« …en dévoilant le possible en même temps que ces limites, l’auteur donne au récit la caution formelle du réel et enferme le lecteur dans le champ de ce que les théoriciens du récit ont appelé le vraisemblable. Peut-être pourra-t-on mieux comprendre par là que la science-fiction se présente comme une littérature qui s’avance masquée tout en désignant son masque du doigt : il s’agit bien d’une littérature pour laquelle il est bien moins important de dire la vérité que d’être cru. »
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