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Archive pour la catégorie « Science-fiction »

D’HIER ET DE DEMAIN – de Kevin Gallot

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D’Hier et de Demain est un recueil de nouvelles essentiellement de science-fiction et de fantastique, qui font voyager le lecteur à travers de nombreux univers teintés de réalité virtuelle, de robots et de conquête spatiale, en passant par la rencontre de races extraterrestres atypiques, de dragons ou de peuples du passé. Vous vous questionnerez, serez surpris, vous vous interrogerez sur l’avenir de l’Humanité et de l’univers, voire leur passé. Mais surtout, vous rêverez.

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L’auteur Kévin GALLOT invite le lecteur, dans ce recueil de nouvelles tout public, à être captivé par des intrigues toutes plus surprenantes les unes que les autres, dans lesquelles évoluent des personnages colorés mais différents, via des questionnements philosophico-éthiques sur l’Humanité, l’Univers et la Vie en général. L’anticipation est de mise. Les chutes de chaque nouvelle font exploser les pensées du lecteur.

La Maison du Livre de la Nouvelle-Calédonie, le Sci-Fi Club NC, les éditions Via Fabula, les éditions Calliope-Alsace, et la communauté d’auteurs Plume d’Argent ont récompensé des nouvelles de ce recueil. D’Hier et de Demain est la deuxième publication de Kévin GALLOT après Le Monde d’Ander aux éditions Edilivre.

- Publifan -

 

 



FEUILLETS D’HYPNOS – Robert Silverberg -2-

FEUILLETS D'HYPNOS - Robert Silverberg -2- dans Feuillets d'Hypnos 14072703494415263612413227

ROBERT SILVERBERG

ou le météore solitaire

- deuxième partie -

La première partie est disponible ICI.

(texte écrit par Mandragore au début des années 1990)

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Son œuvre

Pour les uns, l’œuvre de Robert Silverberg s’articulerait autour du thème de l’homme transformé en monstre par des extraterrestres ou par l’exercice du pouvoir. Pour les autres, elle se fonderait davantage sur le voyage intérieur, la quête, le messianisme. Nous retiendrons, quant à nous, une troisième perspective. L’écheveau complexe des textes de RS nous semble répondre à une fonction commune : permettre à l’auteur d’aborder sous des angles variés le problème de la communication.

« Ton univers impitoyable »

Nv3cNb-3 dans Science-fictionRS nous présente souvent un monde trompeur où la liberté de mouvement contraste violemment avec le cloisonnement des esprits, scène dont les principaux personnages ne parviennent pas à vaincre leur isolement, refusant toute mansuétude et suscitant autour d’eux un lugubre commerce de sentiments. Dans « Warm Man » (« La Sangsue »), David Hallihan se nourrit comme un parasite des tourments de ceux qui l’entourent. Dans « The Pain peddlers » (« La Souffrance paie »), les réseaux de télévision s’efforcent de fournir à leur public la douleur qu’il réclame. Et « To see the Invisible Man » présente une société ayant instauré l’invisibilité comme mode de répression : les condamnés sont ainsi réduits à l’état de fantômes et il est formellement interdit à quiconque de leur adresser la parole, sous peine d’être condamné au même sort !

Ix3cNb-3« Thorns » (« Un Jeu cruel ») reprend aussi ce thème vampirique obsessionnel et – il faut bien le dire ! -nettement masochiste : Minner Buris, astronaute devenu un monstre depuis que des E.T. ont reconstruit son corps, parcourt la Terre en compagnie de Lona Kelvin, une jeune fille, mère de centuplés pour les besoins d’une expérience, tandis qu’un organisateur de spectacles gobe littéralement les tensions engendrées par ce couple insolite. La carapace de Burris y symbolise l’écorce physique, psychologique, sociale, de chacun d’entre nous, cette barrière qui recouvre les êtres humains et entrave leurs rapports.

Dans « The Man in the maze » (« L’Homme dans le labyrinthe »), il exploite plus brillamment encore ce point de vue : un nommé Muller a subi, sur une planète mystérieuse, une altération mentale, de telle sorte que nul ne peut l’approcher sans ressentir une implacable vague de dégoût. Comme si son esprit exhalait toutes les fautes de l’humanité. Muller s’est donc retranché dans une ville-piège abandonnée par une race disparue. Mais, un jour, la Terre a besoin de lui et envoie une équipe pour le convaincre de sortir. On assiste alors à une double et coûteuse conquête : celle, physique, du labyrinthe hostile de Lemnos, et celle, psychologique, de Muller dont l’esprit est tout aussi barricadé.

