Certaines œuvres ont un pouvoir captivant, celui de marquer durablement celles et ceux qui la découvrent pour la première fois et qui, bien souvent, n’auront de cesse de la redécouvrir et de la partager. Je pense que nous avons tous à l’esprit une telle œuvre, cela peut être un film, un roman, une peinture, ou bien encore un jeu vidéo. Pour ma première chronique sur le site, j’ai choisi de vous parler de Chrono Trigger, qui est pour moi cette œuvre qui me procure toujours autant de plaisir à mesure que je me replonge dedans.
Chrono Trigger est un jeu de rôle sorti en 1995 sur Super Nintendo, développé et publié par Square. Une version Playstation en bundle avec Final Fantasy 6 verra le jour quelques années plus tard (non distribuée en Europe), puis une version Nintendo DS traduite officiellement en Français pour la première fois sortira en 2009.
Les créateurs du jeu ne sont autres que Yûji Horii (Dragon Quest), Hironobu Sakaguchi (célèbre pour la saga Final Fantasy) et Akira Toriyama, créateur de Dragon Ball, qui va totalement influer le design des personnages et de l’univers. Chrono Trigger, ce sont aussi des musiques majestueuses composée par Yasunori Mitsuda, et en partie par Nobuo Uematsu (Final Fantasy).
L’aventure commence !
L’histoire commence dans le royaume de Gardia, qui fête actuellement son millénaire. Le jeune Chrono se rend à la fête donnée à cette occasion pour y retrouver son amie Lucca, inventrice de génie, qui expose sur la foire sa toute dernière création mystérieuse. Sur la route, Chrono fait la connaissance d’une jeune femme nommée Marle à la suite d’une malencontreuse bousculade. Ils décident alors de profiter ensemble de la fête avant de rejoindre Lucca. Après s’être amusés sur les stands, ils arrivent au moment où Lucca fait la démonstration de son téléporteur, qui a pour but de déplacer des objets de quelques mètres. Ne lui laissant pas vraiment le choix, Lucca propose à Chrono de tester l’appareil sur lui ! Il accepte et tout se passe pour le mieux. Enthousiaste à l’issu du résultat probant, Marle souhaite essayer à son tour, et se place dans le téléporteur. Au bout de quelques secondes, le médaillon de Marle se met à scintiller, puis d’un coup, un mystérieux portail apparaît et aspire Marle, laissant derrière elle le médaillon. Ni une ni deux, Chrono et Lucca se lancent à son secours en utilisant de nouveau le médaillon et le transporteur, sans vraiment savoir qu’ils se lancent dans une aventure épique à travers les âges.
Chrono et Marle s’entraînent au combat à la fête foraine.
Je n’en dirai pas plus, si ce n’est que nos héros vont rencontrer d’innombrables protagonistes et antagonistes hauts en couleur et affronter une foule de péripéties.
Si vous aimez les graphismes 16 bits à la sauce Dragon Ball, les jeux de rôles avec des musiques envoûtantes, un scénario bien ficelé et des combats au tour par tour dynamiques et pleins de combos, alors foncez !
Pour celles et ceux qui sont fan de V.O et sont familiers avec l’anglais, je vous recommande la version Super Nintendo, sinon, la version Nintendo DS en Français est très bien traduite et intègre les cinématiques version “anime” qui ont vu jour sur la version Playstation, avec aussi un gameplay revisité spécialement pour la console portable de Nintendo.
Le portail temporel aspire Marle, laissant Lucca et Chrono sans voix.
Je vous remercie toutes et tous d’avoir lu cette première chronique et je vous retrouve prochainement pour découvrir un nouveau jeu !
- Thibault -
(Les screenshots sont de jeuxvideo.com)
Autres jeux vidéo présentés dans la catégorie Jeu Vidéo :
Wing Commander, la saga / Final Fantasy XIII-2 : Final Test / Sword Art Online : Hollow Fragment / Tearaway / Test : Gravity Rush / Test : Dragon Age, Inquisition / Teenage Mutant Ninja Turtles : Fall of the Foot Clan / Alien Isolation / Dragon Ball Z : Shin Budokai / Super Mario Land 2 : 6 Golden Coins / Star Wars Republic Commando / One Piece : Unlimited World Red / The Witcher 3 : Wild Hunt / Ryse Son of Rome / Test Star Wars Battlefront / Test Tomb Raider Definitive Edition / Sword Art Online : Lost Song / Test Dragon Ball Xenoverse / Halo 5 : Guardians / Transformers Devastation / Final Fantasy XV / Dragon Ball Xenoverse 2
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Pour ce second épisode de BIENVENUE CHEZ LES KRELLS, c’est l’ancien libraire et critique littéraire Pierre Faessel qui s’y colle à décortiquer deux films du genre fantastique.
