« C’était un anachronisme d’avoir une réceptionniste humaine dans ce bureau de plastique lumineux, au milieu de machines qui se parlaient en clignotant entre des colonnes de jade disparaissant dans des hauteurs obscures… mais un anachronisme des plus agréables quand on considérait les longues jambes et les cheveux d’un roux flamboyant de la réceptionniste. Le capitaine Torres se planta devant elle et déclina son identité. Comme il parcourait du regard ses galbes somptueux, il tomba en arrêt devant le pistolet à fléchettes passé à sa ceinture… »
(La Hanse Galactique – t.1 : Les Princes Marchands – Poul Anderson)
Laisser un commentaire