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Pour lui, l’homme est « la race la plus méprisable de l’univers, parce qu’il est faux, orgueilleux, superficiel et incapable d’attribuer une âme à ce qui ne lui ressemble pas ». Le drame des apparences conduit aux génocides. Une aversion qui se prolonge également dans le sexe et la mort. L’orgasme et la vie ne sont que des leurres, de brèves et cruelles promesses jamais tenues, qui font entrevoir l’espoir d’une fusion totale. Dans « Le Livre des Crânes » (« The Book of Skulls »), l’immortalité revient à celui qui renonce à la chair puante et vile, à un être tourmenté par une homosexualité qui masque une quête de soi, un égo replié ivre de sa propre image.

Une philosophie rédemptioniste

c23cNb-3Pourtant, la générosité, le don, le sacrifice, ne sont pas lettre morte. Surgissent parfois des messies insensés. Ainsi, dans « The Time of changes » (« Le Temps des changements »), Kinnal Darival lutte pour combattre les tabous d’une société qui interdit l’expression du moi. Il trouvera la mort mais son action permettra néanmoins l’avènement d’une révolution qui redonnera leur identité aux habitants de la planète et instaurera une ère de fraternité.

« Downward to the Earth » (« Les Profondeurs de la Terre ») se situe, lui, sur la planète Belzégor, recouverte d’une immense jungle que se partagent deux races : les Nildoriens, qui ressemblent à des éléphants et les Sulidoriens de type humanoïde. Un Terrien, son ancien administrateur colonial, Edmund Gundersen, débarque sur Belzégor, devenue indépendante, dans l’espoir de racheter ses fautes et de participer à la mystérieuse cérémonie de la Renaissance dont ses compatriotes n’ont jamais pu percer le secret.

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Perdre sa vie, renoncer à soi, tel est le prix à payer pour n’être plus seuls. La désunion, le corporatisme outrancier sont toujours synonymes de malheur, d’enfermement morbide. C’est pourquoi, dans « Nightwings », les habitants d’une Terre dévastée, répartis en guildes hermétiques, ne peuvent repousser une invasion d’humanoïdes venus prendre possession Z63cNb-3de la planète après l’avoir achetée. Une manière pour RS de transposer le « flower power » des années hippies. Il reviendra avec « Les Monades urbaines » à un style plus prosaïque, plus amer. Même doué de la faculté de prévoir l’avenir, tel Lew Nichols dans « L’Homme Stochastique », les êtres humains ne peuvent maîtriser le monde. Rien n’est gratuit. Acquérir revient toujours à se déposséder. Le narrateur de « Push no more » (« Pousser ou grandir ») le sait bien, lui, qui perd son don télékinétique suite à sa première expérience amoureuse (toujours cette aversion de RS pour un acte castrateur !). Le télépathe de « Dying Inside » (« L’Oreille interne »), entre visionnaire cosmique et voyeur dégoûté, voit certes se tarir son pouvoir, mais ce qui disparait aussi ainsi c’est « tout ce qui l’a séparé de ses semblables et voué à une vie sans amour ». Une lucidité trop aiguë nous empêche d’être heureux. La confiance ne peut naître et perdurer qu’avec une dose certaine d’ignorance. Au royaume des aveugles, les borgnes sont des rois, oui, mais des rois tristes !

- Mandragore -

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FEUILLETS D’HYPNOS – Robert Silverberg -1-

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ROBERT SILVERBERG

ou le météore solitaire

- première partie -

(texte écrit par Mandragore au début des années 1990)

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Sa vie

Robert Silverberg n’a pas conservé de son enfance un souvenir idyllique : il tombait souvent malade et trouvait son physique ingrat. Il est confronté, très tôt, enfin, à une solitude dont son œuvre à venir portera la marque.

Étranger en terre étrangère

RS est né à New York, dans le quartier de Brooklyn, en 1935. Son père, descendant d’une vieille famille juive d’Europe orientale, exerce la profession d’expert-comptable. Il y consacre la majeure partie de son temps. Sa mère, enseignante, le confie à une aïeule qui l’élève, aidée d’une domestique. Rejeté par des parents pris par leur métier, écarté par des camarades de classe qui le considèrent comme un agaçant « petit génie », il fait de sa chambre un antre-refuge plein à craquer de timbres, de pièces de monnaie, de papillons, de criquets, d’albums et – déjà ! – d’historiettes composées sur une vénérable machine à écrire.