Il a choisi deux séries B d’épouvante, une classique et une assez récente : LA MAISON DU DIABLE (1963) de Robert Wise et L’INTERNAT (2018) de Boaz Yakin. Enfin, Pierre Faessel conclut l’émission en racontant sa rencontre avec le SCI-FI Club de Nouvelle-Calédonie à la fin des années 80.
- Trapard -
Cliquez sur l’image ci-dessous, ou sur ce lien, pour voir l’interview.
LIFE RETURNS (1935)
Voici un petit retour du côté du « Grenier du ciné SF » avec un mélodrame de science-fiction plutôt mièvre, mais intéressant à plusieurs niveaux. Il a été réalisé par Eugene Frenke et par James P. Hogan (réalisateur de THE MAD GHOUL.
L’intrigue : Un médecin qui a passé sa carrière à travailler sur les moyens de faire revivre les morts voit sa chance de prouver sa théorie en effectuant ses expériences sur un chien récemment décédé…
Jusqu’ici tout va bien, et LIFE RETURNS semble lorgner du côté du bouquin de Mary Shelley. Mais le film est en réalité tiré d’une histoire vraie. LIFE RETURNS célèbre les exploits scientifiques du biologiste Robert E. Cornish qui apparaît dans de courts inserts avec un bandeau chirurgical devant la bouche. À la base, Cornish était diplômé à l’âge de 18 ans de l’Université de Californie à Berkeley et doctorant à l’âge de 22 ans. Il a travaillé sur divers projets, dont un qui permettait de lire des journaux sous l’eau avec des lentilles spéciales. À ce sujet, vous en êtes les premiers informés, mais n’arrivant jamais à lire plus d’une page de la version papier CosmoFiction au fond de ma piscine, je revends mes lentilles avec un tuba à un prix modique sur Amazon.
Puis en 1932 (donc un an après la sortie du FRANKENSTEIN de James Whale), Robert E. Cornish s’est intéressé à l’idée de pouvoir redonner vie aux morts. La pierre angulaire de son expérience consistait en une planche à bascule ou une balançoire utilisée pour faire couler le sang des patients récemment décédés. En 1933, il a tenté de réanimer les victimes de crise cardiaque, de noyade et d’électrocution avec la planche à bascule, mais sans succès. Cornish a ensuite décidé de perfectionner sa méthode sur les animaux et a réussi à faire revivre deux chiens (Lazarus IV et V) mis à mort cliniquement le 22 mai 1934 et en 1935. Il balançait des cadavres de haut en bas pour faire circuler le sang tout en injectant un mélange d’épinéphrine (adrénaline) et d’anticoagulants. Les deux derniers Lazarus sur les cinq mis à mort ont pu être réanimés, mais quelque temps seulement. On est donc loin du scénario de LIFE RETURNS dans lequel le scientifique au grand cœur interprété par Onslow Stevens, sauve le chien de son fils éploré en le ressuscitant.
80 ans après la sortie de LIFE RETURNS, Lions Gate Films et le réalisateur David Gelb ont tourné une variante moderne, spirituelle et horrifique des expériences de Robert E. Cornish avec THE LAZARUS EFFECT (2015) qui transforme le dit-Lazarus en « Laïka de l’exploration. de la Mort », et ceci deux ans avant la sortie du remake de FLATLINERS (2017).
Pour en revenir à Robert E. Cornish, comme ses expériences « ont réussi » sur des chiens, celui-ci a souhaité étendre ses essais cliniques sur un détenu condamné à mort à San Quentin. Celui-ci, Thomas McMonigle, a contacté Cornish pour lui offrir son corps pour une éventuelle réanimation après son exécution. Les forces de l’ordre californiennes ont refusé la requête de Cornish et de McMonigle en raison des craintes qu’un meurtrier réanimé se retrouve être de nouveau en liberté. L’expérience n’eu jamais lieue et Thomas McMonigle a bel et bien été exécuté, mais le thème du meurtrier ressuscité a énormément nourri le cinéma d’horreur des années 30-40-50 avec des films interprétés par Boris Karloff et Lon Chaney Jr comme LE MORT QUI MARCHE (1936), BEFORE I HANG (1940), L’ÉVADÉ DE LA CHAISE ÉLECTRIQUE (1941), MAN WITH TWO LIVES (1942) ou INDESTRUCTIBLE MAN (1956).
