En 2011, j’écrivais un billet intitulé « 10 mauvaises résolutions, et une très mauvaise année à… » Je me suis dit que les temps actuels s’y prêtaient encore mieux ! Alors pourquoi pas récidiver de plus belle ? Accrochez vos ceintures car je me lâche sans retenue…
Voici donc mes résolutions pour 2024 :
Et maintenant mes vœux. Je souhaite donc une très mauvaise année :
Mis à part ça, pour tous les autres, je vous souhaite une très bonne et heureuse année 2024 !
- Morbius – (morbius501@gmail.com)
Je tenais à partager avec vous mon expérience récente avec une IA, plus précisément Bing Image Creator. Si vous avez suivi sur le blog ces dernières semaines le récit visuel « Aux confins de Noachis Terra » en cinq chapitres, vous vous êtes forcément rendu compte de l’étendu des possibilités incroyables de cette intelligence artificielle créatrice d’images. Une IA aux services d’un blog qui se consacre à la SF et dont le pouvoir est de décupler votre imagination en vous motivant sans cesse, en vous satisfaisant au-delà de vos espérances et en orientant la tournure du récit, c’est tout cela, et plus encore, dont j’aimerais à présent vous parler.
Aux origines, une image sur Facebook
Tout est parti d’une image publiée sur une page Facebook et sur laquelle je suis tombé par hasard. Je ne me rappelle plus exactement, mais il me semble qu’il s’agissait d’un sous-marin steampunk. Épaté, j’ai découvert que l’IA Bing Image Creator en était à l’origine. Si j’avais déjà testé ChatGPT et DALL-E, ce n’était pas encore le cas pour Bing. La gratuité du site m’a permis de m’essayer à quelques délires visuels. Et c’est là que j’ai découvert les étonnantes capacités de Bing Image Creator, à des années lumières de DALL-E et de ses pitoyables brouillons graphiques !
Du steampunk à n’en plus finir
Il suffisait de demander et l’IA mettait en image mes pensées les plus folles ! Enfin… pas toutes quand même car il y a bien sûr un règlement à ne pas enfreindre plusieurs fois sous peine d’être expulsé, et j’ai également été confronté à plusieurs bugs imbéciles dont je vous parlerai plus tard…
J’ai donc poursuivi dans mes délires steampunk car le rendu était absolument magnifique, très crédible visuellement. C’est ainsi que je me suis amusé à créer, au départ, des images de vaisseaux steampunk posés sur des planètes inconnues. Et plus je créais plus j’étais impressionné par la qualité de l’impact visuel. De fil en aiguille j’ai poursuivi indéfiniment, m’aventurant de plus en plus loin dans mes fantasmes imaginaires, décidant de placer du steampunk sur la planète Mars.
Une histoire prend forme
Une histoire a commencé à prendre forme dans ma tête car impossible, en ce qui me concerne, de ne pas rêver en voyant toutes les images qui apparaissaient au fil de mes requêtes ! Sachez qu’une image peut m’emmener très loin, me transporter, faire naître en moi des idées, des trames, me donner envie d’écrire. Et celles de Bing Image Creator ont clairement ce don. J’ai donc pensé à cette histoire de colons installés sur Mars, ces mineurs qui travaillaient depuis des décennies à l’extraction de minerais, à cette planète rouge encore bien peu explorée, à ses mystères, à cet explorateur parti mener une enquête basée sur un étrange témoignage. Mais tout cela n’est réellement dû qu’à un heureux hasard ! Les centaines d’images que j’ai obtenues n’étaient que le résultat de mes nombreux tests. Par exemple, bien avant d’avoir une vague idée de la trame, je demandais à Bing Image Creator de me créer des mineurs en train de travailler dans des mines martiennes, juste pour voir le résultat, des villes steampunk sous dôme, des plantes extraterrestres poussant dans une oasis martienne, etc. Et c’est là que je me suis dit, tiens, pourquoi pas écrire un récit ?…
Pourquoi du steampunk ?
Tout simplement parce que j’étais de plein pied plongé dans le genre depuis mon arrivée sur Bing Image Creator et que je trouvais l’idée assez sympatoche de voir des gens du XIXe prendre possession de Mars ! En plus, le délire visuel propre au steampunk se prêtait particulièrement bien à l’histoire et, de surcroit, l’IA était visiblement très à l’aise dans ce genre pour me donner parfaite satisfaction, allant souvent bien au-delà de ce que j’attendais, notamment dans la création des villes steampunk, des aéronefs, des bibliothèques des colons.
