer, et c’est bien tout ce que l’on retiendra de lui. »
Première : « C’est un bon film d’aventures, une bonne BD, un bon divertissement. Ce n’est pas Les Derniers Jedi. »
Les Toiles Héroïques : « Cela aurait pu être mieux, cela aurait pu être pire. Compte tenu du contexte, Solo : A Star Wars Story est un blockbuster satisfaisant, malgré un dernier acte frustrant. »
Télérama : « Pas complètement réussi, car manquant parfois d’originalité, le film réalisé par Ron Howard offre toutefois quelques séquences réjouissantes. »
Planète Star Wars : « Au final « Solo » s’en sort avec les honneurs quand on connait tous les problèmes rencontrés lors de sa production. Il est au final tout ce qu’on lui demande : un bon divertissement qui enrichi une fois de plus notre chère saga Star Wars ! »
Paris Match : « Sans posséder la magie des meilleures épisodes de la saga intergalactique, «Solo, A Star Wars Story» de Ron Howard est un western galactique fun et hautement divertissement. »
Le Blog du Cinéma : « Le Solo : A Star Wars Story de Ron Howard s’avère être une bonne surprise ! »
::::::::::::::::::::::::::::::::: SOLO : DES AFFICHES :::::::::::::::::::::::::::::::::
Pour finir, quelques belles affiches comme on les aime.
:::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::
Rendez-vous en salles le 23 mai pour découvrir
SOLO : A STAR WARS STORY
Les autres Pages STAR WARS sur Les Échos d’Altaïr :
n°1, n°2, n°3, l’Édition Spéciale, n°4, n°5, n°6, n°7, n°8, n°9, n°10, n°11, n°12
Cliquez ici pour rejoindre Le Groupe d’Altaïr IV sur Facebook !
Cliquez ici pour visiter les tableaux des Échos d’Altaïr sur Pinterest !
Cliquez ici pour visiter la chaîne YouTube des Échos d’Altaïr !
Cliquez ici pour accéder à la page Facebook publique des Échos d’Altaïr !
INDEX DU BLOG / GUIDE ALTAÏRIEN / CARNET GEEK NC
Pour contacter le blog : morbius501@gmail.com
Illustrateur américain né en 1922 et mort en 2005, Frank Kelly Freas est célèbre pour ses peintures de science-fiction et d’heroic fantasy. Il travailla à ses débuts pour des couvertures de pulps tels que Weird Tales et Planet Stories. Il poursuivit ensuite avec Astounding Science-Fiction, Analog, et participa également à des centaines de couvertures de livres.
Frank Kelly Freas conçut des insignes et des affiches pour le projet Skylab de la NASA. Il a aussi dessiné pour le magazine Mad, a repris l’une de ses illustrations légèrement modifiée pour l’album du groupe Queen News of the World (1977) et a représenté le célèbre Martien vert de la couverture de Martiens, go Home ! de Fredric Brown.
Son utilisation audacieuse du pinceau et son expérimentation d’une grande variété d’outils et de techniques dans de magnifiques peintures lui ont valu une grande réputation de la part des fans de l’Imaginaire, de même que des dizaines de récompenses.
- Morbius – (morbius501@gmail.com)
Autres articles de la catégorie Imaginart :
Tim White, artiste de l’Imaginaire / Fonds d’écran plein d’imagination ! / Ralph McQuarrie, créateur d’univers (1) / Ralph McQuarrie, créateur d’univers (2) / L’Imaginaire en fond d’écran ! / Peter Andrew Jones, fils de pulps / Andrew Probert, le papa des Cylons / Jules Verne en 3D / L’art de la SF et de l’heroic fantasy : Michael Whelan / Vador psychédélique et générique mythique / L’Empire vous parle ! / Un stardestroyer chez soi… / Affiches à part / Pour quelques fonds d’écran de plus / Star Wars en version steampunk ! / C’est fou ce qu’on peut faire avec un ticket de métro ! / Dangereux portes clés ! / Le FouRobot ! / Des peintures très « muppets » / La 3D anaglyphe selon Joel Fletcher / Frank R. Paul, l’artiste des pulps / Ma collection personnelle de pulps / Des images de rêve / Nemotechnik / Mondes et voyages de Didier Graffet / Un blog pour Scifimages / Jolis fonds d’écran galactiques / C’est merveilleux ! / Base extraterrestre appelle la Terre ! / L’art de Chris Foss / Du Separth ! / Du Separth (suite !) / Jules Verne et le CM2B / Le minimum pour une affiche / CoolVibe pour vous faire rêver / Documentaire sur Reynold Brown / Des vaisseaux et des robots / Envahisseurs sur cartes postales / Réalisez votre propre couverture de pulp ! / Le space-art de Chesley Bonestell / Un démon altaïrien signé Johannes Wahono / Un Cthulhu kanak / Le SILO et Altaïr IV / En provenance de la planète Vélas / Alex Schomburg : entre le comics et pulp / Un dessin de Ferrod pour Les Échos d’Altaïr / Un dessin de Bellamy pour Les Échos d’Altaïr / Un dessin des Tarquin pour Les Échos d’Altaïr / Un dessin de Law pour Les Échos d’Altaïr / Krahang et Krasue par Arissara I. Le Moing / Vincent Di Fate / Bruce Pennington / Bob Eggleton / Arthur Haas / Naoto Hattori / Roger Dean / Un dessin de Niko pour Les Échos d’Altaïr / Un dessin de Jules pour Les Échos d’Altaïr / Un dessin de Bianco pour Les Échos d’Altaïr / Une dédicace de David Yardin pour le blog / Un dessin de Ferrod pour Les Échos d’Altaïr
Cliquez ici pour rejoindre Le Groupe d’Altaïr IV sur Facebook !
Cliquez ici pour visiter les tableaux des Échos d’Altaïr sur Pinterest !
Cliquez ici pour visiter la chaîne YouTube des Échos d’Altaïr !
Cliquez ici pour accéder à la page Facebook publique des Échos d’Altaïr !
INDEX DU BLOG / GUIDE ALTAÏRIEN / CARNET GEEK NC
Pour contacter le blog : morbius501@gmail.com