Vous pouvez regarder LIFE RETURNS en VO sur YouTube.
- Trapard -
Autres films présentés dans la catégorie Le Grenier du Ciné SF :
Flash Gordon, de la BD aux serials / Croisières Sidérales / Aelita / Man Made Monster / Metropolis / Things to come / Docteur Cyclope / L’Ennemi sans Visage /Sur un Air de Charleston / La Femme sur la Lune / Le Tunnel / La Fin du Monde /I.F.1 ne répond plus / Buck Rogers au XXVe Siècle : Une Bataille Interplanétaire avec les Hommes-Tigres de Mars / Le Mort qui marche / Before I hang / The Ape / Le Capitaine Marvel / Le Voyage dans la Lune / A Trip to Mars /Le Voyage sur Jupiter / The Airship Destroyer / 20 000 Lieues sous les Mers (1916) / Paris qui dort / Sauce Piquante / The Beast of Borneo / Torture Ship /Emergency Landing / Le Voleur de Cadavres / Cerveaux de Rechange /Spécial Boris Karloff / Dr Renault’s Secret / Le Voyage Cosmique / Spy Smasher / The Mad Doctor of Market Street / Captive Wild Woman / L’Homme-Singe / Un Mariage Interplanétaire / L’Amour en l’An 2000 / Le Vol du Spationef 1
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MONSTERS CRASH THE PAJAMA PARTY (1965)
Réalisation : David L. Hewitt
Production : David L. Hewitt
Scénario : David L. Hewitt
Musique : David L. Hewitt
Distribution : David L. Hewitt et associés
Pays : États Unis
Année : 1965
Interprètes : Vic McGee, James Reason, Peter James Noto et David L. Hewitt dans un petit rôle.
Surtout connu pour son WIZARD OF MARS (1965) alias HORROR OF THE RED PLANET, David L.Hewitt a tourné la même année un film interactif qui démarre avec MONSTERS CRASH THE PAJAMA PARTY, lequel dure une trentaine de minutes et se conclut par l’intervention des monstres dans la salle de cinéma et des comédiens, qui leur tranchent la tête au milieu des spectateurs. L’idée allait donc plus loin que la 3D ou que les fauteuils vibrants et l’effet odorama proposés pendant les séances de projection des films de William Castle. Une intervention théâtrale grand-guignolesque que Ray Dennis Steckler avait déjà expérimentée l’année précédente avec THE INCREDIBLY STRANGE CREATURES WHO STOPPED LIVING AND BECAME MIXED-UP ZOMBIES. D’ailleurs, hasard ou coïncidence, l’une des créatures de MONSTERS CRASH THE PYJAMA PARTY ressemble beaucoup aux zombies du film de Steckler.
L’intrigue : Un groupe d’adolescentes décide de passer la nuit dans un vieux manoir sombre en vue d’une initiation à un club universitaire féminin. Ce qu’elles ne savent pas, c’est que le bâtiment est en fait le refuge d’un scientifique fou et de son assistant bossu, qui expérimentent la transformation des humains en gorilles…
Le sujet du film en lui-même est assez bateau et s’inspire de classiques du fantastique parodique avec Bela Lugosi comme LE GORILLE (1939) ou GHOSTS ON THE LOOSE (1943) mais avec une variété de créatures plus vaste : un savant fou et son assistant bossu nommé Igor, un gorille maladroit, un loup-garou, une belle goule eurasienne au doux nom de Draculina, et une espèce de « mix-up Zombie ».
MONSTERS CRASH THE PAJAMA PARTY démarre de manière absurde avec l’intervention d’un savant fou qui se présente lui-même à la caméra avec les mots « Mad Doctor » brodés sur la poche avant de sa blouse. Et par un générique qui pourrait très bien parodier celui du MÉPRIS (1963) de Jean-Luc Godard puisque c’est un gros gorille affublé d’une casquette de réalisateur et d’une grosse caméra 16 mm qui énonce les noms des comédiens et des techniciens. Le résultat est plutôt amusant, bien que le film ne possède aucune fin et que les scènes interactives ne semblent pas avoir été filmées ni éditées nulle part. C’est bien dommage, mais pour les curieux le film est trouvable sur le Net en cherchant bien, et il a été édité en DVD par Something Weird Video dans le coffret « Spook show spectacular a-go-go » avec de nombreux extraits croustillants de Spook shows télévisés.