Merci Powerpoint
Je me suis naturellement demandé comment présenter ce récit martien steampunk sur le blog. J’ai donc décidé d’utiliser Powerpoint pour présenter les images et surtout pour y incruster du texte, cette méthode me paraissant la plus pratique. Ce n’était pas toujours facile car il me fallait souvent jongler entre un texte de couleur blanche ou un autre de couleur noire afin qu’il demeure lisible. Malgré cela, j’ai pu constater l’inconfort de lecture dans bien des images… Ensuite, une fois l’image et le texte insérés, je procédais à une capture d’écran et rognait l’image qui finissait quelque peu réduite pour apparaître sur le blog.
Je ne suis pas un écrivain
Écrire une histoire nécessite un certain talent. Je ne suis et ne serai jamais un écrivain. Lorsque je me lance dans une histoire, sur ce blog ou sur Le Club des Entités de la 13e Dimension, j’ai bien conscience de mes limites. Par exemple, formuler clairement une phrase sans trop l’alourdir s’avère une véritable épreuve de force en ce qui me concerne. J’ai eu beaucoup de mal à jongler avec le passé simple et l’imparfait, parfois même, horreur, avec l’imparfait du subjonctif (si, si, utilisé une ou deux fois seulement…). Mais comme le texte importait moins que les images (n’oublions pas qu’il s’agit ici d’un « récit visuel » comme j’aime ainsi l’appeler), je pense m’en être à peu près sorti sans trop de casse… J’ai voulu m’amuser avec cette histoire et surtout me plonger dans cet univers steampunk que j’affectionne tant en dehors de la SF.
L’influence des images
Beaucoup d’images créées par l’IA m’ont influencé dans la tournure du récit ou ont tout simplement bouleversé l’orientation de l’histoire, car le résultat n’était pas toujours celui que j’attendais mais parvenait cependant à me combler amplement. Je veux pour exemple le chapitre intitulé « L’oasis » où je suis tombé plusieurs fois à la renverse tant la beauté des images était fulgurante ! Parfois les images me guidaient vers une certaine tournure du récit, parfois, au contraire, elles n’étaient pas à la hauteur de ce que j’avais espéré et dans ce cas je devais rectifier la progression de l’histoire.
Les incohérences du récit
Il y en a forcément, et vous les avez sans aucun doute relevées, surtout dans le dernier chapitre dont je ne suis absolument pas satisfait. L’histoire s’écrivait au fur et à mesure de mon inspiration, il n’y a jamais eu de trame, je ne travaille jamais ainsi dans mes récits. Je n’aime pas brider mon imagination car j’apprécie les renversements de situation. Je suis conscient des risques, mais peu importe !
Une fin différente
J’avais le choix entre une histoire qui se termine bien et une histoire qui se termine mal. Original, hein ? J’ai d’abord opté pour une fin positive. Puis j’ai viré vers une fin catastrophe où le héros explorateur, manipulé génétiquement à son insu par les Martiens, devenait progressivement lui-même un Martien prêt à tout pour aider cette civilisation extraterrestre mourante. Il détruisait les villes des colons, permettait aux Martiens survivants de quitter Mars pour finalement rejoindre la Terre où l’on assistait à une invasion de grande envergure. Je suis finalement revenu à une fin plus douce…
Les bugs
Pour travailler avec Bing Image Creator, j’aimais souvent ne pas être tout à fait précis dans mes descriptions, me permettant d’obtenir ainsi des résultats parfois surprenants ou inespérés ! Et c’est là qu’ils pouvaient orienter la suite du récit ! Mais parfois aussi l’imprécision ou la formulation pouvait apparemment interroger l’IA. Par exemple, j’ai beaucoup ri après avoir obtenu l’image des Martiens se déplaçant sur une barque. Bing Image Creator a pris au pied de la lettre ce que je lui demandais : « Des Martiens masqués, habillés de vêtements amples et flottants, se déplacent sur une barque sur une rivière entourée de murs électroniques ». Elle m’a donc représenté des Martiens marchant sur leur propre barque, puisqu’ils se « déplacent » sur une barque !…
À l’inverse, l’IA m’a parfois refusé la création de certaines images pourtant tout à fait inoffensives visuellement ! Ainsi, lorsque j’ai voulu obtenir « Un taxi version steampunk circulant dans une ville steampunk avec des passagers à bord », un avertissement est apparu, refusant ma requête ! J’ai recommencé : même avertissement. J’ai re-recommencé : même avertissement. Je n’ai pas insisté davantage sous la menace de voir mon compte disparaître définitivement…
L’IA Bing Image Creator est parfaitement incapable de recréer deux fois le même visage ou personnage. Voilà pourquoi vous n’avez jamais vu de face l’explorateur héros de Noachis Terra, il aurait eu un visage (et un accoutrement) différent à chaque image ! Par contre, je suis plutôt fier de moi lorsqu’il a fallu que je représente en image, pour de « vrai », les créatures dessinées par Woodlong dans ses carnets. Je me suis tellement appliqué à les décrire que l’IA est presque parvenue à me les recréer texto ! J’étais comblé !
