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Archive pour la catégorie « Anime »

EXPLORATHÈME – Anime japonais

Explorathème vous propose d’explorer librement et sans retenue les principaux genres et thèmes de l’Imaginaire : space opera, cyberpunk, steampunk, heroic fantasy… à travers des vidéos, des points de vue de fans ou d’experts. Aujourd’hui :

ANIME JAPONAIS : LES SECRETS D’UN STYLE

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DRAGON BALL SUPER : BROLY – LA CRITIQUE

( Anime, Di Vinz )

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DRAGON BALL SUPER : BROLY

Grand fan de Dragon Ball depuis longtemps, je suis, concernant cet univers, ce que certains appelleraient un puriste, bien plus que pour STAR WARS pour seul exemple, ce qui n’est pas peu dire quand on connait mon adoration pour la saga étoilée. Après le manga original créé par le génie Akira Toriyama, que je ne saurais que trop vous conseiller, la Toei a adapté deux séries animées, DRAGON BALL et DRAGON BALL Z, mondialement connues, et ont également produit plusieurs OAVs. Si ces derniers sont tous de grande qualité, on peut trouver plusieurs choses à redire quand à l’adaptation en série du manga, avec de nombreuses scènes bien trop souvent étirées et même des scènes ajoutées (ce qu’on appelle des « filers ») afin de produire toujours plus d’épisodes. Une méthode que je n’hésiterai pas à qualifier de frauduleuse, qui vient tromper le spectateur quand à l’œuvre qu’il est supposé suivre. Fort heureusement, ils créeront plus tard la salutaire version DRAGON BALL KAI, remasterisée en HD et purgée de tous ces filers sans intérêt. Puis, en 2015, la Toei lance DRAGON BALL SUPER, un film et une nouvelle série avec nos héros favoris, issus d’un manga prenant la suite directe de son aîné, supervisé par un nouvel auteur avec la participation du grand Toriyama.

19022004102915263616126789 dans Di VinzEt c’est là qu’à mon grand regret je dois désavouer le maître, car même s’il a apporté de nouveaux personnages sympas, DBS n’est finalement qu’un filer géant et son adaptation en animé est selon moi une grande caricature de l’oeuvre culte. Cela ne manque pas d’idées mais l’exécution est bâclée, on a droit à un épisode de qualité sur vingt, le dessin et l’animation sont à la ramasse, les personnages ont perdu 200% de leur charisme, les incohérences s’enchaînent et viennent parfois remettre en question certains faits établis dans le manga original, les combats ne sont plus les mêmes, ça manque de drame, de rires, ça manque d’émotion. Malgré un effort graphique notable et une nette amélioration de la mise en scène sur le dernier arc, il n’y a pas grand chose à sauver de cette nouvelle série et des deux films qui l’ont accompagné. Je n’aurais pas dû m’en étonner puisqu’Akira Toriyama a validé DRAGON BALL EVOLUTION, adaptation live sortie en 2009, hérésie suprême, insulte à tous les fans, si bien que le réal s’est excusé. Cette infamie mise de côté, occultée, que dis-je, enterrée, incinérée, nous étions en droit d’attendre autre chose d’un manga moderne se voulant la suite d’une œuvre qui a fasciné tant de lecteurs et spectateurs pour redorer le blason. Mais jusqu’ici, cela n’a pas été le cas. Pour ma part le Dragon Ball nouveau est donc une immense déception (jeux vidéos mis à part car ceux-ci sont souvent de bonne facture) et à l’annonce du 3e film intitulé BROLY, j’étais sceptique. De toute façon, je n’en attendais plus grand chose, mais au fond de mon cœur de fan, l’espoir demeurait secrètement. Après vingt ans d’attente, aurons-nous enfin une production DRAGON BALL digne de ce nom?