- Trapard -
LE TRAILER :
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Explorathème, c’est aussi la présentation d’auteurs, de cinéastes ou d’artistes à travers des vidéos, avec des points de vue de fans ou d’experts. Aujourd’hui :
JODOROWSKY ON DUNE
Il s’agit d’un court extrait d’une émission intitulée « La constellation Jodorowsky » diffusée en 1994. En dehors de Jodorowsky, on y rencontre également Mœbius et un entraîneur pour les cascades.
Autres sujets présentés dans Explorathème :
Le Space Opera / L’Heroic Fantasy / Le Cyberpunk / Le rétrofutur / Le Steampunk / Portrait de H.P. Lovecraft / Lovecraft, explorer l’indicible / Jules Verne, l’invitation au voyage / L’Histoire Sans Fin, le livre / Nicolas Stanzick : Les Monstres d’Universal / Philip K. Dick : visionnaire du temps / Le Gore : un genre contestataire ? / Le voyage dans le temps / Les robots : de Frankenstein à Terminator / Le cinéma de Sam Raimi / Hugo Gernsback, le père de la Science-Fiction / Philippe Druillet / Le jeu de rôle est-il le renouveau de la narration ? / Isaac Asimov, les incroyables prédictions du futur / Lumière sur « La Nuit des Temps » / Japon : le traumatisme nucléaire / Pulp : le berceau méconnu de la culture geek / Technologies du futur / Anime japonais : les secrets d’un style / Les geeks : rempart contre les sectes ?
« Le temps est simplement notre perception imparfaite d’une nouvelle dimension de l’espace. Le temps et le mouvement sont deux illusions. Tout ce qui a existé depuis le commencement du monde existe encore aujourd’hui. Des événements qui se sont déroulés il y a des siècles sur cette planète continuent d’exister dans une autre dimension de l’espace. Des événements qui se produiront dans plusieurs siècles existent déjà aujourd’hui. Nous ne pouvons percevoir leur existence parce que nous sommes incapables de pénétrer la dimension de l’espace qui les contient. Les êtres humains tels que nous les connaissons ne sont que des fractions, des fractions infiniment petites d’un tout immense. Tout être humain est relié à toute vie qui l’a précédé sur terre. Tous ses ancêtres font partie de lui. Seul le temps le sépare de ses ascendants, et le temps est une illusion qui n’existe pas. »
(Les Chiens de Tindalos / 1929 / Frank Belknap Long Jr. / Les Meilleurs Récits de Weird Tales)
Tout comme ROBO WAR de Bruno Mattei, ROBO VAMPIRE (1988) de Godfrey Ho lorgne vers le succès de ROBOCOP (1988) avec sa mauvaise imitation de soldat-robot du futur, bien que le film se déroule dans un présent indéfini peuplé de vampires.
L’intrigue : Une seconde chance de vie est donnée à l’agent des narcotiques Tom Wilde, après avoir été tué par balles : il est utilisé dans une expérience futuriste qui fait de lui un robot androïde. Il est envoyé secourir Sophie, un ravissant agent sous couverture, qui a été capturée par le diabolique baron de la drogue Mr Young, et sa redoutable création, la bête vampire…
Tout nanar fauché soit-il, ROBO VAMPIRE a le mérite d’être distrayant puisque le film aligne les surprises sur un rythme soutenu. On y croise une horde de soldats-vampires (inspirés de ceux de la saga des MISTER VAMPIRE mais en déclinant le thème des morts-vivants soldats de LA RÉVOLTE DES ZOMBIES), une femme-fantôme acrobate inspirée de Hsiao-tsing d’HISTOIRE DE FANTÔMES CHINOIS (1987), un vampire à la face de gorille, et ce robot-justicier armé, affublé d’une combinaison chromée et se déplaçant au ralenti pour simuler une lourdeur imaginaire.
Mention spéciale aux vampires dont la coiffe est ornée d’une belle plume de paon qui disparaît ou réapparait selon les erreurs de montages pendant les scènes de bagarres.