Mars ne possédant que deux satellites, Phobos et Deimos, j’étais régulièrement obligé de le rappeler à l’IA qui aimait me remplir le ciel martien de nombreuses planètes de toutes tailles (parfois même de toutes formes…) ! Mais rien à faire : elle persistait toujours ! Il m’a fallu malheureusement éliminer bien des images qui ne respectaient pas un minimum la réalité scientifique. De même, il fallait être parfois très précis dans les requêtes ou insister lourdement, du genre « Une ville steampunk sur Mars se dresse en plein désert martien« , sinon le résultat n’était pas toujours au rendez-vous.
Des essais sur d’autres IA
J’ai essayé d’autres IA créatrices d’images (Canva, Adobe Firefly, Craiyon…) surtout lorsque j’ai commencé à épuiser les points que Bing Image Creator m’accordait dès le départ (100 points, renouvelables quotidiennement, puis 50, puis 15). Quand le nombre de points est épuisé, les images créées mettent plus de temps à apparaître. Mais je n’ai jamais retrouvé des images aussi belles que celles que me proposait Bing Image Creator, sauf peut-être sur Canva. En outre, toutes les autres IA deviennent payantes à un moment, ce n’est pas le cas de Bing.
Un autre récit visuel prochainement ?
Je possède déjà en réserve près de 200 nouvelles images de pure SF high-tech, cette fois-ci, pour une éventuelle prochaine histoire. Par contre, j’avoue avoir beaucoup de mal à trouver une intrigue originale, malgré la beauté des créations de l’IA. Je vais continuer à la solliciter pour obtenir encore plus d’idées et d’inspiration à travers des visions de rêve. Je vais laisser mûrir le tout, et quand le temps viendra, quand je me sentirai prêt, je me lancerai sans doute à l’aventure… Je pense aussi procéder à la façon d’une BD, cette fois-ci, avec des bulles blanches qui contiendront le texte. On verra.
Conclusion
J’ai été totalement conquis par l’IA Bing Image Creator ! Ses possibilités sont immenses et elle peut vous proposer des dizaines et des dizaines d’images de toute beauté sur une même description. Ce fut une expérience absolument passionnante, très enrichissante, qui m’a donné sans cesse envie de poursuivre, d’aller plus loin, aux confins même de Noachis Terra !
- Morbius (morbius501@gmail.com) -
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On ne se voit plus très souvent, c’est le moins que l’on puisse dire. Nos rendez-vous altaïriens s’espacent de plus en plus, s’étirant longuement dans le temps comme progressivement absorbés par un trou noir. Le néant nous guette, s’il n’est déjà là, entrainant avec lui nos dernières illusions, nos derniers espoirs et nos dernières volontés. Et pourtant, ce n’est pas l’actualité qui fait défaut pour alimenter un blog comme le nôtre ! Alors on en revient toujours à cette même question : mais que se passe-t-il donc ?
Il se passe que le temps passe et qu’avec lui une certaine lassitude, ou monotonie, s’instaure au fil des ans, malheureusement. On n’éprouve plus le même engouement pour écrire, la même envie de partager ou de débattre. D’autant plus qu’aujourd’hui le débat mène davantage à la confrontation qu’à la discussion.