19022004102815263616126788Retour en 1993. La Toei produit le film BROLY LE SUPER SAYAN LÉGENDAIRE (titre Fr) inspiré du concept du guerrier de légende évoqué dans le manga. Une idée très bien vue, une exécution quasi parfaite, le film marquera les esprits et le personnage de Broly, véritable psychopathe dépassé par sa propre puissance, écrasant les héros les uns après les autres avec une brutalité et un sadisme rarement vu, deviendra l’un des vilains les plus appréciés de l’univers DB. En 1994, la Toei exploite le filon et opère un retour du personnage dans deux OAVs sous forme de diptyque, RIVAUX DANGEREUX et ATTAQUE SUPER WARRIORS (titres Fr), moins épiques que le premier film introduisant le personnage mais valant le coup d’œil, surtout le premier cité, le second étant assez décrié pour avoir ressuscité Broly sous une forme mutante assez ridicule. Vingt ans plus tard, connaissant le succès du personnage, la Toei décide de le faire revenir sur le devant de la scène. Problème: il leur fallait réécrire son histoire pour canoniser le personnage pour un film s’inscrivant dans l’histoire officielle, les anciens OAVs étant hors timeline, parallèle au manga original. Qu’à cela ne tienne! Akira Toriyama lui-même s’en charge ! Enfin, Broly allait devenir canon et entrer dans le manga. Beaucoup de fans étaient dès lors animés d’une grande impatience quant à la découverte de cette version officielle. Premières images, premier teaser, on note aussitôt un changement de chara design pour le personnage éponyme et un style d’animation différent, plus moderne, plus en accord avec les dessins originaux du manga. Cela s’annonçait très bien ! Puis les bandes-annonces arrivent et tout à coup, la hype s’empare de tout le monde. D’autres OAVs semblent mélangés à celui sur Broly, dont celui centré sur Bardock, le père du héros Son Goku, et celui où Son Goku et Vegeta, les deux protagonistes principaux, fusionnent pour former Gogeta, le guerrier ultime. Malgré des spoilers qui allaient rendre l’expérience moins surprenante pour des raisons évidentes de grossières divulgations de la trame, ces trailers ont impressionné par l’esthétique nouvelle qui soigne enfin notre manga préféré.

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Une grande vague d’avant-premières déferle sur la France les 23 et 24 janvier 2019 et l’effet est immédiat : c’est un succès. Le film reçoit louanges et est encensé par les fans. Mais qu’en est-il alors ? Mon verdict est clair : dans l’ensemble c’est une grande réussite. Le film est bon. Même très bon. Mais il n’est pas parfait. Il y a un certain nombre de problème que nous allons aborder.

Premièrement, c’est une énorme claque visuelle. Les animateurs issus de l’équipe qui a travaillé sur ONE PIECE, un autre manga désormais aussi célèbre que DB, ont abattu un travail exemplaire ! Ils ont su s’approprier le style de Toriyama et le remettre au goût du jour. Le résultat est incroyablement beau, le film est tout simplement superbe ! L’animation est d’une fluidité folle, les combats s’en retrouvent magnifiés, les chorégraphies sont très bien orchestrées, ça va dans tous les sens, on ressent la puissance des coups, on ressent la puissance qui se dégage des personnages à chaque attaque et chaque transformation (il y en a beaucoup) bénéficient d’un soin tout particulier. Mention spéciale pour le début du combat contre Broly durant lequel il affronte Vegeta. Cette partie est complètement dingue et m’a littéralement bouleversé. C’est du jamais vu, ni dans la série originale ni ailleurs, DRAGON BALL n’a jamais été aussi beau et limpide. C’est génialement jouissif. Les passages sur la planète des sayans ou sur la planète Vampa sont affublés de grands décors pleines d’idées de designs intelligentes. Le combat dans le cercle polaire sur Terre est aussi très joli, c’est hyper lumineux, permettant une meilleur lisibilité pendant le combat. Visuellement c’est donc un sans faute ? Pas tout à fait. Malheureusement, et je n’arrive vraiment pas à comprendre pourquoi, l’animation part en CGI lorsque le combat s’emballe sur la fin, il y a tout un passage durant lequel les personnages passent dans cette 3D dégueulasse utilisée abusivement dans les deux films précédents, un effet sorti tout droit d’un jeu vidéo en cell shading daté et venant contraster de façon malvenue avec le visuel global du film qui est sublime. De plus, durant ce passage, les deux combattants passent dans une autre dimension très laide. Si l’idée est bonne (trop de puissance casse les dimensions dans DB), l’exécution est sale et sème la confusion. Un bémol donc, mais fort heureusement cela ne durera pas et dès la sortie de cette dimension on retrouve cette fabuleuse animation 2D qui fait en partie le succès du film.