- Trapard -
Autres vedettes de la catégorie Robot-Craignos :
Robot de Target Earth / Robot de Devil Girl from Mars / Robot de The Phantom Empire / Robot de The Robot vs. the Aztec Mummy / Robot de Vanishing Shadow /Robot de The Phantom Creeps / Robot de Undersea Kingdom / Robot de Superman (serial) / K1 / Ro-Man / Muffet / Robox / Robot géant des amazones de Star Crash / Robot de Flesh Gordon / 2T2 / Robot de Giant Robot / Gog / Kronos /Robot de The Space Giants / Robert / Wiki / Robots de The Lost Saucer / Robot de L’Invasion des Soucoupes Volantes / Jet Jaguar / Elias / QT-1 / Andy / Dot Matrix / Robot de The Goodies / Torg / Kryten / Robot de Dünyayi Kurtaran Adam /Robot de L’Homme Mécanique / Robot de Supersonic Man / Robot de Cosmo 2000 / Mechani Kong / Sparks / Robots de Ice Pirates / Maria (de Roboforce) / K-9/ Robot de The Bowery Boys Meet The Monsters / Robot de First Spaceship On Venus / « Friend » / RUR / Crow T. Robot, Gypsy & Tom Servo / Q / Tic Tac /Robowar / Robot de Frigia / Mark 1 / Kip / Doraemon / Robot de Métal Hurlant Chronicles / Moguera / Robot de Galaxis / IG-88 / Stella / Metalogen Man / Tor /Robot de Superman Contre les Robots / Robot de Lost City / Robot de Supercar /Robot des Thunderbirds / Robot de Alien Armaggedon / Robot de Ikarie XB-1 /Robot de la série TV Superman (1951) / RuR (2) / Roscoe / Robots de Star Odyssey / Robot de La Edad de Piedra / Robot de l’épisode de La Quatrième Dimension : Oncle Simon / Stelekami / Auto / Eyeborgs / Astrul / Robot de Booby Trap / Vindicator / Robot de Bad Channels / Robots d’Alpha Cassiopée / Peebo / Robots de Super Inframan / TARS / Endhiran / Tor / Robot de Blake’s Seven / Vector & Hector / Robot des Arkonides / Robot de Yilmayan Seytan /Robots de La Guerre des Robots / Tau Zeta / Robot de L’Île aux Naufragés / Xar / JANIS 414 & BIO 2100 / Robot de Las Luchadoras contra el Robot Asesino / Robot de 3 Süper Adam / Robot de Klaun Ferdinand a Raketa / SAM-104 / Robot de Moontrap / Decapitron / Vak & Krel / Robot de Mindwarp / Robot de Der Herr Der Welt / Minotaure / Samouraï Transformer / Klyton / Jen-Diki / Soaron & Terrasson / Robots de Wonder Woman / Orlak / Balbes / Robot de Star Virgin / Automatic Lover / Robot de Star Slammer / Robot de Radiorama
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Alvin Toffler, sociologue, a écrit dans Le Choc du Futur (1970) :
« Nos enfants devraient étudier Arthur Clarke, Robert Heinlein, Ray Bradbury et Robert Sheckley, non pas parce que ces écrivains nous parlent de vaisseaux cosmiques et de machines à voyager dans le temps, mais, ce qui est plus important, parce qu’ils peuvent amener les jeunes à explorer en imagination la jungle des problèmes politiques, sociaux, psychologiques et éthiques qu’ils devront affronter comme adultes. »
Après la superbe édition illustrée de L’Appel de Cthulhu parue en 2017, les éditions Bragelonne remettent le couvert avec ce premier tome de la longue et fascinante nouvelle de H.P. Lovecraft : Les Montagnes Hallucinées (paru en octobre 2019).
À nouveau, François Baranger se charge des illustrations, que dis-je, de ses toiles de maître tant le spectacle visuel est aussi impressionnant que le texte de Lovecraft !
C’est à une version « cinémascope » que nous avons droit ici, non seulement grâce au format de l’album, mais aussi grâce à des panoramas qui nous plongent littéralement dans l’histoire, dans ces paysages glacés de l’Antarctique où nous découvrons, éberlués, les incroyables représentations des imposants monuments de la cité ancienne.
Baranger EST l’illustrateur qu’il fallait, incontournable dès qu’il s’agit de mettre en images les folles visions de Lovecraft, il nous l’avait déjà prouvé avec l’album de L’Appel de Cthulhu paru deux ans plus tôt.
« Paysages déserts glacés, créatures innommables vieilles de plusieurs millions d’années découvertes dans un état de conservation anormal, étranges structures géométriques au sommet des montagnes noires, plus hautes que l’Everest… Cette nouvelle de Lovecraft a inspiré des générations d’auteurs et de réalisateurs, de John Carpenter, lorsqu’il réalise THE THING, à Guillermo del Toro qui rêve de la porter à l’écran.
Fasciné depuis toujours par l’univers de H.P. Lovecraft, François Baranger, illustrateur reconnut dans le monde pour ses talents de concept artist pour le cinéma et le jeu vidéo, s’est attelé à la tâche « cyclopéenne » de mettre en images ses principaux récits. »
Et quelle tâche ! Et quelle œuvre ! Les Grands Anciens ne pouvaient rêver meilleur disciple ! Vivement le tome 2 !
Morbius – (morbius501@gmail.com)
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