On lui offre à huit ans un abonnement au « National Geographic Magazine ». Cette célèbre revue le subjugue. Elle scellera durablement son amour des contrées lointaines, de l’étrange. Il devient un spécialiste du passé de la Terre. Ne rend-t-il pas chaque semaine aux monstrueux squelettes géants au « Musée Américain d’Histoire Naturelle » ?

LphcNb-3 dans Science-fictionAu seuil de son dixième anniversaire, il découvre, ébloui, Jules Verne et H.G. Wells, avec une préférence marquée pour « La Machine à explorer le temps ». Ses romans et nouvelles ont d’ailleurs la part belle aux voyages temporels. Familier, plus tard, d’ « Amazing Stories » et de « Weird Tales », il dévore les anthologies spécialisées. Il éprouve un choc mémorable à la lecture de « Rien qu’un surhomme » d’Olaf Stapledon. Lui, l’enfant trop brillant, quasi-mutant exilé dans ses livres, s’identifie parfaitement à cet « Odd (singulier, bizarre) John » (titre original).

Le fanzineux s’émancipe

qshcNb-3Il rêve de devenir un jour botaniste, paléontologue ou astronome mais, dans le même temps, ne cesse d’écrire et de publier dans de petits magazines scolaires et dans une revue qu’il édite lui-même. Il envoie à quatorze ans quelques manuscrits à ses grands aînés qui, tout en refusant ses gammes malhabiles, reconnaissent sa précocité extraordinaire, corrigent son style et ses intrigues. RS perd peu à peu sa silhouette d’adolescent chétif et replié. Il retarde délibérément son entrée à l’Université de Columbia, pour participer successivement à deux camps d’été, sortes de colonies de vacances, qui l’ouvrent à la vie. Il se fait docker, sur les quais de Brooklyn, avant d’explorer, dans le désordre, les vertus respectives de Joyce, Sartre et Kafka, des femmes et de… l’alcool ! La revue anglaise « Nebula » publie en février 1954, sa nouvelle « Gorgon Planet ». Il reçoit, simultanément, le contrat d’édition de son premier roman : « Revolt on Alpha C ». Il n’a pas encore dix-neuf ans !

Négrier du space opera

VuhcNb-3RS s’aperçoit vite que sa production ne se vend qu’à une condition : répondre aux stéréotypes naïfs du space opera. Résolu à préserver, coûte que coûte, ce qui est devenu son gagne-pain, il écrit désormais sur commande, en collaboration avec Randall Garrett, dès 1955, sous le pseudonyme de Robert Randall. L’association d’un conteur efficace et d’un débutant à l’imagination fertile fait merveille. Le voici introduit dans le petit monde de la SF, côtoyant ses anciens dieux. C’est le début d’une logorrhée inquiétante : SF, Fantastique, Policier, Westerns et même… profils de vedettes ! Désireux d’assurer sa sécurité financière, RS adopte un rythme de travail industriel. Ses amis lui reprochent alors son manque d’ambition littéraire. Cette optique par trop « commerciale » ne l’empêche pas de décrocher en 1956 le prestigieux Prix Hugo. Il est devenu à 20 ans « l’écrivain de SF le plus prometteur de son temps ».

Robert l’éclectique et Robert le meurtri

À la fin des années cinquante, suite à la disparition de nombreux magazines du genre, il quitte, selon ses propres termes « l’incestueuse et douillette famille de la Science-Fiction » et se met littéralement au service de tous les éditeurs capables de respecter leurs délais de paiement. Il écrit ainsi d’innombrables articles à sensation qui ne figureront jamais dans sa bibliographie. Il gagne tant d’argent qu’il envisage de prendre sa retraite à trente ans ! Il travaille cinq heures par jour et cinq jours par semaine en prenant le temps de parcourir le globe, d’étudier l’histoire, la musique et la littérature contemporaine.

7xhcNb-3Il revient à la SF avec un roman destiné à la jeunesse : « Lost Race of Mars » (1960). Mais on le considère davantage comme un bon vulgarisateur qu’à légal d’un véritable écrivain. Il « rebondit » pourtant avec « Voir l’homme invisible » « Galaxy », 1963), conte poignant inspiré de J.L. Borges et, sans doute, sa première œuvre personnelle. Il décide alors, tout en continuant à rédiger des ouvrages documentaires, de créer des univers romanesques qui effaceront sa réputation peu flatteuse de plumitif.