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Mais le film est cool aussi de par son scénario. Broly est totalement différent du monstre sans cœur qu’il était dans ses anciennes itérations. Il a une histoire plus travaillée, un passif et un caractère unique qui explique pourquoi et comment il n’arrive pas à se maîtriser du fait de ses origines sauvages et de son profond respect pour son père animé par un fort esprit de vengeance. Il en devient attachant et n’est finalement pas un véritable méchant mais plus un défi à relever pour Goku et Vegeta. Le vrai vilain du film est, une fois n’est pas coutume, Frieza, le méchant historique de DRAGON BALL. Celui-ci bénéficie d’un traitement très juste, les mecs ont tout compris de ce personnage sournois, totalement abject. Il était déjà l’un des rares persos respectés dans la série mais on a là une belle confirmation. Les autres personnages sont également mieux respectés, que ce soit Goku, Vegeta ou même Bulma qui nous offre une scène à l’humour tout à fait Dragon Ballesque. De nouvelles têtes viennent s’ajouter à ce cast et sont étonnamment intéressants malgré leur rôle secondaire. Les parents de Goku/Kakarotto ont également un traitement bien senti, Bardock et Gine (la mère de Goku qu’on découvre pour la première fois, ce qui n’est pas rien) ont un arc narratif beaucoup trop court à mon goût mais nous offrent une scène émotionnellement percutante lorsqu’ils envoient leur enfant loin de la planète des sayans, sentant venir le génocide perpétré par cette ordure de Frieza, à l’image des parents de Kal-El avant l’explosion de Krypton. L’orchestration musicale soulignera parfaitement ce passage dramatique. Je regrette juste que la résistance de Bardock, qui fait l’objet d’une scène mythique dans le TV Spécial qui lui a été consacré en 1990, ait été complètement rushée pour se concentrer sur la suite. Même si on l’a déjà vu, on était pas à 2 minutes près, on aurait adoré voir la version moderne de ce baroud d’honneur qui lui aussi a marqué les esprits en son temps. Du reste, si toute la première partie se concentre sur l’histoire et est juste excellente, toute la seconde partie est juste un gigantesque combat.

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Il ya donc un second bémol : le rythme est inégal, le film est carrément coupé en deux ! Il aurait été sûrement préférable de mettre un peu plus d’action dans la première partie, et un peu plus d’histoire dans la seconde, qui si elle est diablement grisante, en devient un peu étourdissante à force d’action effrénée. Il n’y aura que très peu de répit dans ce combat quasi ininterrompu. Dans le même registre, on aimerait bien qu’il y ait un peu plus de dialogues dans cette seconde partie, car ce qui a fait le sel de DRAGON BALL c’est aussi les punchlines que s’envoient les combattants. Or, Broly se contente de gueuler comme un gorille (ce qu’il est finalement ndlr) et les héros ont deux répliques à tout casser. Enfin, troisième problème: il y a un manque d’enjeu évident. Quand on sait que Whis, l’ange qui accompagne nos héros, est complètement au dessus de Broly comme en témoigne son court passage, on se sent moins impliqué. Whis avait déjà remédié à la destruction de la Terre dans le film précédent en remontant le temps, cette fois-ci il se ballade contre un Broly au sommet de sa puissance. Ce genre de personnage ultra cheaté pose problème car, même s’il n’est pas sensé intervenir et laisser Goku et Vegeta se débrouiller, à aucun moment on ne ressent de véritable danger quand il traîne dans les parages. Même chose pour Gogeta, le fameux personnage fusionné, qui viendra prendre le relais et rétamer Broly aussi aisément que s’il avait s’agit d’un méchant lambda, lui ôtant tous ses effets. On aurait aimé un peu plus de challenge à son apparition et qu’il n’expédie pas le combat en deux temps trois attaques de météores énergétiques. C’est très dommage mais là encore c’est pardonnable tant le combat lui-même est plus que dantesque.