Il se passe que des événements se produisent au fil du temps, qu’ils interfèrent en bien ou en mal sur la suite d’autres événements. Ce que l’on croyait facile devient difficile. De même, ce que l’on croyait possible devient impossible.
Il se passe que la vie ne se résume pas à écrire des articles pour des blogs, qu’à 56 ans bientôt je me découvre, depuis quelques années, une incroyable passion pour mon métier d’enseignant, incroyable passion qui n’en finit pas de grandir alors que je devrais déjà plutôt songer à la retraite, après 31 ans de métier… retraite que je compte bien repousser au fil des ans… En effet, je n’ai pas encore envie de partir, même si bien des nuages assombrissent chaque année un peu plus le tableau. Cette redécouverte de mon métier est due simplement au fait que j’expérimente chaque année de nouvelles méthodes en classe, de nouveaux fonctionnements, de nouveaux projets, et c’est absolument passionnant à mener mais très long à mettre en place !
Alors je me dis que j’aurai bien du temps à consacrer aux blogs lorsque, enfin, j’aurai posé le point final à ma carrière. Dès lors, je pourrai me donner à corps perdu (enfin… presque…) aux Échos d’Altaïr, à CosmoFiction et au Club des Entités de la 13e Dimension ! Raison pour laquelle je n’ai pas supprimé ces deux derniers sites malgré l’infâme et sournoise tentation qui s’était emparée de moi il y a quelque temps à peine. J’avais même songé à rapatrier toutes leurs publications ici-même, sur ce blog. Pourquoi pas ? Un jour, peut-être. Encore une fois : le temps nous le dira !
Mais bon, toutes ces raisons concernant désormais le peu de publications, je vous les ai déjà exposées à maintes reprises. Il est grand temps de passer à autre chose, ce que nous verrons demain où je vous parlerai de mes derniers coups de cœur et coups de gueule en matière de séries TV…
- Morbius – (morbius501@gmail.com)
Nous y voilà, 2009-2019 : 10 ans… Les Échos d’Altaïr célèbrent leur première décennie aujourd’hui… Le temps nous a accompagné jusqu’à cette époque torturée et révoltée, celle où tous les espoirs sont permis mais aussi toutes les craintes, surtout les plus grandes. Il faut s’y habituer, la science-fiction devient chaque jour un peu plus réalité, et malheureusement ses pires cauchemars prennent forme devant nos yeux incrédules, lentement mais sûrement. « Là où le rêve et la réalité se confondent… », nous le vivons désormais au quotidien, pour le meilleur et pour le pire.
10 ans d’Échos d’Altaïr et plus de 2 850 publications à ce jour, qui vont de l’article à la photo en passant par le dossier ou le billet d’humeur…
10 ans et des contributeurs de Nouvelle-Calédonie, de France et de Belgique, des participants qui ont œuvré ou qui œuvrent encore pour le blog, qu’il s’agisse de Trapard, Marie-Laure, Antipathes, Carine, Di Vinz, Skarn, Tom, Erwelyn, Axel, Flynn, Yom, Buliwyf, Art Pour, TheSFavenger…
10 ans de passion inébranlable pour l’Imaginaire sous ses genres les plus divers : Science-Fiction, Fantastique, Fantasy, Horreur, Épouvante…
10 ans et des merveilles accomplies, des partages fabuleux, des articles passionnés, mais aussi des espoirs déçus, des moments de découragement et des envies de tout abandonner…
10 ans à brasser cinéma, séries télévisées, littérature, bandes dessinées, arts graphiques, musiques de films, affiches, courts métrages amateurs, interviews, mangas, jeux vidéo, papertoys, ufologie, cryptozoologie, et on en oublie…
10 ans à explorer les contrées les plus reculées de l’espace comme les châteaux les plus hantés ou les esprits les plus tordus, à recenser robots et monstres de toutes sortes, à décortiquer fusées, soucoupes et vaisseaux de toutes technologies, à s’attarder sur les vêtements ou les personnalités de nos héros…
10 ans à explorer genres et sous-genres, recoins marginaux ou inconnus, œuvres singulières ou rares du cinéma bis international sous l’œil expert de Trapard…
10 ans à soutenir associations, communautés, presse écrite et publications amateures, à donner la parole aux geeks de tous bords, aux fantasticophiles et imaginophiles de toutes espèces…
10 ans à vous prouver que la culture de l’Imaginaire a un passé qu’il ne faut surtout pas oublier, une histoire qui s’étale sur des siècles, que chaque oeuvre a sa place ici, qu’elle appartienne à hier ou aujourd’hui…
10 ans à tenter de vous faire rêver, cauchemarder, découvrir, réfléchir, vous interroger sur des œuvres, des thèmes, des auteurs, des cinéastes…
10 ans à parfois passer nos soirées, nos weekends, nos vacances à écrire pour vous par plaisir, par envie, par nécessité…
10 ans à nous faire plaisir en écrivant sur ce qu’on veut, quand on veut, comme on veut, en agissant librement, sans contrainte ni censure…
10 ans à tenter d’occuper une petite, toute petite place, dans votre vie de rêveur éveillé, d’explorateur de l’Imaginaire jamais rassasié…
Merci à vous de nous suivre et de nous faire connaître…
Rendez-vous dans 10 ans, à nouveau, on l’espère, pour les 20 ans du blog…
- Morbius (morbius501@gmail.com)
Crisse comptait parmi les invités du Week-End Geek 2019, Trapard en a donc profité pour lui demander un dessin pour le blog. On les remercie tous les deux !