Au sortir d’une longue et mystérieuse maladie (drogue ?), il écrit ainsi « Thorns » (« Un Jeu cruel ») et « Hawksbill Station » (« La Prison temporelle »). Le premier est une sombre fiction hérissée d’émotions dont se nourrit un marchand de spectacles rapace. Le second nous décrit la survie sordide de prisonniers que l’on a relégués dans un lointain passé, avant même l’apparition de l’homme. L’année 1966 s’annonce donc bien pour lui. Mais voici qu’en pleine nuit le feu détruit presque totalement l’immense maison qu’il s’était édifiée. Dès lors, quelque chose en lui se brise. Il perd du jour au lendemain l’inspiration créatrice qui lui avait permis de composer ses trames sans brouillon.

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La guérison est lente. Elle débute avec « Nightwings » (« Les Ailes de la nuit ») qui obtiendra le Prix Hugo, à la Convention de Saint-Louis. Elle se poursuit en 1969, au retour d’un voyage en Afrique, par « Son of Man » (« Le Fils de l’Homme »), fresque d’un lointain futur, et « The World Inside » (« Les Monades urbaines »), tableau clinique d’un univers de tours surpeuplées.

La « retraite » californienne

RS quitte en 1971 sa ville natale pour emménager sur les hauteurs d’Oakland, face à la baie de San Francisco. Déçu par l’accueil réservé à ses « nouveaux » romans (« L’Homme Stochastique » et « Shadrak dans la fournaise »), à la fois novateurs et par trop classiques, irritant pour un public goûtant plus Larry Niven ou Alan Dean Foster, il se résout à couper court, à n’écrire plus de SF que pour la télévision. Il y sacrifiera encore, après dix ans de silence, avec la série des « Lord Valentin », riche saga qui met en scène un jongleur amnésique qui est, en fait, le Coronal, maître de la planète Majipoor.

Fin de la première partie.

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MONSTRES SACRÉS : IMPERIOUS LEADER

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IMPERIOUS LEADER

Préférant la version américaine du nom plutôt que sa traduction française (le « Suprême Dictateur »…), je garderai, si vous me le permettez, « Imperious Leader » pour cet article.

L’Imperious Leader est certainement le personnage le plus énigmatique de la série télévisée GALACTICA (Battlestar Galactica, 1978), et son apparence mystérieuse est soigneusement entretenue tout au long des épisodes car jamais il n’est dévoilé en gros plan. Il aura fallu attendre sa figurine pour mieux découvrir à quoi il ressemble vraiment, et seules certaines photos de tournage nous le montrent enfin dans presque tous ses détails. On ne sait que très peu de choses à son sujet, et même les rares articles américains consacrés à l’étrange créature ne sont pas franchement très clairs.

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L’Imperious Leader est le chef suprême de l’empire et des armées cylons. Trônant en permanence en haut d’un gigantesque cylindre à bord de son énorme vaisseau forteresse, il dirige ses troupes à distance et s’adresse à ses soldats robots d’une voix sereine (la voix originale est celle de Patrick Macnee, notre gentleman so british de la série CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR). Il apparait une seule fois en dehors de son vaisseau lors de sa visite sur la planète Gamoray.

Son apparence est très singulière. Il possède une grosse tête de reptile derrière laquelle se situe une espèce de… de quoi d’ailleurs ? Quelque chose que j’ai toujours pris pour une immense perruque noire bouclée mais qui, en fait, n’en est pas une du tout ! Il est l’unique spécimen de sa race, bien que, nous dit-on, d’autres seraient prévus (cachés ?) pour le remplacer au cas où les Cylons disparaitraient… Mais alors dans ce cas, à quoi servirait-il ?…

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La novélisation de GALACTICA nous apprend que l’Imperious Leader possèderait trois cerveaux, tous capables d’une pensée unifiée indépendante ou collective. En outre, l’Imperious Leader pourrait demander des conseils télépathiques aux cerveaux préservés de ses prédécesseurs, conservés dans les « Archives de la pensée ». Les Imperious Leader seraient programmés de manière à être toujours plus performants que les spécimens de la génération précédente.