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En conclusion je n’aurai qu’un mot à dire : Merci. Merci à Toriyama d’avoir ressuscité son œuvre. Merci à l’équipe qui a réalisé ce film. Merci à eux d’avoir compris ce qu’était DRAGON BALL et d’avoir su redorer le blason de la licence. Et un grand bravo car il semble que cela ne soit pas une mince affaire tant la Toei se mêle des productions DB en imposant ses règles souvent elles-mêmes auto-imposées par un public visé de plus en plus jeune. On n’aura pas droit à une seule goûte de sang mais ce n’est pas grave car les combats sont fous, c’est une grande baffe visuelle, ça a de la gueule comme on dit, et la première partie se concentrant sur l’histoire est une réussite en tous points. On est à deux doigts du film parfait. On y est presque. Comparativement aux derniers films, il n’y a pas photo, celui-là est à dix milles lieues au dessus. Cela fait plus de vingt ans qu’on attendait ça alors malgré les quelques soucis ici ou là, je ne boude pas mon plaisir. Si vous voulez apprécier un bon film d’animation japonaise, qui plus est tiré du meilleur univers jamais imaginé par un auteur (oui, j’ose le dire), la sortie officielle est pour le 13 mars ! N’hésitez pas !

- Di Vinz -

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VAISSEAUX SF : LE CYBERLAB

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CYBERLAB

Le Cyberlab est le vaisseau du Capitaine Flam (dont le vrai nom est Curtis Newton), un justicier spatial bien décidé à livrer une lutte sans merci contre le Mal.

Capable de parcourir 1500 années lumière en une seconde grâce à son volant hyperspatial et son moteur oscillatoire, le Cyberlab bénéficie d’un système de camouflage et d’un canon à proton. Sa base secrète se situe au fin fond de l’univers.

Le Cyberlab est un vaisseau très maniable pouvant exécuter des manœuvres délicates. Il dispose du Cosmolem, un petit vaisseau très utile pour les missions sur des planètes.

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En dehors du Capitaine Flam, l’équipage du Cyberlab se compose du professeur Simon Wright dont il ne reste plus que le cerveau ambulant, du robot Crag, de l’humanoïde synthétique Maia, de l’agent secret Johann Landor et de Ken Scott, un jeune orphelin.

Le Cyberlab apparaît dans la série de dessins animés japonais CAPITAINE FLAM (1978).

- Morbius – (morbius501@gmail.com)

Autres vaisseaux présentés dans la catégorie Vaisseaux SF :

Croiseur C-57D / Valley Forge / Discovery One / Fusée du Choc des Mondes /Astroforteresse Galactica / Aigle / Nostromo / Andromeda Ascendant / Serenity /Jupiter 2 / Moya / Vaisseau de Les Premiers Hommes dans la Lune / Lexx / USS Enterprise NCC-1701-D / Destinée / USS Cygnus / Soucoupe de Klaatu / Tardis /Starfury / Liberator / Viper / Thunderbird 3 / Excalibur / Starbug / Vaisseaux des Visiteurs / Sulaco / Event Horizon / BTA Fighter / Odysseus / Moonbase Interceptor /Thunder Fighter / Vaisseau martien /Prometheus / Vaisseau du film Le Guerrier de l’Espace / Nell / Vaisseau du film Explorers / Vaisseau-mère de Rencontres du Troisième Type / Vaisseau du capitaine Yop Solo / Vaisseau de Flesh Gordon / Gunstar / Rodger Young /Liberty 1 (Icarus) / Vaisseau des Maîtres du Temps / NSA Protector / Vaisseau darien / Vaisseau de Saturn 3 /Valkyrie / Ajax / Orion III / Vaisseau d’E.T. / Vaisseau de The Thing / Avalon / Transporcherie / Intruder XB982 / USCSS Covenant / USS Orville

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VALÉRIAN – L’anime

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Diffusé entre le 20 octobre 2007 et le 5 mars 2008, VALÉRIAN ET LAURELINE est un anime franco-japonais librement inspiré des BD et comptant 40 épisodes de 23 minutes. La série est le fruit d’un partenariat entre l’éditeur Dargaud, les studios japonais Statelight et Europacorp de Luc Besson.

