Arthur C. Clarke a déclaré : « Plus nous allons vite, plus le temps passe lentement. À la vitesse de la lumière, le temps cesse d’exister ; le moment maintenant dure éternellement. »
Albert Einstein, physicien théoricien, a dit : « L’idée que l’ordre et la précision de l’Univers, dans ses aspects innombrables, seraient le résultat d’un hasard aveugle est aussi crédible que si, après l’explosion d’une imprimerie, tous les caractères retombaient à terre dans l’ordre d’un dictionnaire. »
Patrick Baudry, astronaute français du CNES, a déclaré : « Depuis le 19 avril 1971, date du lancement de la première station orbitale par les Soviétiques, nous avons parcouru et parcouru encore cet espace proche, nous y avons mené toutes les expériences scientifiques possibles, pour un résultat bien maigre. Jadis, l’espace était le rêve concrétisé, la nature de l’homme exprimée dans le besoin de connaissances, la survie de l’espèce par la conquête de nouveaux territoires. Après l’orbite basse, après la Lune, il fallait poursuivre la quête, avancer dans l’inconnu, courir vers l’avenir… »
Carl Sagan : « Les animaux et les végétaux des autres mondes n’ont probablement rien de commun avec ce qui nous est familier. Il est possible que, sur certains points, les évolutions aient tendu à des résultats comparables si ceux-ci constituaient les seules bonnes solutions à des problèmes posés par l’environnement [...]. Mais d’une manière générale, et en raison du caractère aléatoire du processus d’évolution, les créatures des autres mondes devraient être quelque chose de totalement inattendu. »
Michel Mayor, astrophysicien suisse, a déclaré : « Le Graal actuel de la recherche d’exoplanètes est de détecter une planète analogue à la Terre, à la distance correcte de son étoile où l’eau peut être liquide à la surface ; on parle de la « zone habitable » d’une planète. »
Nikola Tesla (1856-1943), inventeur et ingénieur américain d’origine serbe, a déclaré : « Communiquer avec les Martiens : en l’état actuel du progrès, il n’y aurait aucun obstacle insurmontable dans la construction d’une machine capable d’envoyer un message sur Mars, pas plus qu’il n’y aurait de difficulté particulière dans l’enregistrement de signaux qui nous seraient transmis par les habitants de cette planète, si tant est qu’ils soient bien d’habiles électriciens. »
Maurice Renard : « L’humanité, ne possédant sur l’univers qu’un petit nombre de lucarnes qui sont nos sens, n’aperçoit de lui qu’un recoin dérisoire. »
Aimé Michel, grand ufologue français, a dit : « L’homme n’est pas un être miraculeux, mais seulement le roi très banal d’une planète banale tournant autour d’un soleil banal, dans un coin banal de notre galaxie. »
En ce qui me concerne, je vole actuellement en direction de Pluton à bord de New Horizons, et ce depuis 2005. Je devrais atteindre en 2015 ce qui n’est plus considéré comme une planète (pff !). Enfin… quand je dis « moi », c’est mon nom (pas mon pseudo Morbius), gravé sur un CD, parmi des milliers d’autres ! J’ai reçu à l’époque mon certificat de la NASA attestant mon grand départ pour la planè… pour le « machin » le plus éloigné du système solaire : Pluton. Eh bien si « vous » aussi souhaitez faire partie d’un prochain vol vers un monde extraterrestre, je vous propose carrément Mars, la fascinante planète rouge ! En effet, c’est à l’automne 2011 qu’un nouveau rover de la NASA, répondant au doux nom de Curiosity, décollera pour Mars. Il atteindra le dieu de la guerre en août 2012. Si vous désirez envoyer votre nom vers les étoiles (songez que si vous ne survivez pas à 2012, il vous survivra, ah, ah, ah !), rendez-vous ici sur le site de Mars Science Laboratory. Cliquez en haut sur « Participate ! » Votre nom sera alors enregistré dans une puce électronique installée sur le rover et vous recevrez votre certificat de participation ! Allez, on se retrouve là-bas, moi j’y suis déjà (pas sur Mars, sur la puce).