L’Imperious Leader est tué dans l’explosion de son vaisseau.

- Morbius (morbius501@gmail.com -

Autres Monstres Sacrés présentés sur Les Échos d’Altaïr :

Alien / King Kong / Predator / Créature du Lac Noir / Mutant de Métaluna / Ymir /Molasar / Gremlins / Chose / Triffides / Darkness / Morlock / Créature de « It ! The Terror from Beyond Space«   / Blob / Mouche / Créature de Frankenstein / Visiteurs /Martien de La Guerre des Mondes (1953) / E.T. / Pinhead / Michael Myers / Fu Manchu / Leatherface / Jason Voorhees / Tall Man / Damien Thorn / Toxic Avenger / Bruce : le grand requin blanc / La Momie / Le Loup-Garou / Dr Jekyll et Mr Hyde / Golem / Dracula / Orlac / La Bête / Les Krells / Les Pairans / Le Cavalier sans Tête / Le Hollandais Volant / Body Snatchers / Freddy Krueger / L’Homme au masque de cire / Godzilla / Zoltan / Les fourmis géantes de « Them ! » / Les Demoni / Shocker / Green Snake / It, le Vénusien / Bourreau de Xerxès / The Creeper / Ginger et Brigitte, les sœurs lycanthropes / Tarantula / Intelligence Martienne / She-Creature / Gorgo / La princesse Asa Vajda / Ed Gein, le boucher de Plainfield / Quetzalcoatl / Le fétiche du guerrier Zuni / Octaman / Lady Frankenstein / Les rongeurs de l’apocalypse / Le baron Vitelius d’Estera / Les Tropis / Sssnake le cobra / Pazuzu / Sil / Pluton / Le docteur Freudstein / Le Monstre est Vivant / Les Hommes-Léopards / Victoria / Candyman / Les Judas / Victor Crowlay / Le monstre du Shangaï Express / Le Majini bourreau / Orang Minyak / Wolfcop

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FEUILLETS D’HYPNOS – Jack Vance

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JACK VANCE

(texte incomplet de Mandragore datant du début des années 1990)

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Sa vie

John Holbrook Vance est un homme secret, fort avare de confidences. Il l’annonce d’emblée : « Je crois qu’une connaissance intime de la personnalité d’un écrivain diminue l’effet de ses œuvres sur le lecteur. C’est pourquoi je ne distribue jamais de photographies, n’accorde aucune interview et ne fournit qu’un minimum de renseignements biographiques à qui m’en demande. » 

yD86Mb-vance2 dans LittératureIl a donc fallu se livrer à un véritable travail de détective, opérer nombre de recoupements noyés ici et là dans la masse des décryptages successifs de la critique pour parvenir à vous présenter quelques bribes de l’existence de ce vaste penseur de mondes.

Né à San Francisco le 28 août 1916, il passe toute son enfance dans un ranch de la Californie centrale. Il suit successivement – mais sans succès ! – des cours d’ingénieur des mines, de lettres, de physique et de journalisme, métier qu’il délaisse vite pour exercer les activités les plus diverses.

Il travaille dans la métallurgie, la construction, puis devient musicien au sein d’une formation de jazz (c’est un trompettiste et un bon joueur de banjo). On le retrouve finalement dans la marine marchande. Il prétend avoir ainsi bourlingué sur toutes les mers du monde. Dès lors, son amour de la bougeotte ne l’a plus quitté. Il préparait ces dernières années un grand périple dans le Pacifique Sud à bord d’un trimaran qu’il achevait de construire. 

Ajoutons que c’est un gastronome et un œnologue averti, qu’il est marié et père d’un garçon, qu’il réside à Oakland, port ouvrant sur la baie de San Francisco. 

Si quelque jour, vous repérez, sur la terrasse d’un hôtel-restaurant, un Américain jovial au visage de pachyderme, jouant, le soir venu, d’un ukulélé aigrelet, sachez que vous avez devant vous un « world-thinker », un conteur à l’égal de Dumas ou de Stevenson.