Des essais pour un dessin animé inspiré des albums de Valérian avaient déjà été menés dès 1976 mais n’avaient pas abouti. C’est en 2005 que l’anime a commencé à prendre forme avant une diffusion dès 2007. L’ensemble s’avère très agréable à regarder même si les personnages sont loin de ressembler à ceux de la bande dessinée. La série mêle à la fois l’animation traditionnelle et la 3D. Voici le premier épisode…

- Morbius -

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INDIANA JONES DE RETOUR EN FAN FILM ANIMÉ

Et ça donne envie ! C’est à Patrick Shoenmaker que l’on doit cette sorte de bande-annonce d’une éventuelle série animée intitulée THE ADVENTURES OF INDIANA JONES. En moins d’une minute, on y retrouve avec plaisir tout ce qui fait l’aventure, le mystère, le charme et l’action de la franchise INDIANA JONES. On ne peut qu’espérer la mise en chantier d’une série de dessins animés dédiée à l’univers de notre aventurier préféré, ce serait génial !

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LA SF À YOM – La science-fiction de notre enfance

Yom a une passion : la science-fiction, SA science-fiction ! Films, séries télévisées, dessins animés, comics, serials… sur sa page Facebook, tout y passe, « juste pour le plaisir » nous dit-il. Et pour notre plaisir, Yom nous permet de publier ici certaines de ses critiques, de ses réflexions, de ses opinions, de ses pensées ou de ses interrogations. Aujourd’hui :

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LA SCIENCE-FICTION DE NOTRE ENFANCE

Je pense surtout à la science-fiction de mon enfance, parce que finalement je ne peux pas savoir quand se situe la vôtre.

Alors à qui je pense quand je pense à la SF pendant mes jeunes années ? Je vais forcément en oublier, mais c’est IL ÉTAIT UNE FOIS L’ESPACE, COBRA, CAPITAINE FLAM, ULYSSE 31, ALBATOR, JAYCE ET LE CONQUÉRANT DE LA LUMIÈRE, GOLDORAK, LES COSMOCATS… et je suis sur d’en oublier. Alors je ne vais pas vous parler de tout ça (internet vous permet d’en savoir beaucoup), mais plutôt vous donner mon top 3 dans toutes ces séries.

16092408434115263614512460 dans Science-fictionJe vais commencer par le 3eme de ce classement. Ce n’est pas ALBATOR, qui passe la plupart de son temps assis dans son fauteuil pendant que l’équipage fait tout le boulot, ce n’est pas GOLDORAK qui a eu bien de la chance que les forces de Véga n’aient jamais eu l’idée d’envoyer tous leurs Golgoths en une seule attaque, ni même les COSMOCATS qui, tout comme Musclor et ses amis, n’ont jamais rien fait de plus que botter les fesses d’ennemis prêts à les tuer, et encore moins Jayce et sa clique qui passent leur temps à fuir les premiers véhicules écologiques, les monstroplantes. Eh bien non, je classe en troisième position CAPITAINE FLAM, inspiré d’un personnage des années 1940 (dans des nouvelles et des romans) et mis en images dans une série animée de 1978.

« Capitaine Flam tu n’es pas pas de notre galaxie… », mouais, si on veut, étant donné qu’il est né en orbite autour de la Lune… Mais bon, mis à part cela, c’est une série de Space Opera digne de ce nom, avec un héros peut-être un peu trop gentil, un peu trop à destination d’un public enfantin. Mais comme je l’étais à l’époque, ça passait bien. Si vous aimez aussi CAPITAINE FLAM, je vous invite à jeter un œil sur cette vidéo qui annonce un court métrage (j’ai beaucoup plus d’informations là dessus, mais j’en parlerai plus une autre fois) :