Comme promis, voici l’album photo altaïrien du WEG 2019.
(Photos de Trapard et de Morbius, pour les deux dernières)
Le Week-End Geek 2019 aura été un grand succès, incontestablement, et Les Échos d’Altaïr eurent la chance d’être de la partie durant les deux premières journées. Petit bilan en ce qui nous concerne…
Être présent au Week-End Geek est toujours un privilège. Nous en profitons tout de suite pour remercier le Sci-Fi Club de nous y avoir invité car ce fut, au final, deux belles journées, même si le stand du blog n’a pas connu autant d’affluence que les années précédentes. Et pourtant nous étions plutôt bien placés, juste en face de Didier Crisse et Dean Rankine ! D’ailleurs les files d’attente démarraient sur le côté droit du stand ! Serions-nous si célèbres que les geeks calédoniens n’ont plus besoin de savoir ce que sont Les Échos d’Altaïr ? À moins que nous les ayons effrayés, Trapard, Antipathes et moi (ce qui ne m’étonnerait pas) !
Certains sont tout de même venus courageusement au stand récupérer à la volée un flyer et/ou un CosmoFiction édition spéciale WEG. Certains ont même accepté que l’on s’adresse à eux pour leur parler un peu des Échos d’Altaïr, de CosmoFiction et du Club des Entités de la 13e Dimension. Rares sont ceux qui osaient nous poser des questions. Beaucoup découvraient, forcément, que Les Échos d’Altaïr allaient fêter leurs 10 ans cette année, le 15 décembre précisément.
« 10 ANS ?!!! NOOOONNN !!! Incroyable ! Mais je n’ai jamais entendu parler de vous ! »
Ben non, m’sieur, désolé. Qui parle de nous mis à part nous : PERSONNE ! Et pas même les Altaïriens eux-mêmes qui semblent parfois comme atteints par une maladie honteuse ! Chut !!! Les Échos, on aime bien, mais faut pas trop leur dire et leur faire de pub quand même, hein ! C’est d’ailleurs pour ça qu’on les appelle Les Échos, parce que ça résonne. « Y a quelqu’un ?… Non, y a personne !… »
Nous aurons tout de même eu la chance de rencontrer un passionné d’Imaginaire fraîchement débarqué sur le Caillou et qui s’est proposé, de lui-même, de participer au blog ! En plus, c’est un gamer, ce qui nous manquait cruellement sur Altaïr IV ! Notre nouveau participant devrait faire ses premiers pas sur le sol altaïrien d’ici quelques petites semaines. Croisons les doigts pour qu’il n’ait pas changé d’avis entre-temps ou pour qu’il ne soit pas atteint, lui aussi, par cette maladie honteuse…
En tout cas, un très grand merci à Trapard et Antipathes pour leur présence au stand toujours fort appréciée, merci pour les photos et les dédicaces récoltées par l’ami Trapard, merci pour les interminables discussions avec Antipathes, heureux éternel sceptique.
Un album photo du WEG suivra prochainement. Allez, on repart vite fait dans l’oubli ! À plus !
- Morbius – (morbius501@gmail.com)