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Son œuvre

Vance publie à 29 ans sa première nouvelle dans « Thrilling Wonder Stories ». Il a obtenu les plus hautes distinctions : le Hugo en 1963, pour sa nouvelle « Les Maîtres des Dragons » et le Nebula, pour « Le Dernier Château », quatre ans plus tard. C’est un des rares écrivains de SF, avec Harlan Hellison, qui puisse disposer aussi sur ses étagères l’ « award » de la littérature policière. Ce palmarès est déjà 7I86Mb-vance4très significatif de la « manière » de Vance qui consiste à mêler Space Opera (pour le cadre), Heroic Fantasy (pour la tonalité) et intrigue policière (pour la trame narrative). Le tout enrobé d’un certain humour tenant, pour l’essentiel, à la distance un peu narquoise que semble se ménager l’auteur à l’égard de ses personnages, de ses inventions, des vicissitudes de la vie de voyageur cosmique.

Dans l’univers « vancien », chaque société humaine essaimée dans la galaxie devient une sorte de système clos qui a tendance à perdre la mémoire de ses origines et à évoluer selon une dynamique propre : oubli de la Terre, mais aussi oubli de l’humain, mutations régressives ou progressives, castes aux rites figés, complexes jusqu’à l’horreur, mondes féodaux servis par des robots où les yachts spatiaux voisinent avec les chars à bœufs, planètes où la science s’est sophistiquée au point de se confondre avec la magie, sociétés raffinées cérémonieuses ou épiques, consacrées aux plaisirs des sens ou à la guerre.

Nous voici embarqués dans un diorama immense, vaste fresque baroque où chaque détail a son importance : costumes, mets, architectures, légendes locales, spectacles, peintures, modes de gouvernement, systèmes carcéraux ou policiers, langues, …

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Ce pointillisme savamment dosé fait tout le charme de ces voyages, où la démarche encyclopédique rejoint la satire, la réflexion sur la structure sociale, la nature du pouvoir, la liberté individuelle ou collective, l’impérialisme. Car le décor, aussi somptueux soit-il, n’est pas gratuit. Il ne procède aucunement du simple délire créatif. Il soutient, nourrit, justifie l’intrigue. Comme Montesquieu, Vance est fermement persuadé que les lois d’un peuple donné « doivent être relatives au physique du pays, au climat glacé, brûlant ou tempéré ; à la qualité du terrain, à sa situation, à la religion des RX86Mb-vance5habitants, à leurs inclinations, à leurs richesses, à leur nombre, à leur commerce, à leurs mœurs, … »

Technique flamboyante d’autant plus adaptée qu’elle s’étale presque toujours sur plusieurs tomes : quatre pour le « Cycle de Tschaï » (où un cosmonaute essaie de trouver un astronef pour regagner la Terre, et apprend à connaître, à travers ses pérégrinations, les quatre races mutantes qui se partagent la planète) ; cinq pour la « Geste des Princes-Démons » (où Kirth Gersen, le héros, se venge du meurtre de ses parents et de la destruction du domaine familial) ; trois au moins pour « Lyonesse » (inextricable imbroglio de complots dominés par la sorcellerie dans l’archipel des Isles Anciennes).

Mais il excelle aussi dans la « novella » : « Emphyrio » (où le petit Ghyl, après une représentation de marionnettes semi-humaines, se révoltera contre les Seigneurs, uniques détenteurs du savoir mécanique) ; « Un Monde d’Azur » (un monde d’îles flottantes peuplé par les descendants d’un croiseur-pénitencier et dominé par un monstre marin : le Kragen) ; « Les Maîtres des Dragons » (belle aventure d’une lutte entre extraterrestres et société féodale, où chacun des adversaires envoie au combat des versions mutantes de son ennemi).

- Mandragore -



SCIENCE-FICTION ALLEMANDE : ANDREAS ESCHBACH

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Science fiction allemande :

Andreas Eschbach

- par Sonia Faessel -

Né en 1959, vivant actuellement en Grande Bretagne, Andreas Eschbach a écrit pas moins de 45 livres, dont la majorité en cycles, hélas peu traduits en France. C’est L’Atalante qui s’y colle, pour le bonheur des amateurs de SF, surtout quand c’est de la bonne. Pour vous mettre en appétit, trois livres.