16092408462315263614512461 dans YomPassons maintenant au second du classement, dans un style Space Opera également, avec une pincée, non, une grosse poignée de Mythologie : ULYSSE 31. Belle série que cette coopération franco-japonaise. Mis à part Nono le petit robot, elle est plus « adulte » que CAPITAINE FLAM. Elle se déroule dans un univers assez déroutant, peuplé de monstres en tous genres (mention spéciale pour les plantes mécaniques qui, si ma mémoire est bonne, doivent apparaître dans l’épisode pilote… ou pas loin…), l’équipage (ou ce qu’il en reste) voyageant dans un vaisseau spatial assez original, sans oublier les petits vaisseaux qui peuvent se lier pour n’en faire qu’un ou se séparer, et l’équipement qui a trop la classe : l’épée-pistolet laser et le bouclier de force. Ça le fait. Allez, une petite vidéo pour la route :

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Et pour finir, le premier du classement, venu de nulle part, c’est COBRA. L’avantage de ce Space Opera (encore ?) sur les autres, c’est qu’il a très bien vieilli. 16092408492915263614512462L’univers est vaste, parfois à mi-chemin entre la Science Fiction et l’Heroic Fantasy, avec de l’action, de l’humour, et l’inoubliable rayon delta (le psychogun pour les intimes). Cobra est tellement toujours d’actualité qu’après la série d’origine en 1982, une nouvelle série animée (inédite) est sortie en 2010, et ça le fait toujours. Je ne peux que vous conseiller de voir ou revoir les deux séries, et je croise les doigts pour que le projet de film mis en route par Alexandre Aja puisse aboutir un jour. En attendant, un petit trailer de la série :

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Alors, là, pour ceux qui suivent, vous vous dites : « Il a oublié IL ÉTAIT UNE FOIS L’ESPACE ! ». Eh bien non. Je ne l’ai pas cité pour laisser un peu de suspens dans le classement, mais j’ai beaucoup d’affection aussi pour cette série qui était à la fois divertissante et éducative, et dont j’adore le design de certains vaisseaux spatiaux, mais qui a étrangement eu moins d’impact sur le grand public que sa grande sœur IL ÉTAIT UNE FOIS LA VIE.

- Yom -

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Planète Interdite / Dragon Ball / Bataille Au-delà des Étoiles / Les Quatre Fantastiques / La Planète des Vampires / Les serials / Le rétrofuturisme / Godzilla

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ROBOT-COOL (38) : GOLDORAK

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C’est à un grand seigneur de la robotique que Les Échos d’Altaïr rendent hommage aujourd’hui : Goldorak !

16012801532615263613930007Il n’y a pas de robot géant qui ait autant de fans chez nous, Français. Et pour cause : il a marqué une génération toute entière de gamins de la fin des années 70 et du début des 80, une génération appelée aujourd’hui « Génération Goldorak ». Sa diffusion à la télévision déclencha une folie sans pareil, à tel point que Goldorak fit la Une de nombreux journaux d’époque, et je ne parle pas que des revues pour enfants. La suite appartient à l’Histoire avec la déferlante des dessins animés japonais qui suivra et qui permettra aux Français de découvrir enfin non seulement les anime mais aussi les mangas.

Goldorak est un robot de combat géant d’origine extraterrestre piloté par le prince de la planète Euphor : Actarus. Le prince, échappé du massacre des habitants de sa planète par les armées de Véga, est parvenu à se réfugier sur la Terre avec Goldorak. Quand il découvre que l’empire de Véga menace à son tour la planète bleue, Actarus décide de la défendre à l’aide de son robot géant. Il affronte ainsi régulièrement les vaisseaux soucoupes, Golgoths, Antéraks et autres robots géants ennemis.

« Haut de 30 mètres et pesant 280 tonnes, Goldorak est un robot de forme humanoïde et cornu. Goldorak est une machine dépourvue de personnalité et pilotée comme un véhicule depuis un poste de pilotage situé dans sa tête. Il semble toutefois avoir un lien particulier avec Actarus, qui lui prodigue parfois des encouragements, et cristallise la haine de ses adversaires tout autant que son pilote. Goldorak se déplace grâce à une soucoupe volante porteuse dans laquelle il s’encastre horizontalement en plein air, et qui se referme sur lui, ne laissant apparaître que le torse et la tête du robot à l’avant de l’engin. Lorsqu’il s’arrime ou se détache de la soucoupe ou utilise ses armes, Actarus tout en actionnant ses commandes, crie le nom de la manœuvre, à l’instar des catcheurs japonais. » (Wikipédia)

