« La maisonnette, la forêt, le village étaient situés à mi-pente d’une colline dont l’immensité dépassait l’entendement d’un Terrien. Au-dessus, il n’apercevait aucune démarcation nette due à un sommet ou une arête ; la terre se perdait dans des lointains bleu pâle. Au-dessous, le panorama paraissait si grandiose et si vaste qu’au-delà de quelques kilomètres l’œil ne captait plus que l’étendue du territoire sans les moindres détails, prés et forêts se fondant en un brouillard vert, bleu et beige. »
(La Planète Géante, Jack Vance)
Jack Vance reste toujours un grand.