YyYmMb-2 dans Science-fictionStation solaire (traduit en 2000) : dans un futur proche, une station spatiale orbite à 400 kms de la planète afin de capter l’énergie solaire pour la rediriger sur la Terre. Eschbach propose un polar en huis clos : 9 astronautes coincés dans un espace minimal, sa description de la station correspondant à ce que l’on peut voir au Space Kennedy Center en Floride. Jack, le seul « yankee » de la troupe, nippone comme l’indique le nom de la station : Nippon, mène l’enquête, sauve tout le monde, et les survivants de ce cauchemar spatial finiront pas être rapatriés. Il faut croire que les héros restent américains, et ils ont du mérite car ils sont proprement méprisés par les Japonais qui ont repris les travaux de la NASA mourante pour cause de crise économique et du déclin définitif des États-Unis. Les rivalités mesquines finissent par s’effacer devant l’accumulation des cadavres, une attaque en règle de terroristes écologistes, le tout est un suspens excellent,  et, dans les mains d’un grand metteur en scène, pourrait donner un très bon film.

bzYmMb-6 dans Sonia Faessel

Des milliards de tapis de cheveux, écrit en 1995, détermina le succès d’Eschbach. Nous sommes dans une galaxie lointaine, sur une planète aride d’où toute trace de civilisation moderne a disparu, et YyYmMb-3dont les habitants misérables subsistent comme ils peuvent. Tous vivent dans le culte de l’Empereur, considéré comme un Dieu vivant, et dont les règles doivent être suivies avec la plus extrême rigueur, sous peine de mort. Celui qui critique est aussitôt désigné comme blasphémateur et exécuté. La caste la plus respectée est celle des tisseurs : ils passent leur vie à tisser un tapis de cheveux, ont pour cela plusieurs concubines, et ne gardent qu’un fils pour prendre la relève à leur mort. Ils vivent reclus dans leur maison, finissent aveugles et infirmes, mais le prix de la vente de leur tapis au marchand permet à la famille de vivre plusieurs années. Les personnages et la vie sur la planète sont présentés en séquences, qui permettent de reconstituer l’histoire, celle d’une vengeance terrible et injuste, qui a condamné toute une galaxie à un travail inhumain et inutile. Les libérateurs arrivent, mais trop tard pour espérer changer les choses.

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Le Dernier de son espèce (traduit en 2006) reprend le personnage de la série des années soixante : L’Homme qui valait trois milliards de dollars. C’est une narration à la première personne, Johnny Fitzgerald, raconte ses errances et ses souvenirs dans le village perdu de Dingle, en Irlande. Il s’est refugié là, après que le programme Steel Men de l’armée US ait cessé. On s’est aperçu en effet que des super soldats bourrés d’implants et avec des os en titane risquaient de manquer de discrétion sur un champ de bataille, évidence tragique qui a condamné ces hommes à une mise au placard, assortie d’une surveillance constante, pour finir par devoir être éliminés quand l’armée a trouvé un autre projet mirifique. C’est donc le blues d’un cyborg, toujours humain, dont le corps devient obsolète au fil des années, avec des pannes de plus en plus nombreuses et difficiles à réparer, à qui les autorités gouvernementales qui l’ont conçu dénient toute humanité et toute liberté. Un récit émouvant, accompagné de la philosophie de Sénèque, la référence de Johnny, le parcours d’une mort annoncée, mais la victoire posthume de ce qui reste irrépressiblement humain, fut-ce dans un homme machine.

Au final, trois romans écrits avec maestria, dans trois registres différents : littérature policière, conte de fées sinistre, récit narratif, à dévorer sans contrainte, plaisir de lecture garanti.

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CITATION CÉLÈBRE : LE SERPENT D’ÉTERNITÉ

CITATION CÉLÈBRE : LE SERPENT D'ÉTERNITÉ dans Citation célèbre Y3EeMb-1« C’est parti. Puisqu’il me faut encore jouer, je jouerai serré. Tout est prêt, bien agencé. Un plan soigneusement élaboré qui devrait se dérouler sans anicroche. En face, ils n’y verront que du feu. Et lorsqu’ils se rendront compte de quelque chose, lorsqu’ils s’apercevront qu’un grain de sable s’est glissé dans leur machine bien huilée, il sera trop tard. Vraiment trop tard. Ils se trouveront pris dans leur propre piège et ne pourront plus y échapper. M’échapper. Qu’est-ce qu’ils s’imaginaient ? Que j’allais disparaître sans rien dire ? Que je serais sans réaction aucune ? Les imbéciles ! Et ils croyaient me connaître ! Non, je n’ai pas disparu. Je suis là, bien caché, bien blotti, en un endroit où nul ne saurait me trouver. »

(Le Serpent d’Éternité / Pierre Stolze / Galaxie Bis 1979)



ROBOT-CRAIGNOS (124)

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Bien qu’il ait l’air inoffensif avec son look de boîtes en cartons empilées, ce robot est l’un des serviteurs du super-méchant du film de super-héros indonésien pour enfants, RAMA SUPERMAN INDONESIA (1974) de Frans Totok Ars.