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Goldorak, c’est aussi tout un vocabulaire qui lui est propre. Quand Actarus pilote son robot géant en plein combat, il utilise des mots qui déclenchent les actions. Ainsi « Fulguropoing » désigne la manœuvre suivante : « Un des poings de Goldorak est 16012802020615263613930013lancé en direction d’un ennemi. Des pointes jaillisent à l’avant du poing ce qui, combiné avec un mouvement rotatif du poing, permet de pénétrer d’épais blindages. Les poings retournent automatiquement à leur point de départ. » De même, « Cornofulgure » désigne des « éclairs jaillisant des cornes de Goldorak. Cette arme puissante permet en général de terrasser un ennemi affaibli. » Tout ce vocabulaire jouissif qui compte près de 30 mots techniques vous est révélé et détaillé sur ce site.

Quelle est donc votre arme favorite chez le grand Goldo ? En ce qui me concerne il s’agit de l’Astérohache car elle lui permet toujours d’éliminer son adversaire (je me suis d’ailleurs toujours demandé pourquoi il ne l’utilisait pas dès le début…).

Allez, n’ayons pas peur des mots : Goldorak est, et demeurera à jamais, l’un des robots les plus cools de l’histoire de la SF !

- Morbius -

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LA SF À YOM – Dragon Ball

Yom a une passion : la science-fiction, SA science-fiction ! Films, séries télévisées, dessins animés, comics, serials… sur sa page Facebook, tout y passe, « juste pour le plaisir » nous dit-il. Et pour notre plaisir, Yom nous permet de publier ici certaines de ses critiques, de ses réflexions, de ses opinions, de ses pensées ou de ses interrogations. Aujourd’hui :

LA SF À YOM - Dragon Ball dans Anime 15012901151915263612914914

DRAGON BALL

Petit détour par l’œuvre que je n’ai pas mentionnée dans les dessins animés de ma jeunesse, et qui pourtant est bel et bien de la science-fiction, le chef-d’œuvre d’Akira Toriyama : DRAGON BALL !

Alors avant tout, il faut admettre que cette œuvre est un concentré réussi de plusieurs genres : fantastique, action, aventure, science-fiction, comédie, mais nous allons aujourd’hui simplement le classer en SF car on est là pour ça.

Pourquoi de la SF dans DRAGON BALL ? Eh bien parce que ma définition s’y applique : machineries complexes (capsules, véhicules divers et variés, robots, androïdes, cyborgs), extraterrestres, et même des voyages spatiaux sur d’autres planètes. Bref, la totale. Alors bien sur, quand je parle de DRAGON BALL, j’inclus la partie connue comme DRAGON BALL Z en anime (le manga d’origine ne change pas de nom tout le long de l’histoire), partie bien plus fournie en extraterrestres et autres éléments de space opera.

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Akira Toriyama a réussi à rendre tout cet univers crédible, même si je déplore un tout petit peu la montée en puissance exponentielle des héros car j’ai une préférence pour la première partie du manga, avant la Z attitude, et on y trouve des clins d’œil à d’autres œuvres fantastiques ou de science fiction, comme par exemple un robot très ressemblant au Terminator (Sergent Metallic), ou un pseudo monstre de Frankenstein très gentil (Androïd 8)…

15012901182415263612914921 dans YomAutre point qui me plaît là dedans, c’est que finalement le message est toujours optimiste, car même si les combats règlent l’essentiel des conflits, ils permettent aussi de transformer des ennemis en amis, avec ce côté un peu « naïf » et innocent qui me rappelle certaines œuvres de SF des années 50-60 où le but n’était pas de tuer l’ennemi à tout pris (comme c’est aujourd’hui devenu la norme), mais juste de l’empêcher de nuire.

Pour résumer, et pour ceux qui seraient passés à côté de cette œuvre (mais est ce vraiment possible ?), n’hésitez pas à vous lancer dans cette aventure, je pourrais même dire « cette quête », qui en a inspiré beaucoup d’autres après elle.

Par contre, je vous déconseille fortement la suite en anime, DRAGON BALL GT qui a pris une direction très contestable (et qui n’existe pas dans le manga) ainsi que le film de 2009 (DRAGON BALL EVOLUTION) qui dénature également l’oeuvre,

KAMEHAAMEHAAAAAA !

- Yom -



GODAIZER

Si vous êtes un fan des Mecha du genre des MAZINGER Z ou de GOLDORAK, ou même plus récemment du PACIFIC RIM (2013) de Guillermo Del Toro, GODAIZER vous plaira forcément. Ceci d’autant plus que certains blogs anglo-saxons semblent affirmer que Del Toro se serait peut-être inspiré de ce simple court-métrage d’animation diffusé dès 2011 sur Internet pour réaliser certains effets de son célèbre blockbuster.

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Le réalisateur de GODAIZER se nomme Hillary Yeo. Il est professeur d’animation au Lasalle College of Art de Singapour.

14123012333015263612833633 dans Science-fiction« J’ai adoré regarder ULTRAMAN, GODZILLA et les dessins animés japonais avec des super-robots pendant toute mon enfance à Singapour, et ceux-ci ont formé le fondement de mon intérêt pour l’animation » confie Hillary Yeo sur un blog. Et d’enchaîner au sujet de son film : « Je voulais créer un sentiment de nostalgie en contextualisant mon histoire dans un entrepôt abandonné dans lequel de puissants géants sont enfermés, oubliés et négligés par la génération actuelle. J’ai l’habitude de voyager sur les routes de Malaisie et de voir d’immenses champs où de vieux bâtiments sont abandonnés ainsi que de vieilles maisons du style Kampong et je suis toujours frappé par les caractéristiques de ces lieux. Ces sites et ces souvenirs sont ensuite devenus une partie de mes références personnelles pour créer le début de GODAIZER ».

Hillary Yeo a pris quatre années pour réaliser son court-métrage en utilisant une combinaison de logiciels comme Autodesk Maya, Adobe After Effects et Photoshop ainsi que les services d’un concepteur graphique.

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L’intrigue est simple et sans dialogue, et si vous avez vu PACIFIC RIM, il est presque inutile de le résumer tant la lecture en est fluide : Un vieil homme et son petit-fils gardent l’entrepôt où l’ancien robot géant déclassé Godaizer est maintenu. Quand un kaijù est réveillé, il est temps pour Godaizer de se remettre en action et de reprendre du service…

« J’ai toujours aimé l’idée d’être en mesure de raconter une histoire sans avoir à utiliser de dialogues, et où tout est montré de manière implicite. J’ai pris sur moi comme un défi personnel de raconter l’histoire et de présenter les relations entre les personnages uniquement à travers les visuels. » affirme le réalisateur de ce court-métrage d’environ 19 minutes. Et franchement, cela fonctionne très bien tout en lui donnant finalement une dimension universelle mais avec ce petit quelque chose d’artistique et d’asiatique en plus dans l’animation.

GODAIZER a d’ailleurs remporté le prix de la Meilleure Direction Artistique au 3ème Festival de courts-métrages de Singapour en 2011.

- Trapard -



« THE ANGRY RED PLANET » EN VERSION DESSIN ANIMÉ

Film culte réalisé par Ib Melchior, THE ANGRY RED PLANET (1959) est une sympathique série B de science-fiction qui narre l’expédition d’un groupe d’astronautes américains sur Mars. À peine parvenu sur la planète rouge, nos héros vont devoir affronter bien des dangers, notamment une plante carnivore géante, une étrange créature (croisement entre un rat et une chauve-souris !), une sorte de méduse aux dimensions colossales et un Martien énigmatique. Baignant constamment dans une savoureuse ambiance mystérieuse tout en offrant au spectateur des images étranges, THE ANGRY RED PLANET possède un charme désuet particulièrement appréciable pour les fantasticophiles amateurs de ce genre de cinéma.

Un fan a décidé, en 2011, d’en faire sa version animée en trois chapitres d’environ 9 minutes chacun. Le résultat s’avère fort intéressant et plutôt réussi, avec un délicieux aspect comics bien prononcé. L’histoire est reprise en partie, avec quelques rajouts et suppressions. À découvrir !

-Morbius -

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