L’intrigue : Andi est un jeune vendeur de journaux dans les rues de sa ville natale. Un jour, il offre de la nourriture et du réconfort à un vieil homme malade qu’il trouve au bord de la route. En retour, l’homme lui offre une amulette dorée en forme de papillon qui, lorsqu’elle est embrassée, transforme Andi en Rama, un super-héros particulièrement fort qui va combattre le mal et défendre les innocents…

Rien trop à dire de cette série Z mal jouée et avec des effets spéciaux amateurs si ce n’est qu’elle est inédite en France et qu’on ne la trouve qu’en VO sur une page Facebook. Au moins, c’est déjà ça pour se faire une idée du film.

- Trapard -

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Robot « cool » ou « craignos » ?

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ROBOT COOL (63) : A.X.L.

ROBOT COOL (63) : A.X.L. dans Robot-cool 13061309574815263611288444

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A.X.L. est le chien-robot du film éponyme d’Oliver Daly, sorti en 2018. Oliver Daly en avait déjà présenté une version légèrement similaire dans son court-métrage MILES (2015) que vous pouvez regarder en VO sur Viméo. Mais dans le court, le robot ressemble un peu moins à un chien.

En revanche, dans A.X.L. (2018), le robot est vraiment bien réalisé et il bouge à s’y méprendre comme un vrai chien. C’est peut-être d’ailleurs à ce chien-robot que se limite l’intérêt de ce teen-movie bourré de bons sentiments et qui reprend plus ou moins le canevas de SHORT CIRCUIT (1985) ou de D.A.R.Y.L. (1985).

C5WyLb-axl dans Trapard

A.X.L. n’est pas le premier chien-robot de l’Histoire du cinéma de science-fiction, les cinéphiles connaissent déjà Muffet, C.H.O.M.P.S. ou encore le chien-policier de ROTTWEILER (2004) de Brian Yuzna. Mais ce qui le différencie des autres, c’est qu’A.X.L. n’est pas un chien-androïde de compagnie, mais un pur robot guerrier destiné au combat.

L’intrigue : Miles, un jeune homme malchanceux, rencontre le chien robot, A.X.L., devant servir d’essai militaire. Ayant des émotions, A.X.L décide de protéger son jeune « maître », qui va le réparer et le protéger de son créateur. A.X.L bien décidé à le protéger à son tour et fera tout pour qu’il ne lui arrive rien, jusqu’à subir de grands dommages qui pourraient causer sa destruction totale…

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A.X.L. étant avant tout un film destiné à un jeune public, son robot est peu effrayant et très peu destructeur malgré ses capacités initiales. De plus, il ressemble émotionnellement à un vrai chien, ce qui l’éloigne assez vite des principes de la robotique science-fictionnelle. Mais il est très attachant.

- Trapard -

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ROBOT-CRAIGNOS (123)

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tp8pLb-4 dans Science-fiction

Ce robot à la tête de parcmètre et avec ses trois ampoules en place des yeux et du nez nous vient tout droit de la comédie russe de science-fiction, SON NOM ÉTAIT ROBERT (1967, Ego zvali Robert) d’Ilya Olshvanger. Il n’apparait que très peu dans le film et il sert surtout à mettre en parallèle son côté rudimentaire face à l’androïde Robert, héros du film et beaucoup plus abouti.

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L’intrigue : Sergey, un jeune scientifique russe, a créé un androïde à son image, dans le but d’en faire le pilote d’une future expédition dans l’espace. Pour tester l’androïde, nommé Robert, et l’habituer aux relations humaines, Sergey l’envoie au théâtre accompagner la petite amie d’un de ses collègues. Mais Robert va vite s’intéresser très vivement à ces interactions…

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Nous aurions d’ailleurs pu traiter de Robert dans une des rubriques de ce blog, mais son apparence ne dépasse jamais les traits de l’acteur Oleg Strizhenov. Quand au robot, je n’ai trouvé aucune indication sur la personne qui a enfilé le costume le temps du film, mais ses déplacements se limitent à lever les bras et à faire quelques flexions pour prouver qu’il sait obéir aux ordres de son créateur.

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